Page 149 - LES SOCIÉTÉS SECRÈTES
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2. La Russie tsariste, souci permanent depuis beaucoup d'années
pour les manitous financiers, avait été balayée avec succès de la
scène mondiale. Quarante-sept ans plus tôt, le grand Illuminé Albert
Pike l'avait prédit dans sa fameuse lettre à Mazzini.
3. La Première Guerre Mondiale avait causé aux États impliqués une
dette d'un montant astronomique. Ces dettes avaient été
contractées auprès des banquiers internationaux qui, nous l'avons
vu, avaient tout organisé et tout mis en scène dès le début. Des
"lieux où se joue la guerre" se sont toujours révélés des plus
lucratifs pour leurs managers et pour ceux qui les financent." ("Die
Absteiger", p.147)
Il était évident que les accords de Versailles se déroulaient aussi
selon les plans des Rothschild. Du côté américain se trouvaient
Woodrow Wilson, la marionnette des ROTHSCHILD, avec ses
conseillers et les agents de ROTHSCHILD : le colonel House et
BERNARD BARUCH. Du côté anglais, plus exactement du côté de la
"Couronne", il y avait Lloyd George, membre du "Comité des 300"
avec son conseiller SIR PHILIP SASSOON, descendant direct
d'Amschel Rothschild et membre du Conseil d'État secret anglais, le
"Privy Council". La délégation française était représentée par le
Premier ministre Clemenceau et GEORGE MANDEL. Mandel, né
JEROBEAM ROTHSCHILD, qui fut souvent désigné comme le
"Disraeli" français, complétait bien le tableau. C'est vers le colonel
House, à l'apogée de sa puissance à ce moment-là, que se
tournèrent les regards lors de la conférence de la paix à Versailles.
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