PRÉFACE

L’accomplissement juste et équitable de la promesse faite au public, dans l’annonce précédente de cet ouvrage, exigerait qu’il contienne et présente, simplement, « un récit historique distinct, simple, de la vie de chacun des apôtres, illustré par les aides que l’on pourrait tirer des œuvres de divers auteurs, des âges passés, et d’autres pays, qui, jusqu’à présent, sous les formes inaccessibles d’une langue morte ou étrangère, ont été trop longtemps cachés aux yeux de milliers de personnes, qui pourraient profiter de leur communication plus ouverte, — de ces sources, aussi bien que des annales sacrées, pour puiser les matériaux du récit, — pour jeter de temps en temps les lumières de l’histoire, des illustrations topographiques, scientifiques et exégétiques sur la parole de vérité, — et de tous, pour montrer comment nous pouvons vivre, travailler et mourir, comme l’ont fait ces premiers champions du Christ crucifié. L’auteur exprimait aussi l’espoir que les facilités de sa situation lui permettraient de faire naître, par des recherches dans les trésors longtemps cachés de grandes et coûteuses bibliothèques, un grand nombre de ces collections de connaissances scripturaires qui, par leur taille et leur rareté, sont hors de portée et de moyens d’un grand nombre d’étudiants bibliques. qui tireraient grand avantage et grand plaisir de leur lecture ; et que même les ecclésiastiques et les étudiants en théologie pourraient trouver dans cet ouvrage beaucoup de choses, tirées de ces matériaux précieux, qui feraient de ce livre un livre désirable pour eux. Cependant, loin de promettre les résultats combinés de tous les travaux des savants sur ces sujets, l’auteur professait alors distinctement que son but principal était — la collecte et la combinaison de faits et d’illustrations qui rendraient l’ouvrage acceptable et intéressant pour les lecteurs de toutes les classes, — de vulgariser, ainsi qu’aux lecteurs érudits ; et il s’engagea donc à présenter tout le contenu du livre, clair et clair, même à ceux dont l’esprit n’a pas été habitué à des recherches approfondies dans l’étude de la Bible.

Avec ces objets constamment en vue, l’auteur s’est longtemps consacré avec constance et labeur à la préparation et à la composition de ce livre. En présentant ce résultat de ses travaux, il n’a pas conscience d’avoir effectivement manqué à Jo de se conformer à la conditions générales de son engagement publié ; Pourtant, le regard critique de beaucoup d’entre eux Ses lecteurs éclaireront sans doute des parties de l’ouvrage, qui ont été matériellement affectés dans leur caractère par les circonstances très particulières dans lesquelles le travail a été entrepris et poursuivi, circonstances si particulières que, conformément à la coutume universelle de ceux qui ont accompli de telles tâches, il est justifié de se référer à quelques détails importants de l’histoire de l’écriture. La première convocation à la tâche le trouva absorbé dans des recherches aussi étrangères aux investigations nécessaires à ce travail, que n’importe quel département de la connaissance qui puisse être mentionné ; et quoique l’étude de la théologie critique et exégétique eût été, à une époque antérieure, pour lui l’objet d’une attention régulière, l’invitation à cet ouvrage lui parut si peu convenant à ses occupations adoptées, qu’il la rejeta promptement ; et ce ne fut qu’après des sollicitations réitérées et pressantes qu’il consentit à l’entreprendre. Mais, même alors, il se rendait si peu compte de l’inépuisable richesse de son noble sujet, qu’il commençait ses recherches par des doutes souvent exprimés sur la question de savoir s’il admettrait une si large dissertation comme l’espérait le proposant. On peut mieux apprendre à quel point ces doutes étaient justes, c’est par l’avis précipité et bref que beaucoup de points importants de ce grand thème ont nécessairement reçu dans des limites aussi étroites.

Commencée sous ces auspices défavorables, l’œuvre fut pour lui un objet de poursuite pendant une longue période de temps ; et ses recherches n’avancèrent pas bien loin, avant qu’il ne fût pleinement assuré qu’elle était vaste, au-delà de ses plus hautes espérances ; et depuis ce temps-là, la difficulté a été, de ne pas répondre à l’attente d’un gros livre. mais d’amener ces immenses matériaux dans cet espace limité. S’étant ainsi développé entre ses mains, à travers des mois et des années, son travail ne tarda pas à s’intéresser aussi à lui, jusqu’à ce qu’avec le temps, au milieu de diverses autres occupations contemporaines, il passa du caractère d’une tâche à celui d’une poursuite délicieuse, digne et digne ; et il fut bientôt disposé à la regarder, non pas comme un travail, mais comme une récréation de vocations moins agréables à son goût : elle l’appela d’abord de l’étude d’une profession qui lui répugnait et lui déplaisait dans beaucoup de ses détails ; et c’était sa ressource fréquente pour jouir dans plus d’une saison de repos. Son attention en était souvent distraite, par des appels à des occupations diverses et opposées, tour à tour aux travaux publics et aux responsabilités d’un éditeur et d’un instructeur ; mais au milieu de tout cela, c’était sa consolation et son rafraîchissement, jusqu’à ce qu’à la fin elle l’éloignât complètement de tout ce qui n’était pas lui-même, et qu’elle devînt pendant des mois sa seule occupation, constante, absorbante et épuisante. Trop souvent, en effet, les occupations avec lesquelles elle fut d’abord variée et échangée furent l’occasion de troubles et d’inquiétudes qui ne le rendaient pas propre à l’accomplissement confortable de sa noble tâche ; mais ces maux eux-mêmes devinrent le moyen de lui inspirer une considération plus haute et plus pure, parce qu’ils le poussaient à cela comme une seule consolation. Comme l’a dit de la manière la plus éloquente et la plus belle l’évangélique George Horne, à la fin d’une tâche semblable : Et maintenant, l’auteur pouvait-il se flatter que quelqu’un prendrait la moitié de la plaisir à lire l’ouvrage qu’il a pris à l’écrire, il n’a pas voulu craignant la perte de son travail. Ce serait bien, tant pour l’écrivain que pour son œuvre, s’il pouvait vraiment ajouter, dans la phrase mélodieuse que Horne ajoute, que « l’emploi l’a détaché de l’agitation et de la hâte de la vie, du vacarme de la politique et du bruit de la folie » ; — que « la vanité et le chagrin se sont envolés pour un temps, — Les soucis et l’inquiétude ne s’approchaient pas de sa demeure.

Les matériaux de cet ouvrage doivent être trouvés dans tout ce qui a été écrit sur le sujet de l’histoire du Nouveau Testament, depuis que le canon scripturaire a été achevé. Mais « qui est suffisant pour ces choses ? » Une longue vie pourrait trouver un emploi abondant à chercher dans mille bibliothèques, et à compiler à partir de cent mille volumes, les faits et les illustrations de cet immense et noble sujet ; Et alors il faudrait les meilleures énergies d’une autre longue vie pour mettre en forme les masses puissantes, et les donner dans un récit pour l’esprit des ignorants. Qu’est-ce donc qu’on tente ici de remplacer cette immensité ? Pour donner un récit clair et distinct de la vie de chaque apôtre, avec des illustrations du caractère de l’époque et de la scène dans laquelle les incidents se sont produits, et des explications sur les termes dans lesquels ils sont rapportés, qui peuvent, conformément aux limites de ce livre, être tirées des ouvrages des savants des temps anciens et modernes, qui sont à la portée de l’écrivain. Divers et nombreux sont les livres qui grossissent la liste des références fidèles et honnêtes ; nombreux et lourds les volumes qui ont été retournés, au cours de la longue série de recherches ; Ancienne et vénérable la poussière, qui a été secouée en nuages suffocants autour de la tête du chercheur, et qui a obscurci sa vision, tandis qu’il traînait beaucoup de gens. in-folio oublié du sommeil des âges, pour fournir au compilateur moderne les riches productions de la tradition antique. Les histoires, les voyages, les géographies, les cartes, les commentaires, les critiques, les introductions et les lexiques ont été « tournés jour et nuit dans la main », et de ce travail on offre quelques fruits à chaque page. Mais la source sans tache de l’histoire sacrée ! la source pure, à laquelle le chercheur fatigué se rafraîchissait toujours, après des travaux sans contrepartie à travers des masses sèches d’érudition, était la simple histoire des apôtres et des évangélistes, racontée par eux-mêmes. C’est dans cette même histoire simple qu’on trouvait, en effet, les points sur lesquels il fallait le plus long travail ; mais ceux-ci, au mieux seulement illustrés, non améliorés, par tous les travaux des savants de divers âges, étaient les matériaux de l’œuvre. C’étaient les préparatifs de mois et d’années ; L’exécution doit décider de leur valeur réelle.

La charge d’historien apostolique devient à la fois la plus ardue et la plus et l’utilité de ses travaux est pleinement démontrée, dans des passages où la tâche de tisser les différents fils et bribes de l’histoire sacrée dans un Un texte uniforme, continu et uniforme, est un texte auquel peu de lecteurs, en prenant les parties détaillées de la manière ordinaire, sont compétents, et qui a besoin pour son accomplissement satisfaisant, de plus d’aides provenant des travaux longtemps accumulés par les savants des âges passés, qu’il n’en est à la portée de quiconque, sauf d’un petit nombre de privilégiés. Passer d’un évangile à l’autre, dans la recherche de l’ordre et de la cohérence, apporter les lumières d’une autre histoire pour éclaircir les obscurités et montrer ce qui comble les lacunes de l’histoire de l’évangile, ajouter l’aide des voyageurs anciens et modernes pour retracer la topographie de la Bible. — trouver dans les lexiques, les commentaires, les critiques et les interprétations, la vraie et pleine force de chaque mot des passages où un fait important est exprimé, — ce sont là quelques-uns des devoirs de l’écrivain en donnant aux lecteurs ordinaires les résultats des efforts intellectuels des théologiens de ce siècle et des siècles passés, dont il est souvent le copiste et le traducteur. Cependant, visant souvent à un effort un peu plus élevé que celui de donner les opinions et les pensées d’autrui, il offre sa propre explication et son propre arrangement du sujet, de préférence à ceux des savants, comme étant exempts de considérations telles que celles qui sont impliquées dans des détails techniques au-dessus de l’appréciation des lecteurs ordinaires, et comme se tenant sous une forme narrative connectée, tandis que le informations sur ces points, que l’on trouve dans les travaux d’éminents érudits bibliques, la plupart du temps en fragments détachés, qui, bien que complets pour l’étudiant, nécessitent beaucoup d’explications et d’illustrations, pour les rendre utiles ou intéressantes pour la majorité des lecteurs. Dans la discussion de certains points, il a été fait référence à bon droit à l’autorité d’autrui, lorsque cela était nécessaire pour expliquer ou soutenir.

Dans le récit de la vie des Douze, l’auteur a été entièrement conduit à un travail de recherche et de composition nouvelles, parce que la tâche de composer des biographies complètes de ces personnages n’avait jamais été entreprise auparavant sur une si grande échelle. Les Vies des Apôtres de Cave, le seul ouvrage qui ait jamais abordé ce sujet, sont beaucoup plus limités dans leur objet et leur étendue que la tâche entreprise ici, et n’ont fourni aucun secours à l’auteur de cet ouvrage, dans ces biographies. Le texte et les notes de cette partie de l’ouvrage sont entièrement nouveaux, rien n’ayant jamais paru auparavant sur ce sujet, à l’exception de quelques citations reconnues, dans ces récits. Une liste des ouvrages auxquels on a eu recours dans la poursuite de ce nouveau travail, remplirait bien des pages, et ne servirait à rien, après les nombreuses références faites à chaque source à ce sujet avec les passages qui en ont été dérivés. Il suffit, en toute justice, de lui-même de dire que toutes ces références ont été faites par l’auteur lui-même ; ni dans Un cas, dont on se souvient aujourd’hui, c’est qu’il a cité des Reconnaissance de la source intermédiaire. Dans la deuxième partie du travail, le travail était dans un domaine plus complètement occupé par le travail précédent. Mais tout au long de cette partie de l’œuvre aussi, tout le texte du récit est original ; et tous les fruits des recherches d’autrui sont, à une exception près, attribués dans les notes, à la fois à l’original et au support par lequel ils ont été dérivés. Dans cette partie de l’ouvrage, on a économisé beaucoup de travail, en se servant des illustrations très complètes données dans les ouvrages de ceux qui avaient précédé l’auteur sur la vie de Paul, dont la biographie a souvent reçu l’attention et le travail des savants.

Ce qui suit a été très utile dans cette partie de l’ouvrage. Hermanni Witsii Meletemata Leidensia, § 1. « Vita Pauli Apostoli. » 4to. Leidiae, 1703. — Der Apostel Paulus. Von J. T. Hemsen. » 8 vol. Göttingen, 1830. — « Pearson’s Annals of Paul, traduit, avec des notes, par Jackson Muspratt Williams. » 12mo. Cambridge (Angl.), 1827. — Les Annotations de Bloomfield, ou « Recensio Synopsis ». Cependant, beaucoup de choses précieuses contenues dans les deux premières ont été exclues par manque de place.

On remarquera que tout au long du livre, le texte est, sur de nombreuses pages, brisé par de la matière jetée à la fin des paragraphes, en caractères plus petits. Le dessein est que ces notes, qui parcourent ainsi le corps de l’ouvrage, contiennent des détails qui rompraient trop le fil de l’histoire s’ils faisaient partie du texte commun, et qui sont cependant de la plus haute importance en tant qu’illustrations, explications et preuves de passages de l’histoire. Dans de nombreux endroits, il a été nécessaire de faire référence à l’histoire, aux antiquités, à la topographie et à diverses aides collatérales pour faire comprendre l’histoire. Toutes ces choses sont données ici en caractères minutieux, proportionnés jusqu’à la minutie de l’enquête qui s’en est suivie. Ainsi séparées, elles ne doivent pas gêner ceux qui ne veulent pas apprendre les raisons et les preuves des choses, puisque toutes peuvent les passer à la fois, et garder intact le fil du récit, dans le grand type.

Les différentes tailles et dispositions des caractères indiquent les variétés de sujets et de matières. Le récit principal, ou texte général, est en « petit type Pica, plombé l’histoire des écrits des Apôtres, ou livres du Nouveau Testament, est du même type, « solide », ou sans plomb ; la fabuleuse histoire des Apôtres est en caractères d’abécédaire long, le seul passage tiré du manuscrit d’un autre auteur est en caractères bourgeois, et les notes, ou commentaires sur le récit, sont en Brevier.

Le livre est considéré comme entièrement exempt d’erreurs typographiques. Certaines particularités de l’orthographe sont basées sur des raisons analogiques données ailleurs.

New Haven, 24 décembre 1835.

 

Les déclarations qui précèdent accompagnaient la première édition de cet ouvrage, publiée à New Haven, le 1er janvier 1836. Au cours de cette année-là, le livre a été stéréotypé, avec de grands ajouts et corrections ; et plusieurs éditions, s’élevant à sept mille exemplaires, ont été publiées, depuis cette date jusqu’en 1840. Par les difficultés générales qui obstruaient alors tous les départements des affaires, les anciens éditeurs s’en mêlèrent ; et les planches stéréotypées ont été, pendant près de six ans, conservées de manière à empêcher leur utilisation dans la publication, qui a par conséquent été suspendue pendant cette période, bien qu’une demande considérable pour le livre se soit poursuivie. En quelques semaines, l’auteur est devenu propriétaire des planches stéréotypées ; et il s’est prévalu des facilités ainsi offertes (avec l’aide généreuse des éditeurs compétents et entreprenants dont les noms figurent sur la page de titre) pour offrir la présente édition au public.

De nombreuses améliorations importantes ont été apportées aux plaques stéréotypées. Les lectures, révisions et réflexions des dix dernières années ont été exercées sur la correction de l’ouvrage ; et, si loin qu’il soit encore de satisfaire l’auteur ou le lecteur, il ne contient pas d’erreurs qui ne soient que le résultat de la précipitation ou d’un manque de délibération. Il n’est pas possible de remédier à son caractère incomplet sans ajouter de l’importance à l’encombrement et à la dépense.

Dans tous les changements d’occupations diverses, depuis la première production de cet ouvrage, l’auteur s’est efforcé constamment d’en découvrir les imperfections et d’en corriger les erreurs. Espérant sans cesse pouvoir en reprendre la publication, il s’est efforcé, avec une sollicitude incessante et un intérêt toujours renouvelé, de la rendre plus digne de la faveur des savants et du public, et de l’importance solennelle du sujet. Il a toujours été ce qu’il était lors de sa composition, une source de plaisir et de bienfait qui peut difficilement être exprimée. Le travail de comparaison de ses déclarations et de ses opinions avec celles de la révélation a produit pour lui un avantage égal à tout ce que le lecteur le plus favorisé peut jamais en tirer. La conviction et le sentiment de l’honnêteté, de la beauté et de la perfection des annales sacrées, d’où les faits ont été principalement tirés, se sont approfondis à mesure qu’il cherchait encore et encore des vérités historiques cachées ou négligées. Aucune nouvelle quête ne l’a approché avec intérêt, ni ne l’a complètement exclu de la méditation. Ses jours les plus heureux se sont écoulés dans ces études ; et toutes les autres occupations m’ont paru ennuyeuses et insignifiantes en comparaison d’eux. Ils ont été la consolation des soins, le rafraîchissement d’un esprit fatigué par le labeur, l’inspiration d’autres efforts peu agréables, une « consolation dans le voyage » et une compagnie dans de nombreuses solitudes. Ils ont commencé très prématurément dans la jeunesse, et ont été renouvelés avec gratitude dans l’âge adulte, à travers chaque changement de décor, dans ce pays et dans d’autres, au milieu de la foule de la ville, au-dessus du vaste océan, sur des rivages torrides, sur un « terrain missionnaire » et sur les frontières du Grand Désert.

Que les douze années qui se sont écoulées depuis le commencement de la tâche n’aient pas produit, dans son accomplissement, la satisfaction de toutes les espérances, c’est une conséquence des défauts inhérents à la capacité, et non au manque de sincérité ou d’industrie, chez l’écrivain. On peut chercher dans ces pages plus que ce qu’on a conçu pour fournir. Il n’est pas proposé comme un travail professionnel, clérical, ou comme une série de sermons sur les parties historiques du Nouveau Testament. Il n’empiète pas sur les devoirs de l’église ou de la chaire. Par le style, le fond et le but, c’est un ouvrage profane, une histoire des choses sacrées, destinée à intéresser les hommes du monde, quelle que soit l’opinion ou la négation de l’opinion. Les particularités de sa matière et de sa manière, qui pourraient être censurées par un jugement hâtif, sont justifiées par son objet et son caractère professé. Qu’il n’a pas tout à fait manqué de servir aussi à l’usage de ceux qui sont plus profondément s’intéresse à de telles choses, par la faveur avec laquelle il a été reçu par d’éminents érudits et des ecclésiastiques vénérés, vivants et morts, ainsi que par des membres de presque toutes les confessions de ceux « qui professent et se disent chrétiens ».

Ville de New York, 4 mars 1846.