Page 301 - LES 70 SEMAINES DU PROPHÈTE DANIEL

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littéralité épouvantables dans le siège de Jérusalem et dans la
dispersion qui l'a suivie, et qui a duré jusqu'à maintenant. Comme
nous arrivons à réaliser le caractère de ces terribles détresses,
nous serons sûrement reconnaissants que toutes les choses qui
ont été écrites, concernant les afflictions du peuple d'Israël, ont
maintenant été accomplies. Nous ne pouvons que nous réjouir
qu'il n'y ait aucun appui à l'idée qu'un temps de détresse,
dépassant avec sévérité les horreurs du siège de Jérusalem,
attend encore beaucoup de gens affligés.
Il convient de noter que la nation dont Moïse parle dans cette
prophétie devait venir de loin et devait être celle dont les Juifs ne
comprenaient pas la langue. Ces spécifications correspondent aux
Romains, mais pas aux Assyriens ni aux Chaldéens. En outre,
dans la tribulation prédite par Moïse, le peuple devait être arraché
du pays et dispersé parmi toutes les nations d'un bout de la terre
à l'autre. Ceci décrit le résultat de la capture de Jérusalem par
Titus, et non celui de sa capture par Nebuchadnezzar.
Parmi les choses qui ont été écrites auparavant, et que notre
Seigneur a dit qu'elles devaient être accomplies à l'approche de la
destruction de Jérusalem, se trouvait le temps de trouble prédit
dans (# Da 12: 1), à quel moment certaines personnes de Daniel
devaient être livré, même tel qu'il devrait être écrit dans le livre.
Cette dernière expression en était venue à signifier, depuis
l'époque de Moïse (Ex 32:32), ceux qui étaient acceptés par Dieu
et qui lui appartenaient. De tels (c.-à-d., Croyants dans le
Seigneur Jésus-Christ) ont été délivrés à ce moment-là en tenant
compte de Ses avertissements.