Page 371 - LES RUSES DE SATAN
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planchette (Oui-ja) nous remplit les cliniques psychiatriques de New
York».
Mais le diable joue à l'innocent encore plus et il souffle aux soi-
disant sages: «Tout cela n'est que de la fumisterie». Avec cela il
gagne les rondes et attrape encore son butin.
Appendice.
Pendant la composition de ce chapitre, un autre rapport me parvint
concernant la planchette. Le directeur de l'entreprise, au
Massachusetts, qui produit ces planchettes de jeu spirites publie ce
qui suit: «Le film L'exorciste permit à la vente de la planchette (Oui-
ja) d'augmenter de nouveau. Ce sont surtout des fille de onze à dix-
huit ans qui satisfont avec cela leur soif de connaître».
Clay Atkinso, justement le directeur nommé, connaît les
nombreuses lettres de reconnaissance que reçoit l'entreprise. Il
n'est pas étonnant que cette fabrique du diable ait vendu plus de
six millions de ces planchettes jusqu'en 1974. Beaucoup certifient
dans leurs lettres qu'avec la planchette ils ont établi un contact
avec les morts afin de recevoir d'eux des conseils.
Par là, ils sont devenus la proie d'une grande et fatale tromperie.
Les morts ne répondent pas mais les démons, lesquels se sont
parfois accaparés de la connaissance des morts afin de montrer leur
authenticité. L'évêque Pike, qui menait aussi ce jeu frivole avec les
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