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répugnante; et les souffrances de la même, et de la peur de la
culpabilité, continuèrent cependant jusqu'à la dernière heure
dans un cours d'extrême méchanceté, ne cherchant aucun
remède à ses mauvaises passions, épuisant toutes les ressources
de l'habileté du médecin à atténuer sa détrempe corporelle pour
allonger sa vie misérable. Nous nous référons à Joseph Flavius
pour un compte des remèdes et des expédients auxquels il a eu
recours sur l'avis de ses médecins; qui n'ont pas réussi à soulager
ou à arrêter la maladie qui l'a coupé pendant qu'il méditait de
nouveaux crimes de cruauté incomparable: "ne cherchant aucun
remède à ses mauvaises passions, mais épuisant toutes les
ressources de l'habileté du médecin pour atténuer sa maladie
corporelle et prolonger sa misérable vie.
Ainsi il est venu à sa fin, et personne ne l'a aidé. Il mourut en
proie à d'horribles maladies et à d'horribles remords, à peine cinq
jours après avoir ordonné l'exécution de son fils aîné. Nous avons
jugé l'importance suffisante pour donner à l'explication de cette
partie du chapitre (versets 36 à 45) un examen minutieux et
détaillé. Car nous sommes convaincus que la théorie d'une
"pause" après le verset 34 (ou 35), impliquant le transfert corporel
de tout le reste de la prophétie (y compris la partie contenue dans
le chapitre 12) à un jour futur, dérange toute cette partie de la
Parole prophétique qu'il est important pour nous de "comprendre"
à l'heure actuelle. Inversement, notre croyance est que, avec ce
passage important correctement réglé, d'autres choses, qui ont été
impliqués dans l'obscurité générale occasionnée par la théorie de
la prétendue «rupture», sera éclairci. En effet, nous n'aurons pas à
aller très loin pour en trouver la preuve pratique.
Et maintenant que nous avons passé en revue les évidences qui
pointent vers Hérode le Grand comme le «roi» prédit dans ce
passage, notre émerveillement est que tout étudiant attentif de la
prophétie aurait pu manquer une marque aussi claire. Car le