Si nous passons maintenant à la grande fête suivante du calendrier romain, nous avons la confirmation de ce qui vient d'être dit. Cette fête, appelée l'Annonciation, se célèbre à Rome le 25 mars, en souvenir, dit-on, de la conception miraculeuse de notre Seigneur dans le sein de la Vierge, le jour où l'ange vint lui annoncer l'honneur éclatant qui lui serait accordé, comme mère du Messie. Mais qui pourrait dire à quelle époque cette nouvelle lui fut apportée ? L'Écriture ne donne aucun renseignement là-dessus. Mais cela importait peu. Avant la conception ou la naissance de notre Seigneur, ce jour qui est marqué dans le calendrier papal pour l'annonciation de la Vierge était observé dans la Rome païenne en l'honneur de Cybèle, la mère du Messie Babylonien (52). Or, il est évident qu'il y a une relation étroite entre le jour de l'Annonciation et celui de Noël. Entre le 25 mars et le 25 décembre, il y a juste 9 mois. Si donc, le faux Messie fut conçu en mars et naquit en décembre, peut-on croire un seul instant que la conception et la naissance du véritable Messie aient pu s'accorder d'elles-mêmes avec ces deux dates d'une manière si exacte, non seulement pour le mois, mais même pour le jour ? Non, la chose est impossible. L'Annonciation et la fête de Noël sont donc des fêtes Babyloniennes.
1. Londres, Commentaire de la Société des Traités, vol. I. p. 472. ALFORD, Testament Grec, vol. I. p. 412. GRESWELL, vol. I, Dissert. XII, p. 381-437.
2. GILL, Commentaire sur Luc II, 8, s'exprime ainsi : les Juifs ont deux sortes de bétail : le bétail domestique qui se trouve dans la ville ; le bétail des champs qui demeure dans les pâturages. Là-dessus un de leurs commentateurs, (MAIMONIDE, dans Misu-Betza, ch. 5, sect. 7) fait remarquer ceci : Ces derniers demeurent dans les pâturages qu'on trouve dans les villages, tous les jours de froid et de chaleur, et ne se rendent dans les villes que lorsque la pluie survient. La première pluie tombe au mois de Marchesvan, qui correspond à la dernière partie de notre mois d'octobre, et à la première partie de notre mois de novembre. Il en résulte que Christ doit être né avant le milieu d'octobre, puisque la première pluie n'était pas encore tombée. KITTO, Deutéronome XI, 14 (Commentaire illustré, vol. I, p. 398) dit que la première pluie tombe en automne, c'est-à-dire en septembre ou octobre. Ceci nous ramènerait pour le retour des troupeaux à une époque plus reculée que celle indiquée dans le texte ; mais il est hors de doute que ce ne pouvait être plus tard que l'époque dont je parle, suivant le témoignage de Maimonide, dont la compétence à propos des coutumes juives est bien connue.
3. MÈDE, Oeuvres, Discours, XLVIII, 1672. L'argument de Mède repose sur l'hypothèse du bon sens et de la sagesse qui, on le sait, caractérisaient les lois romaines.
4. Archidiacre WORD, dans l'Annotateur chrétien, vol. III, p. 2. LORIMER, Manuel du Presbytère, p. 180. Lorimer cite Sir Peter King, qui dans ses Recherches sur le culte de la primitive église, etc. conclut que cette fête n'était pas observée dans l'Église, et ajoute : "Il paraît invraisemblable qu'on ait célébré la naissance de Christ quand on n'était pas d'accord sur le mois et le jour de sa naissance." Voyez aussi Révérend J. RYLE, dans son Commentaire sur Luc XI, note du v. 8 ; il admet que l'époque de la naissance du Christ est incertaine, tout en contestant que les troupeaux aient pu être en plein champ pendant le mois de décembre, il s'appuie sur la plainte de Jacob à Laban : "Le jour la chaleur me dévorait, et la nuit le froid me glaçait." (Genèse XXXI, 40). Or, toute la force de la plainte de Jacob contre son cruel parent repose sur ceci : Laban lui faisait faire ce qu'aucun autre homme n'aurait fait, et dès lors, s'il parle des froides nuits de l'hiver, (ce qui toutefois, n'est pas l'explication ordinaire de cette expression) cela prouve exactement l'opposé de ce que voudrait prouver M. Ryle : les bergers n'avaient pas l'habitude de laisser leurs troupeaux dehors pendant les nuits d'hiver.
5. GIESELER, vol. I, p. 54 et notes. CHRYSOSTOME, (Monitum in hom. de Natal. Christi) écrivant à Antioche vers l'an 880 après J.-C. dit : "Il y a à peine dix ans que nous connaissons ce jour", vol. II, p. 352. - "Ce qui suit, ajoute Gieseler, confirme d'une manière éclatante la facilité avec laquelle des coutumes de date récente ont pu revêtir le caractère d'institutions apostoliques." Voici comment continue Chrysostome : "Parmi les peuples de l'Ouest il était connu auparavant depuis des temps primitifs et fort reculés, et les peuples qui habitent depuis la Thrace jusqu'à Gadeira (Cadix) le connaissaient avant nous, c'est-à-dire, que le jour de naissance de notre Seigneur, inconnu à Antioche dans l'est sur les frontières même de la Terre Sainte où il était né, était parfaitement bien connu dans toute l'Europe occidentale, depuis la Thrace jusqu'en Espagne !"
6. Il parle des sabbats juifs.
7. TERTULLIEN, De l'idolâtrie, c. 44. vol. I, p. 692 et GIESELER, vol. I, sect.
79.
8. WILKINSON, Les Égyptiens, vol. IV, p. 405. PLUTARQUE (Isis, vol. XI, p. 877, 13. B) dit : "Les prêtres Égyptiens affirmaient que la naissance du divin fils d'Isis à la fin de décembre était prématurée. Mais ceci est la contrepartie exacte de l'histoire classique de Bacchus : lorsque sa mère Sémélé était consumée par le feu de Jupiter, ce dieu fut arraché, à l'état embryonnaire, aux flammes qui la dévoraient."
9. MALLET, vol. I, p. 130.
10. De Eol, enfant. La prononciation est ici la même que celle de eon dans Gédéon. En Écosse, du moins dans les Pays-Bas, les gâteaux d'Yule sont aussi appelés gâteaux de Nür (le u se prononce comme en français). En Chaldéen, Noûr signifie naissance. Donc les gâteaux de Nûr sont des gâteaux de naissance. Les déesses Scandinaves, appelées "Noms", qui prédisaient aux enfants leur destinée au moment de leur naissance, tiraient leur origine du nom analogue Nor, un enfant.
11. SHARON-TURNER, Les Anglo-Saxons, vol. I, p. 219.
12. SALVERTÉ, Des Sciences occultes, p. 491.
13. STANLEY, p. 1066, c. I.
14. SHARON TURNER, vol. I, p. 213. Turner cite un poème arabe qui montre qu'en Arabie comme chez les Anglo-Saxons on reconnaissait un soleil femelle et une lune du sexe masculin.
15. Dans la version autorisée, Gad devient "cette troupe" et Meni, "ce nombre" mais les commentateurs indiquent là une erreur : ces deux mots sont des noms propres.
16. Voir KITTO, vol. IV, p. 66. Le nom de Gad se rapporte au dieu de la guerre, car il signifie attaquer mais aussi celui qui assemble, et sous ces deux idées on peut l'appliquer à Nemrod, qui était un dieu soleil en tant que premier guerrier célèbre et pour avoir, sous le nom de Phoronée, réuni les hommes en communautés sociales (p. 81). Le nom de Meni, celui qui compte, semble un synonyme de Cush ou Chus, couvrir ou cacher, mais aussi compter ou démontrer. Le vrai sens du nom de Cush est donc "celui qui compte ou le calculateur" car tandis que Nemrod son fils était le propagateur du système idolâtre de Babylone, il était réellement en qualité de Mercure, le créateur de ce système, car il apprit aux hommes à s'approcher de la Divinité par des prières et des sacrifices (WILKINSON, vol. V, p. 10) et comme l'idolâtrie et l'astronomie sont étroitement unies, il devait être habile dans la science des nombres. Or, Mercure (Cush), est le premier qui découvrit les nombres, la géométrie, l'astronomie, les jeux de hasard, d'échecs (ibid. p. 3) et il était, d'après une allusion au sens du nom de Cush, probablement appelé "Nombre, le père des dieux et des hommes" (ibid. vol. IV, p. 196). En Chaldéen le i prend souvent la forme du e final, ainsi Meni correspond à Mené, celui qui compte, en hébreu. Nous pensons avec Gesenius que Nebo, le dieu prophétique de Babylone, était le même dieu que Hermès (p. 43). Cela montre l'emphase de la sentence divine annonçant à Belshazzar son destin : "Mené, Mené, Tekel Upharsin (Daniel V, 25), ce qui revient à dire : Celui qui compte est compté." La coupe était l'emblème de Cush (p. 77), d'où l'usage de lui verser la boisson sacrée. Or, Mercure, le calculateur en Égypte, identifié à la lune qui sert à compter les mois, était appelé seigneur de la lune (BUNSEN, vol. V, p. 394) et comme distributeur du temps (WILKINSON, vol. V, p. 11), il tenait une branche de palmier, emblème d'une année (ibid. p. 2). Ainsi, Gad était le dieu du soleil et Meni, le dieu Lune.
17. MALLET, vol. II, p. 24. Edimbourg, 1809.
18. Supplément à IDA PFEIFFER, L'Islande, p. 322-323.
19. JAMIESON, Dictionnaire écossais, sub voce. Parmi les nombreuses hypothèses de Jamieson pour expliquer ce mot le passage suivant me paraît bon à citer : "Hogmanay est le nom donné par le vulgaire au dernier jour de l'année. Sibb pense que le mot peut avoir des rapports avec le Scandinave Hoeg-tid, mot appliqué à Noël et à d'autres fêtes de l'Église. Comme le mot
Scandinave tid veut dire temps et que hoegtid s'applique aux fêtes de l'Église en général, le sens de cette expression est évidemment « le temps de la fête » mais cela montre que hoeg a précisément le sens que j'ai donné à Hog, c'est-à-dire le sens chaldéen."
20. JÉRÔME, vol. II, p. 217
21. PLUT., De Iside, vol. II, sect. 52, p. 372. D. MACROBE, Saturn. liv. I, ch. 21, p. 71.
22. MACROBE, Saturn. liv. I, ch. 23, p. 72. E.
23. Voir les Recherches sanscrites, du colonel KENNEDY, p. 438. Le Col. Kennedy, un des savants les plus érudits en sanscrit, fait venir les Brahmanes de Babylone (ibid. p. 157). Il faut remarquer que le nom même de Surya donné au soleil par tous les hindous, se rapporte à cette origine. Bien que le mot ait eu d'abord un sens différent, il était évidemment identifié par les prêtres avec le Chaldéen Zéro et confirmait l'idée de la naissance du Soleil-dieu. Le nom en Prâcrit se rapproche encore davantage du nom scripturaire de la semence promise ; c'est Suro. On a vu dans un chapitre précédent (p. 118) qu'en Égypte aussi le soleil était représenté comme né d'une déesse.
24. Le nombre des jours des Saturnales fut plus tard élevé à sept. Voir JUSTE LIPSE, Oeuvres, tome II, Saturnal, liv. I, ch. 4.
25. Si Saturne, ou Chronos, était comme nous avons vu qu'il y a des raisons de le croire, "Phoronée l'émancipateur" (p. 82), l'émancipation temporaire des esclaves à sa fête était exactement en accord avec son caractère supposé.
26. ADAM, Antiquités romaines, Religion, Saturne. Voir STAGE, Sylv. liv. I, ch. VI, v. 4, p. 65-66. Voici les paroles de Stace :
Saturus mihi compede ezelutâ
Et multo gravidus mero December
Et ridens jocus, et sales protervi
Adsint.
27. Dans ATHENEUS, XIV, p. 639, C.
28. De Tzohkh, se divertir et badiner, et anesh, homme, ou peut-être ânes, terminaison signifiant celui qui fait, de asi, agir sur. Pour les initiés, il avait un autre sens.
29. CRABB, Mythologie, Saturne, p. 12.
30. Correspondance du London Times, décembre 1853.
31. OVIDE, Métamorphoses, liv. X, v. 500-513.
32. Voir p. 107.
33. Ail ou II, synonyme de Gheber, le puissant (Exode XV, 15) signifie aussi un arbre qui s'étend au loin, ou un cerf aux cornes en rameaux (voir PARKHURST, sub voce). Aussi, à diverses époques, le grand dieu est-il symbolisé par un arbre élevé, ou par un cerf. Dans la figure 27, la décapitation du puissant est symbolisée par la décapitation d'un arbre. Sur une pièce de monnaie d'Éphèse (SMITH, p. 289), il est symbolisé par un cerf coupé en morceaux, et il y a un palmier représenté comme poussant à côté du cerf, absolument comme ci-contre il pousse à côté du tronc mort. Dans Sanchoniathon, Chronos est expressément appelé Ilos, c'est-à-dire le puissant. Le grand dieu étant décapité, la coupe d'abondance à gauche de l'arbre est vide, mais le palmier répare tout.
34. Le lecteur se rappellera qu'Esculape est représenté d'ordinaire avec un bâton ou une branche d'arbre à ses côtés, et un serpent enroulé autour de la branche. La figure dans le texte explique évidemment l'origine de cette figure. Pour son caractère de restaurateur de la vie, voyez PAUSANIAS, liv. II, Corinthiaca, ch. 26. VIRGILE, Enéide, liv. VII, v. 769-773.
35. Baal-bereth, qui diffère seulement par une lettre de Baal-berith, le Seigneur de l'alliance, veut dire le Seigneur du sapin.
36. GIESELER, p. 42, note.
37. Dans l'histoire Scandinave de Balder (p. 90), le gui est un élément distinct du dieu dont on déplore la perte. Les mythes druidiques et les mythes Scandinaves différent quelquefois mais cependant, même dans l'histoire Scandinave, il est toutefois évident qu'on attribuait à la branche de gui un pouvoir surnaturel : car elle pouvait faire ce que rien d'autre au monde ne pouvait accomplir ; elle avait détruit la divinité sur laquelle reposait, d'après les Anglo-Saxons, leur empire du ciel. Or, pour expliquer cette contradiction apparente, il ne faut que comprendre que cette branche qui avait un tel pouvoir, était une expression symbolique du vrai Messie. Le Bacchus des Grecs en vint évidemment à être reconnu comme la semence du serpent ; car, dit-on, il fut le fruit de relations de sa mère avec Jupiter, quand ce dieu lui apparut sous la forme d'un serpent. (Voir aussi DYMOCK, Dictionnaire classique, sub voce Deois). - Si le caractère de Balder était le même, voici ce que l'histoire de sa mort signifierait exactement : que la semence du serpent avait été détruite par la semence de la femme. Cette histoire doit certainement être née parmi ses ennemis. Mais les idolâtres firent en sorte d'en prendre ce qu'ils ne pouvaient pas entièrement nier, avec comme intention évidente, celle de l'expliquer.
38. PAUSANIAS, liv. VII, Achaica, ch. 7.
39. Voir p. 48.
40. THÉOCRITE, Idylle, XXX, v. 21-45.
41. SMITH, Diction, class., p. 112.
42. Times, correspondance de Berlin, 28 décembre, 1853.
43. Le lecteur se rappellera que le soleil était une déesse. Mallet dit : "Ils offraient la plus grosse bûche qu'ils pouvaient trouver à Frigga, c'est-à-dire la mère de Balder, celui qu'on pleurait" (vol. I, p. 132). En Égypte, on offrait des porcs une fois par an, à la fête de la Lune, à la Lune et à Bacchus ou Osiris : c'est à ces dieux seulement qu'il était permis de faire une pareille offrande. (Elien. X, 16, p. 562.)
44. Iste tibi faciet bona Saturnalia porcus. MARTIAL, p. 754.
45. WILKINSON, vol. y p. 353.
46. ibid. vol. II, p. 380.
47. JUVÉNAL, Satires, VI, 539, 540, p. 129.
48. TITE-LIVE, Histoire, vol. I, liv. V, ch. 47, p. 388.
49. MOOR, Le Panthéon, p. 10.
50. KITTO, Commentaire illustré, vol. IV, p. 31.
51. Le sens symbolique de l'offrande de l'oie est digne d'être remarqué. L'oie, dit Wilkinson (Les Égyptiens, vol. V, p. 227), signifiait en hiéroglyphe, enfant ou fils et Horapollon nous dit : "On l'avait choisie pour désigner un fils à cause de son amour pour ses petits, elle est toujours prête à se livrer au chasseur pour les sauver ; c'est pour cela que les Égyptiens ont pensé qu'il était juste de vénérer cet animal." Ici donc le vrai sens du symbole est donc le Fils, qui se donne volontairement en sacrifice pour ceux qu'il aime, savoir le Messie païen.
52. AMMIEN MARCELLIN, liv. XXIII, ch. 3, p. 355, et MACROBE, Saturn., liv. I, ch. 3, p. 47. G. H. Le fait mentionné dans le paragraphe ci-dessus jette de la lumière sur une fête égyptienne qui n'a pas encore été expliquée de manière satisfaisante. On célébrait cette fête en souvenir de l'entrée d'Osiris dans la lune. Or, Osiris, comme Surya en Inde, était précisément le soleil (PLUTARQUE, Isis et Osiris, vol. XI, sect. 52, p. 372). La lune, d'un autre côté, quoique étant le plus souvent le symbole du dieu Hermès ou Thoth, était aussi le symbole de la déesse Isis, reine du ciel. Le savant Bunsen semble le contester, mais ses propres conclusions montrent qu'il le fait sans raison (vol. I, p. 414-416). Et Jérémie XLIV, 17, me paraît décisif sur cette question. L'entrée d'Osiris dans la lune, était donc tout simplement la conception du soleil par Isis, reine du ciel, afin qu'il pût comme l'indien Surya, être enfanté au jour voulu comme grand libérateur (note 3, p. 144). De là le nom même d'Osiris ; car de même qu'Isis est la forme grecque de Hisha, la femme, ainsi Osiris, comme on le voit aujourd'hui encore sur les monuments Égyptiens, est He-siri, la semence. Ce n'est pas faire ici une objection que de dire qu'Osiris est représenté d'ordinaire comme le mari d'Isis ; car ainsi que nous l'avons déjà vu (p. 38), Osiris est en même temps le fils et le mari de sa mère. Or, cette fête avait lieu d'ordinaire, en Égypte, au mois de mars, exactement comme le jour de la dame, où la première grande fête de Cybèle avait lieu le même mois dans la Rome païenne. Nous avons vu que le titre ordinaire de Cybèle à Rome était Domina, ou la Dame, (OVIDE, Fastes, liv. IV, 340) comme à Babylone c'était Beltis (EUSÈBE, Proepar. Évang., liv. IX, vol. XI, ch. 41, p. 58) ; et de là vient sans doute le nom de jour de la dame, comme c'est le cas en Angleterre.
Chapitre 3
Festivités
Article 2
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