Page 20 - La Postérité du Serpent
P. 20
Mais le ridicule ne cesse pas à ce point, ils ajoutent l'aberration
suivante: «Les Élohim sont une race très ancienne, peut-être même la
plus ancienne de l'univers, du moins, à notre connaissance.» Or
«Élohim» est le nom de Dieu et quoiqu'il soit un terme singulier qui
indique un pluriel, tout comme le mot «famille» ou encore comme le
mot «communauté», il est loin d'indiquer l'existence d'une race
reptilienne ou de quelques autres races que ce soient, d'insectes
intelligentes à apparence humaine ou de végétaux pensant et
marchant sur la terre, tous issues de l'imagination maladive de ces
mythomanes qui regardent trop de films de science-fiction et qui ne
peuvent plus distinguer la réalité de leurs rêveries abominables. Mais
poursuivons avec leurs insanités, ils nous disent que «c'est à eux (les
Élohim) que nous devons d'avoir eu à supporter le poids du péché
originel (relation sexuelle entre Ève et le serpent), car pour leur survie,
ils avaient besoin de notre ADN et de celui de nos animaux et de nos
plantes, pour pérenniser leur race de reptiliens. Le serpent qui était le
plus rusé des animaux, tenta ÈVE soi-disant, dans le jardin d'Éden.
Ils sont les rois des manipulations génétiques et nous leur devons la
création d'êtres hybrides, humano-reptiliens, que nous ne pouvons
pas reconnaître parce qu'ils nous ressemblent.» Nous sommes en plein
délires d'une psychose avancée, à vrai dire nous avons la preuve
irréfutable que les fous ne sont pas tous dans des asiles d'aliénés
mentaux. Par «êtres hybrides, humano-reptiliens» les mythomanes de
la théorie reptilienne se réfèrent à Genèse 6:4 qui dit: «Les géants
étaient sur la terre, en ce temps-là, et aussi dans la suite, parce que
les fils de Dieu venaient vers les filles des hommes, et elles leur
18