Page 361 - LES RUSES DE SATAN
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pas là d'interprète. À cause de cela, elle aurait dû, d'après
l'indication de l'Écriture Sainte dans 1 Corinthiens 14:28 et 34, se
taire. Les frères la prièrent: «Prie en anglais, pour que nous te
comprenions et que nous puissions prier avec toi». La femme
déclara: «Je ne puis prier en anglais. Je retombe toujours dans les
langues». Les frères décidèrent de faire le test d'après 1 Jean 4.
Dans l'exemple précédent, c'est déjà décrit. Quand les frères
demandèrent: «Confesses-tu que Christ est venu en chair», ils
obtinrent aucune réponse. À cause de cela ils commandèrent à
l'esprit du parler en langue: «Au nom de Jésus, nous te
commandons de nous répondre, appartiens-tu à Christ»? Alors vint
une étonnante réaction. La femme cria: «Non, je le hais». Par là, le
caractère de ce parler en langue devint clair.
Un missionnaire canadien fit des expériences analogues, lequel a
travaillé pendant dix ans à Bornéo. C'est le pasteur Georges A.
Birch, que je rencontrai d'abord dans une conférence missionnaire
à Java. Nous sommes rapidement devenus amis, parce que nous
avons la même «longueur d'onde» spirituelle. Nous nous sommes de
nouveau retrouvés à l'occasion de mes conférences à Vancouver,
Colombie-Britannique, Canada. Puis je reçus encore quelques
lettres dans lesquelles le frère m'encourageait à continuer dans mon
travail. Celui qui combat contre l'occultisme et attaque des
mouvements ressemblant à des essaims est exposé à beaucoup
d'attaques. Ce qui me plaît chez le frère Birch, c'est son approbation
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