Page 68 - LES SOCIÉTÉS SECRÈTES
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(...) Des crises économiques porteront atteinte aux États ennemis
en leur soustrayant l'argent mis en circulation. En accumulant de
grands capitaux privés qui sont ainsi soustraits à l'État, ce dernier
va être obligé de s'adresser à nous pour emprunter ces mêmes
capitaux. Ces emprunts consentis avec des intérêts seront une
charge pour les États qui en deviendront les esclaves, sans volonté
propre. Ils s'adresseront à nos banquiers pour leur demander
l'aumône au lieu d'exiger des impôts du peuple. Des emprunts
étrangers sont comme des sangsues, il n'y a aucune possibilité de
les éloigner du corps d'État, car elles ne peuvent que se détacher
d'elles-mêmes ou être rejetées par l'État. Cependant, les États
Gojim ne les rejetteront pas, ils s'en attireront sans cesse d'autres,
ce qui les conduira à une faillite inexorable.
Les dettes de l'État rendront les hommes d'État corruptibles, ce qui
les mettra encore plus à notre merci". (...) (19)
Remarque sur la situation actuelle: Les dettes de l'État, des
Länder et des communes en Allemagne se montaient en 1992
globalement à 1.300 milliards de Marks allemands.
2. Le contrôle de la presse:
(...) "Nous procéderons de la façon suivante avec la presse:
Son rôle est d'exciter et d'enflammer les passions chez le peuple
(...) et le public est tellement loin de pouvoir imaginer qui est le
premier bénéficiaire de la presse (...) Parmi tous les journaux, il y
en aura aussi qui nous attaqueront mais nous sommes les
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