Page 194 - Les jours de Noé et du Déluge
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Mais la planète de Nod et celle de Mars ne sont pas les seuls avec
leurs mystères. Sur notre propre Lune des ruines de cités lunaires
s’étendent sur plusieurs kilomètres. D’immenses dômes aux
fondations massives, des tunnels et autres constructions
poussent les scientifiques à réviser leurs opinions sur les origines
de la Lune et les paramètres de sa révolution orbitale. Ces
structures lunaires, dont certaines sont dans un état de
délabrement avancé, possèdent une organisation et une géométrie
si complexes qu’elles ne peuvent être assimilées à des formations
géologiques naturelles. Il existe par exemple sur le bord supérieur
de Rima Hadley, non loin du site d’atterrissage d’Apollo 15, une
construction entourée d’une haute muraille en forme de D. Le
Centre de Vol Spatial Goddard et l’Institut de Planétologie de
Houston, qui étudient ces artéfacts, les ont répertoriés sur 44
régions. De mystérieuses excavations en forme de terrasse ont été
observées près du cratère Tiho (sic; Tycho ?). Il est improbable que
ces excavations concentriques hexahèdriques, ainsi que l’entrée
du tunnel adjacente à la terrasse résultent de processus
géologiques naturels. En fait, elles ressembleraient assez à des
entrées de galeries de mines. Près de Copernic, un dôme
transparent s’élève au bord du cratère, illuminé de l’intérieur par
une étrange lueur blanc-bleue. Au nord de la région de l’Usine, on
observe un objet tout-à-fait inhabituel, même au regard des
critères lunaires: un disque de 50 m de diamètre posé sur une
embase carrée entourée de murs. On peut aussi voir sur l’image,
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