Noël et la fête de l'Annonciation

Si Rome est en effet la Babylone de l'Apocalypse ; si la Madone adorée dans ses sanctuaires n'est autre que la reine du ciel dont les adorateurs provoquaient la terrible colère de Dieu aux jours de Jérémie, il est de la dernière importance de bien établir le fait de manière à ce qu'il n'y ait plus aucun doute possible ; car si on peut le démontrer, tout homme qui tremble à la parole de Dieu doit frissonner à la pensée de donner à un pareil système, soit comme individu, soit comme nation, la moindre protection ou le moindre soutien. Nous en avons déjà dit suffisamment pour montrer l'identité des systèmes Romain et Babylonien ; mais à chaque pas l'évidence devient plus écrasante. C'est ce que prouvera particulièrement la comparaison des différentes fêtes.

Les fêtes romaines sont innombrables ; mais il en est cinq parmi les plus importantes que nous pouvons mettre à part, ce sont : Noël, l'Annonciation, Pâques, la Nativité de Saint-Jean, et l'Assomption. Chacune de ces fêtes, on peut le prouver, est une fête Babylonienne.

133