Page 32 - CIVILISATION SUR MARS
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En conduisant des investigations sur un programme de
réacteur nucléaire spatial SP-100 dirigé par la NASA, ils
ont découvert deux pages d’instructions expliquant
comment il était possible de contourner le Freedom of
Information Act. Cette loi sur la liberté de l’information
oblige, en théorie, à divulguer tout document ne mettant
pas en cause la sécurité nationale à n’importe quel
demandeur. Ces pages conseillaient de réécrire ou de
détruire les documents réclamés, ou encore de les
mélanger et de caviarder certains de leurs termes.(UFO
Magazine, Vol.15, n°2, 2000, USA, p. 30.).
De plus, dans le deuxième livre du chercheur Steven
Greer, figure le témoignage de Mme Dona Hare. C’est une
ancienne employée d’une firme sous-traitante de la NASA.
Durant les années 1970 et 1971, elle a travaillé dans
l’immeuble n° 8 de l’agence spatiale pour le compte de la
société Philco Ford, qui avait un contrat avec l’agence
spatiale.
Un jour, elle est entrée dans le laboratoire de l’immeuble,
car elle avait accès à la classification top secret. Il
s’agissait d’un laboratoire équipé pour développer les
photos et les films réalisés par les missions spatiales de la
NASA. Le responsable de ce service était aussi chargé de «
lessiver » les photos qui devaient être mises à la
disposition du public. Par « lessiver », il faut comprendre le
travail suivant: faire disparaître des photos tout ce que le
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