Page 113 - LES SOCIÉTÉS SECRÈTES
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ces travaux des milliers de travailleurs chinois à bon marché.
Beaucoup parmi eux étaient des opiomanes, c'est ainsi que s'étendit
le marché de la drogue aux États-Unis. HARRIMAN fonda son
empire du chemin de fer grâce aux prêts de la "N.M. Rothschild &
Sons Bank" à Londres. Il y a de bonnes raisons d'en conclure que
ces opiomanes chinois ont été embauchés dans le but d'étendre
précisément aux États-Unis le marché des stupéfiants. (50)
Remarque sur la situation actuelle: Le journal "Neue Solidarität"
écrivait dans l'édition du 8 septembre 1993 au chapitre "La reine et
les stupéfiants": "Voilà un fait bien rare, une surprise assez
extraordinaire et agréable que de trouver, pour une fois, dans la
presse britannique des nouvelles assez proches de la vérité à propos
de la famille royale. La semaine dernière, c'est une nouvelle de ce
style qui rivalisait dans les manchettes avec les événements
politiques mondiaux en première page du sacro-saint "Times"
londonien du 27 août 1993. Le titre "La famille royale était "high"
dans les Highlands". L'article qui se référait à un rapport
soigneusement étudié du magazine écossais "Leopard" dévoilait que
drogues et stupéfiants faisaient partie se la panoplie de la famille
royale britannique. Le "Leopard" prouva, documents originaux à
l'appui, que la reine Victoria et son entourage (par ex. les familles
Churchill et Rothschild) commandaient régulièrement d'assez gros
paquets de cocaïne, d'héroïne et d'autres stupéfiants dans une
pharmacie des Highlands. Le "Times" fit la même affirmation. Il
formula avec délectation: "La reine Victoria, monarque au visage
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