ANNEXE XIX.

LE CHÂTIMENT ÉTERNEL, SELON LES RABBINS ET LE NOUVEAU TESTAMENT

(Voir vol. ii. Livre V. ch. vi.)

LES paraboles du « Dix vierges » et du « Serviteur infidèle » ferment avec un discours sur « la dernière choses, » le jugement final et le sort de Righ main ces Christ et à sa gauche (St. Matt. XXV. 31-46). Ce jugement définitif par notre Seigneur forme un article fondamental du Credo de l’église. C’est le Christ qui vient, accompagné de l’armée angélique et s’assied sur le trône de sa gloire, quand toutes les nations sont réunies devant lui. Puis la séparation finale est faite, et de joie ou tristesse passés selon le passé de l’histoire de chaque homme. Et que sur le passé, comme relation au Christ - que ce soit il pu être « avec » lui ou « pas avec » lui, dont ce dernier est maintenant indiqué comme étant équivalent à un « contre » lui. Et tandis que, dans le sens profond de l’amour de Christ qui est totalement auto-oublieux dans son service et tout à fait humble dans sa réalisation lui à qui aucune véritable service ne peut être fait par l’homme, à leur grande surprise béni, ceux de « droite » trouvent un travail et accusé de réception où ils h annonce jamais pensé sa possibilité, chaque ministère de leur vie, même minime, est maintenant la propriété de lui renvoyé à lui-même - en partie, parce que la nouvelle direction, d'où jaillit tout tel ministère, était de « Christ dans » eux et en partie, à cause de l’identification de Christ avec son peuple. En revanche, comme le service le plus bas de celui qui a la nouvelle direction intérieure si Christward, fait de l’ignorance, ou bien ignoration, du Christ ("quand t’avons-nous vu.... ?') question de la négligence du service et du travail d’amour, et la négligence du service procéder d’une négligence et rejet de Christ. Si la vie est « à » Christ ou « pas à » Christ et nécessairement se termine dans « le Royaume préparé dès la Fondation du monde » ou « le feu éternel qui est préparé pour le diable et ses anges. »

Jusqu’ici la signification des paroles du Seigneur, auquel on pourraient seulement porter atteinte de toute tentative de commentaires. Mais aussi, ils soulèvent des questions de l’importance plus profond, dans lequel non seulement la tête, mais peut-être beaucoup plus le cœur, s’intéresse, en ce qui concerne la signification précise du terme « éternel » et « éternelles » dans ce domaine et autres connexions, jusqu'à présent comme ceux sur la main gauche de Christ est concerné. Le sujet a attiré dernièrement une attention renouvelée. La doctrine de l’éternité des peines, avec les explications appropriées et les limites que lui dans l’enseignement de l’église, a été énoncée par Dr Pusey dans son traité : « Ce qui est de foi que le châtiment éternel ? » Avant à persister, mais brièvement, pour le Nouveau Testament enseigne, il paraît souhaitable avec une plénitude d’exposer les vues juives sur ce sujet. Pour les vues qui s’est tenues à l’époque du Christ, tout ce qu’ils étaient doit avoir été ceux qui entendent Christ divertis ; et quelle vue, Christ n’a pas au moins directement, contredire ou, autant que nous pouvons en déduire, ont l’intention de les corriger. 6491 6491 bien sûr, nous entendons leur direction générale, pas les détails. Et ici, nous avons heureusement suffisamment matériaux pour une histoire d’opinions juives à différentes périodes sur la punition de l’éternité ; et il semble la plus souhaitable soigneusement de le mettre en arrière, comme des déclarations inexactes et incomplètes ont été avancées sur le sujet.

Laissant de côté l’enseignement des Évangiles apocryphes et Pseudépigraphe écrit (dont le Dr Pusey a suffisamment parlé), les premières déclarations rabbiniques viennent à nous de l’époque antérieure à celle du Christ, de l’école de Shammai et Hillel (Rosh hachage. 16 b dernier quatre lignes et 17 a). 6492 6492 au vu de l’étranges rendus et les interprétations données de Rosh hachage. 16 b, 17 a, je dois appeler une attention particulière à ce locus classicus. L’ancien organisé toute l’humanité en trois classes : les parfaitement justes, qui sont « immédiatement écrit et scellé pour la vie éternelle ; » le parfaitement méchant, qui sont « immédiatement écrite et scellée à la Géhenne ; » et une classe intermédiaire. « qui vont vers le bas à Gehinnom et le gémissement et reviens vers le haut, » selon Zach. XIII. 9, et qui semblait également indiqué dans certains mots dans la chanson de Hannah (1 Sam. II. 6). Le lecteur attentif remarquera que cette affirmation signifie croyance en un châtiment éternel la part de l’école de Shammai. (1) parfaitement méchants sont mentionnés comme « écrit et scellé à la Géhenne ; » (2) l’école de Shammai expressément des citations à l’appui de ce qu’il enseigne sur ces méchant, Dan xii. 2, un passage qui sans aucun doute se réfère à l’arrêt définitif après la résurrection ; (3) le sont parfaitement méchant, donc puni, expressément distingué de la classe de troisième ou intermédiaire, qui simplement « descendre Gehinnom, » mais ne sont pas « écrit et scellé » et « montez à nouveau. »

Sensiblement la même, en ce qui concerne l’éternité des peines, est l’avis de l’école de Hillel (u. s. 17 a). En ce qui concerne les pécheurs d’Israël et des gentils il enseigne, en effet, qu’ils sont tourmentés dans la Géhenne pour douze mois, après quoi leurs corps et leurs âmes sont consumés et dispersés sous forme de poussière sous les pieds des justes ; mais il exclut nettement de ce numéro de certaines catégories de transgresseurs « qui descendent à Gehinnom et sont punis là aux âges des âges. Que la forme Niphal du verbe utilisé, {hébreu} ; doit signifier « punis » et pas « jugé », apparaît, non seulement du contexte, mais aussi de l’utilisation du même mot en le même traité (Rosh hachage. 12 a, lignes 7 et c. de haut), ainsi quand on dit de la génération du déluge que « ils ont été punis » sûrement pas « jugé » - par « eau chaude. » Cependant, c’est pourquoi l’école de Hillel pourrait accentuer la miséricorde de Dieu, ou limiter le nombre de ceux qui subiraient le châtiment éternel, il instruisit le châtiment éternel dans le cas de certains. Et c’est le point en question.

Mais, puisque l’école de Shammai et Hillel représentaient l’enseignement théologique à l’époque du Christ et ses apôtres, il s’ensuit, que la doctrine de la punition éternelle est celle qui s’est tenue à l’époque de notre Seigneur, toutefois il peut par la suite ont été modifié. Ici, la mesure où cet ouvrage est concerné, nous pourrions nous reposer le cas. Mais pour être complet, il sera préférable de suivre l’évolution historique de l’enseignement théologique juive, au moins une certaine distance.

La doctrine de l’éternité des peines semble ont été organisés par la Synagogue throuthout le tout premier siècle de notre ère. Cela apparaîtra des dires des enseignants qui fleuri au cours de celle‑ci. La parabole juif du sort de ceux qui n’avait pas gardé leurs vêtements festifs en préparation ou apeared dans tels que n’étaient pas propres (Shaab. 152 b, 153 a) a été déjà cité dans notre exposition des paraboles de l’homme sans l’habit de noces et de la TenVirgins. Mais il faut plus que cela. (Ber. 28 b), on nous dit que, lorsque cette grande autorité rabbinique du premier siècle, le rabbin Jochanan ben Zakkai - « la lumière d’Israël, le pilier de la main droite, le puissant marteau » - un agonisait et j’ai pleuré, il explique ses larmes par peur quant à son sort dans le jugement , illustrant le danger par le contraste de la peine par un terrestre roi « dont les obligations ne sont pas éternelles obligations ni sa mort, la mort éternelle, » bien que considéré Dieu et son jugement : « s’il est en colère contre moi, sa colère est une furie éternelle, si il me lie à fers , Ses fers sont éternels fers, et si il me tue, sa mort est une mort éternelle. » Dans le même sens est cette parole d’un autre grand rabbin du premier siècle, professeur de physique (Shaab, de 152 b, vers le milieu), à l’effet que « les âmes des justes sont cachés sous le trône de gloire, » tandis que ceux des méchants devaient être lié et à l’unr HNE ({hébreu}), un ange leur lançant à l’autre d’un bout du monde à l’autre - de quelle idée étrange ce dernier il a vu confirmation dans 1 Sam. XXV. 29. Le sort des justes appliquée, entre autres passages magnifiques, Ésaïe lvii. 2, à celui de la méchante est lvii. 21. De toute évidence, les vues des rabbins du premier siècle étaient en stricte conformité avec ces Shammai et Hillel.

Au IIe siècle de notre ère, nous marquons une différence a décidé d’opinion rabbinique. Bien qu’il a été dit que, après la mort de Rabbi Méir, l’ascension de la fumée de la tombe de son maître apostat avait indiqué que prières du rabbin pour la délivrance de son affaire de Géhenne avaient été exaucées (Chag. 15 b), la plupart de l’éminent enseignants de cette période a proposé l’idée, que dans le dernier jour que la gaine serait supprimé qui maintenant couvert le soleil, quand sa chaleur ardente se consument le méchant (Ber. R. 6). Non, un rabbin a maintenu qu’il n’a pas l’enfer à tous, mais ce jour-là consommerait les méchants, et encore un autre, que même c’était pas le cas, mais que les méchants seraient consommées par une sorte de conflaragation interne.

Au troisième siècle de notre ère, nous avons une fois de plus une réaction et un retour à l’anciens vues. Ainsi (Kethub. 104 a, vers le milieu) Rabbi Eleasar parle des trois bandes d’anges, qui sortent successivement pour répondre à la justice, chacun avec un accueil qui leur est propre et des trois bandes d’anges de tristesse, qui bénéficient de la même façon les méchants leur mort - et ce, en termes qui ne laissent aucun doute sur le sort attendu des méchants. Et ici Rabbi José nous informe (Tor. Ber. VI. 15), que « le feu de la Géhenne, qui a été créé le deuxième jour n'est pas éteint pour toujours. » Cette désignation d’accord sept vue qui, selon ben Rabbin Joshua Levi, attachez à la Géhenne (Erub. 19 a, ligne 11, & c., du bas - mais les ours page entière sur le sujet). Cette doctrine a été seulement modifiée, lorsque Ben Lakish maintenu, que le feu de la Géhenne n’a pas souffert de pécheurs parmi les Juifs (Kethub. u. s.). Ni même cet autre disant de son (Nedar. 8 b, quatre dernières lignes) nécessairement implique-t-elle qu’il a nié l’éternité des peines : « Il n’y a aucune Gehinnom dans le monde à venir » - puisqu’elle est qualifiée par l’attente que les méchants seraient punis (Hébreu {} ), ne pas anéantis, par la chaleur du soleil, qui se ferait sentir comme la guérison par les justes. Enfin, si la béatification pas universelle, mais une sorte de restauration morale universelle semble implique dans l’enseignement du rabbin Jehudah à l’effet que, dans le sœculum futurum , Dieu détruirait le Yetser haRa.

Aussi tentant que le sujet est, nous devons ici rompre cet examen historial, faute d’espace, pas de matériel. Dr Pusey a montré que les Targoumim également enseigner la doctrine du châtiment éternel - même si leur date est sujet de discussion - et d’autres peuvent être ajoutés pour le passage cité par lui en preuve. Et si de l’autre côté le dicton de Rabbi Akiba soient cité (Eduy. ii. 10) à l’effet que l’arrêt des méchants dans la Géhenne était l’un des cinq choses qui a duré douze mois, il faut rappeler que, même si cela être pris au sérieux (car c’est vraiment seulement un jeu d' esprit), il n’implique pas nécessairement plus de l’enseignement de Hillel concernant cette classe intermédiaire des pécheurs qui se trouvaient dans la Géhenne, pour une année - même s’il existait une autre classe la durée dont peine serait pour les âges des âges. Encore plus manifestement inexacte est la citation de Baba Mez. 58 b (lignes 5, & c., en partant du bas). Car, si ce passage déclare que tous sont destinés à venir une nouveau par rapport à la Géhenne, il exclut expressément de ce ces trois catégories de personnes : adultères, ceux qui mettent leurs compatriotes publiquement à la honte et ceux qui s’appliquent à un mauvais nom à leur voisins.

Mais n’on peut au moins aucun doute, que le passage qui a été cité au début de ces remarques (Rosh hachage. 16 b, 17 a), prouve au-delà de la possibilité de peut nier que les deux écoles grand, dans lequel rabbinique d’enseignement au moment de Christ a été divisé, qui s’est tenue la doctrine des peines éternelles. Ceci, bien sûr, tout à fait indépendamment de la question qui, combien, ou plutôt, comment peu - ont à subir ce sort terrible. Et ici les avertissements et les limitations, avec lequel m. Pusey a montré que l’église a entouré son enseignement, ne peut pas être trop souvent ou sérieusement répétées. En effet, il semble très étrange que, si le sens de celui-ci tous être concrétisés, certaines doivent sembler si avide de combattre pour l’extension à tant de misère dont nos pensées se rétrécissement dans la crainte. Pourtant cela nous sommes bien assurés, que le juge de toute la terre jugera, non seulement dans la droiture, mais fort heureusement. Lui seul connaît tous les secrets du cœur et de la vie, et lui seul peut répartir à chacun la nécessité due. Et dans cette déclaration de culpabilité a assuré l’esprit ===================== repose en ce qui concerne ceux qui ont été chers pour nous.

Mais si ces motifs nous réduisent de dogmatisme étroit et rigoureux, il y a certaines questions auxquelles nous ne pouvons pas tout à fait se soustraire, même si nous pouvons y répondre généralement plutôt que spécifiquement. Nous avons mis de côté, comme un signe malsain et menaçant de certains mouvements religieux, la théorie, évoquée ces derniers temps, d’un que l'on appelle « l’immortalité conditionnelle. » La mesure où les lectures de l’auteur s’étend, il repose sur la mauvaise philosophie et exégèse encore pire. Mais la question elle-même, à qui ce genre de « envahissante » de réponse a été tenté, est l’un des plus graves. À notre avis, une étude impartiale des paroles de l’Éternel, enregistré dans les Evangiles - comme il est indiqué à plusieurs reprises dans le texte de ces volumes - mène à l’impression que son enseignement en ce qui concerne la récompense et la punition devrait être pris dans le sens ordinaire et évident et non en celui suggéré par certains. Et ceci est confirmé par ce qui est maintenant tout à fait clair pour nous, que les Juifs, à qui il parlait, croyaient au châtiment éternel, mais peu ils pourraient confier à elle. Et pourtant, nous pensons que cette ligne d’argumentation n’est pas tout à fait convaincant. Pour la puissance, ni notre Seigneur, comme tenu de la période de sa seconde venue, dans ce également avoir voulu laisser ses auditeurs dans l’incertitude ? Et, en effet, est-il vraiment nécessaire d’être tout à fait sûr de cet aspect de l’éternité ?

Et ici se pose la question sur le sens précis des mots que Christ a utilisé. Elle est, en effet, a soutenu que l’expression expression αͺͺνιος et parenté toujours désigne l’éternité au sens strict. Mais cela que je ne peux pas m’exprimer convaincu (voir ad VOC., Schleusner, Lex., qui, cependant, va un peu trop loin ; Wahl, N.T. Clavis ; et Grimm, Clavis N.T.), bien que la prépondérance de la preuve est en faveur de ces sens. Mais on peut au moins imaginer que l’expression peut faire référence à la fin de tous les temps et la fusion de la régence « médiatrice » (1 Corinthiens xv. 24) dans la royauté absolue de Dieu.

En pensant davantage à ce sujet plus solennel, il semble à l’auteur qui exagérations ont été faites dans l’argument. Il a été dit que l’hypothèse d’annihilation étant mises de côté, nous sommes pratiquement taire ce que l'on appelle l’universalisme. Et encore une fois, cet universalisme implique, non seulement la restauration finale de tous les méchants, mais même de Satan et ses anges. Et de plus, on a fait valoir que les métaphysiques difficultties de la question se résolvent finalement dans ce : pourquoi le Dieu de la prescience tous avait créé des êtres - qu’ils soient hommes ou les anges déchus - qui, tel qu’il a connus d’avance, pécheraient en fin de compte ? Maintenant, cet argument n’a évidemment aucun effet contre l’universalisme absolu. Mais même dans le cas contraire, il est plutôt spécieux que convaincant. Car nous possédons seulement des données pour un raisonnement en ce qui concerne la sphère qui tombe dans notre cognition, qui l’absolument divin - le pré-humain et le pré-créé - n’a pas, sauf la mesure où il a fait l’objet de la révélation. Cette limitation exclut de la sphère de notre compréhension possible toutes les questions liées à la foreknowledgeand Divine sa compatibilité avec ce que nous savons pour être la Loi fondamentale des intelligences créées et la condition même de leur morale cours : la liberté personnelle et choix. Pour se disputer avec cette limitation de notre sphère de raisonnement, étaient à se rebeller contre les conditions de l’existence humaine. Mais si oui, alors aborder la question de la prescience Divine ne doit pas du tout, et la question de la chute des anges et du péché de l’homme doit être laissée sur le (pour nous) seul fondement intelligible : celui du choix personnel et de la liberté morale absolue.

Encore une fois -, il semble moins exagéré de mettre les alternatives ainsi : l’éternité absolue de la peine - et, avec elle, de l’état de rébellion qui elle implique, comme il est impensable que la rébellion doit absolument cesser, et pourtant continuent de punition ; annihilation ; restauration ou bien universelle. Quelque chose d’autre est au moins pensable, qui peut ne se trouvent pas dans ces lignes strictes de démarcation. On peut au moins imaginer qu’il peut y avoir une chique quartum - qu’il peut y avoir une purification ou transformation (sit venia verbis) de tous ceux qui sont capables de tels - ou s’il est préférable, un déroulement du germe de la grâce, avant la mort, invisible, qu’il ait été d’autres hommes et qu’en fin de compte de ce que nous appelons le temps ou « dispense », que ce qui est moralement incapable de transformation - que ce soit hommes ou diables - doit être jeté dans l’étang de feu et de soufre (Rev. xx. 10 , 14, 15; XXI. 8). Et ici, si, peut-être juste, exception est portée devant les termes « purification » ou « transformation » (développement peut-être spirituel), je me réfère pour expliquer à quoi Dr Pusey a si bien écrit - même si ma référence est seulement à ce stade, pas à d’autres sur quelles touches de he (Pusey, ce qui est de la foi, & c., pp. 116-122). Et, à cet égard, nous notons qu’il existe toute une série des phrases-l’écriture, qui enseignent également le règne définitif de Dieu (« que Dieu puisse être tout en tous »), et la finale mettant toutes choses sous Christ - et tout cela dans le cadre de Béni fait que Christ ha s « mort pour chaque homme, goûté », « que soit sauvé le monde à travers lui » et, en conséquence, dessiner « tous » à lui-même, COMP. col. i. 19, 20 (COMP. St. John iii. 17 ; xii. 32 ; Rom. v. 18-24; 1 Corinthiens xv. 20-28; Eph. i. 10; Le colonel i. 19, 20; 1 Tim. II. 4, 6; IV. 10 ; Héb. ii. 9; 1 John ii. 2; IV. 14 - tous lesquelles passages doivent cependant être étudié à leur égard).

Jusqu'à présent, il a été le seul but de l’auteur de mettre devant le lecteur, pour autant qu’il le peut, tous les éléments à prendre en considération. Il a prononcé aucune conclusion définitive et il ni désirs ni les fins de le faire. Ce seulement il répétera, que, à son esprit les paroles de notre Seigneur, enregistrée dans theGospels, donnent cette impression, qu’il y a une éternité d’encourent ; et plus loin, que c’était la croyance acceptée des écoles juives au temps de Christ. Mais ces choses se sent-il pleinement assurée : que nous pouvons tout à fait confiance en la bonté de notre Dieu ; que la parole du Christ est pour tous et d’une valeur infinie, et que son résultat doit correspondre à son caractère ; et enfin, pour des raisons pratiques, qu’en ce qui concerne ceux qui sont partis (ou non nous savons de la grâce en eux) nos vues et nos espoirs devraient être le plus large (conformément à l’enseignement de l’écriture) et qu’en ce qui concerne nous-mêmes, personnellement et individuellement, nos vues quant à la nécessité de la foi absolue et immédiate dans le Christ comme Sauveur, de la sainteté de la vie et du service du Seigneur Jésus, devraient être le plus proche et plus fermement fixée.

NOTES explicatives et des CORRECTIONS pour le Second Volume.

Page 15d: le Targoum est tiré de l’édition de Venise.

 

Page 16g: Toutefois, le mot a également été traduit dans le sens large de « vêtement. » Mais voir Rosh hachage. et comparez aussi ce qui est dit sur les Tephillin, qui ne peut être interprétée autrement que dans le texte.

Page 21a: mais le passage est un peu difficile, et il a reçu des interprétations différentes. Voir Levy comme note 1 et Lightfoot ad loc. ligne 10, lire : ' par un vœu de quoi que ce soit par lequel migh he être profité (ou plutôt avoir jouissance) forment son fils. » Et donc en ce qui concerne la note 2, diverses interprétations et commentaires sont donnés. Mais le principe qu’un voeu exclurait les parents d’être « profité » est clairement établi dans Ned. IX. 1.

Page 116un: Simon b. Shetach le compare à un fils qui pèche contre son père, et pourtant il fait ce qui plaît à l’enfant, donc Chony, bien qu’il était pécher contre Dieu, encore il a répondu que la prière.

Page 162cde: bien sûr, ceux-ci étaient uniquement les inférences extrêmes de leurs principes et pas prévu citons.

Page 156, note 1 : sur l’Octave de la fête sans doute Psaume xii. était scandé (voir Sopher. xix. mendier.).

Page 182d: une des interdictions il serait exactement parallèle à la prise d’argile.

Page 290, note 2, fin : Je pense ici surtout aux Bemid. R. 2. Il serait difficile de trouver quelque chose de plus réaliste extravagant dans son exaltation d’Israël au cours de toutes les nations (supprimer 28). La note énonce l’impression générale laissée sur l’esprit et, bien sûr, ne vise pas comme une citation.

Page 297d: la référence est à celui qui hésite à pardonner un dommage à son nom lorsqu’on lui demande de le faire par le délinquant. Dans le même temps, j’admets volontiers comment beauttifully Rabbinism parle de la miséricorde et le pardon. À cet égard sont également les Évangiles historiquement vrai, puisque jaillit de l’enseignement du Christ ici et est parenté à l’enseignement le plus élevé des rabbins. Mais, à mon avis, c’est où Rabbinism vient juste plus proche du Christ que la différence essentielle apparaît plus. Et de même les dictons rabbiniques plus élevés pour le pardon du Christ dans sa liberté, absolutenes, Innerlichkeit et universalité (pour les Juifs et les gentils), il y a une distance incommensurable.

Page 388, note 1 : en Vayy. R. 3, il y a une autre belle histoire d’un pauvre homme qui a offert tous les jours la moitié de sa vie, et dont le sacrifice a été présenté avant celle du roi Agrippa.

Page 409d: en ce qui concerne l’avis de Jérémie Ber. 9 un, je veux parler Levy, Neuhebr. Wörterb. II., p. 10 a.

Page 411h: COMP. aussi Vayy. R. 1.

Page 431un: il a été décrit comme le plus beau que les vagues de la mer.

Page 437un: la citation du Midrash sur apriete redevient forme la citation unmutilated dans r. Martini, Pugio Fidei (éd. Carpz), p. 782, 783.

Note 1 de la page : les citations se référer à la Jérusalem du ciel. Pour le reste voir Weber, Altsynag. Théol., p. 386. mais sans doute la dernière clause avait mieux être omise.

Page 479, ligne 9 : « Qu’est le Pascha, » & c. ; plutôt : "ce qui est « sur le Pessa ' h ?" Sur le 14 Nisan' - dans l’original : BaPesach, c'est-à-dire le début de la Pâque.

Page 556, ligne 7 : « sur les jours fériés publics » lire « dans les grandes fêtes publiques. »

Page 609 : La référence d s’applique à la fin de la phrase. Sur les treize voiles COMP. Maïmonide (Kel haMiqd. vii. 17).