CHAPITRE VIII.
LE QUATRIÈME JOUR DE LA SEMAINE DE LA PASSION - JÉSUS DANS SON DERNIER REPOS SABBATIQUE AVANT SON AGONIE ET LES SANHEDRISTS DANS LEURS TROUBLES - LA TRAHISON - JUDAS : SON CARACTÈRE, L’APOSTASIE ET FIN.

(St. Matt. XXVI. 1-5, 14-16 ; St. Mark xiv. 1, 2, 10, 11; Saint Luc xxii. 1-6.)

PARTIR de l’enregistrement de paroles et les gestes, fournies par St. Matthew, du Christ, nous passons une fois de plus à celle d’événements publics, comme, d’un ou l’autre aspect, ils sont liés par tous les évangélistes. Avec les discours dans le Temple au public enseignement du Christ était venu à son terme ; avec qui parlé sur le Mont des oliviers et son application dans les paraboles des « vierges » et les « Talents », l’instruction des disciples a été conclue. Ce qui suit dans ses rapports sexuels avec les siens est parænetic,5549 5549 je prends congé d’introduire un terme qui a naturalisés dans la littérature théologique allemande. Il n’y a pas d’autre mot unique qui exprime donc les idées. plutôt que de l’enseignement - exhortation, de conseils et de consolation : plutôt, peut-être, tout cela combiné.

Les occupé trois jours de la semaine de la Passion étaient au delà. Le jour qui précède celui où l’agneau pascal devait être tué, avec tout ce qui allait suivre, serait celui de repos, un jour de repos à son âme avant sa grande agonie. Il se rafraîchir, se rassembler pour le terrible conflit devant lui. Et il l’a fait comme l’agneau de Dieu - docilement de se soumettre à la volonté et de main de son père et afin de satisfaire tous les types, de celui du sacrifice d’Isaac sur le mont Moriah, à l’agneau pascal dans le Temple ; et apportant la réalité de toute prophétie, de celle de la semence de la femme qui écraserait la tête du Serpent à celle du Royaume de Dieu dans sa plénitude, quand ses portes dorées seraient être projetés ouverts à tous les hommes et le flux lumineux du ciel propre à leur que cherchent à faire son chemin de paix. Seulement deux jours de plus, que les Juifs eux compté5550 5550 a récemment tenté, avec beaucoup d’ingéniosité, par le révérend B. S. Clarke de Boxted, pour montrer que seul le Sabbat hebdomadaire et le jour des Expiations, mais pas les autres fêtes, ni encore les jours naturels, a commencé avec la le soir. L’admission en ce qui concerne les Sabbats et le jour des Expiations est, en l’absence de toute remarque admissible en ce qui concerne leur, un argument contre la théorie de prima facie . Mais il n’y a plus que cela. Dans Chull. 83 a , dans le cadre des offrandes, on notera que, comme dans l’histoire de la création le jour toujours appartenu à la nuit précédente (« one day »), il était toujours à compter de la même manière. Encore une fois, dans Pes. 2 un il est indiqué que la journée a duré jusqu'à trois étoiles sont devenus visibles. Enfin, et surtout en ce qui concerne la Pâque, il est nettement indiqué (Jérémie Pes. 27 c, ci-dessous), qui a commencé avec l’obscurité sur le 14 Nisan. -que mercredi et jeudi - et à son pair la Cène Pascale ! Jésus savait bien, et il a passé ce jour de repos et de préparation à la retraite tranquille avec ses disciples - peut-être dans certains creux du Mont des oliviers, près de la maison de Béthanie - s’adressant à eux de sa Crucifixion sur la Pâque proche. Ils cruellement ses paroles ; ils ont, et non pas lui, nécessaire pour se préparer à ce qui allait arriver. Mais quel calme divin, quel prêt d’obéissance et aussi ce que sortant de l’amour pour eux, avec la pleine conscience de ce qui était avant lui, de penser et de parler de ce seulement ce jour-là ! Serait pas une conception Messie des Juifs ont agi ainsi ; non, il n'aurait pas été placé dans de telles circonstances. Serait pas un Messie des objectifs ambitieux ou des aspirations nationalistes Juifs ont agi ainsi ; Il l’aurait fait ce que le sanhédrin craignait et déclenché un « tumulte du peuple, » préparé pour elle, car la multitude était, qui avait soulevé jusqu'à ces derniers temps l’Hosanna-cri dans la rue et du Temple. Donc aurait un passionné déçu pas agi ; il aurait se sont retirés le destin imminent. Mais Jésus savait tout - bien plus l’agonie de la honte et la souffrance, même l’agonie insondable de l’âme. Et le temps qu’il ne pensait qu’eux dans tout cela. Cette réflexion et parlant ne sont pas que de l’homme - c’est que des fils de Dieu incarné, le Christ de l’Évangile.

Il avait, en effet, avant cela, cherché progressivement pour les préparer à ce qui devait arriver dans la nuit de demain. Il l’a fait à elle dim figure à l’ouverture même de son ministère, pour la première fois qu’il avait enseigné dans le Temple,5551 5551 St. John ii. 19. ainsi qu’à Nicodème. 5552 5552 iii. 14. Il avait laissé entendre, quand il a parlé de la profonde tristesse lorsque l’époux serait prélevé sur eux,5553 5553 St. Matt. IX. 15. de la nécessité de prendre en charge de sa Croix,5554 5554 x. 38. le respect en lui de Jonas-type,5555 5555 St. Matt. XII. 40. de sa chair qui il donnerait pour la vie du monde,5556 5556 St. John vi. 51. comme dans ce qui aurait pu paraître le Parabolic enseigner le bon pasteur, qui a donné sa vie pour ses brebis,5557 5557 Saint Jean x. 11, 15. et l’héritier, dont les fermiers maléfiques chassé et tué. 5558 5558 St. Matt. XXI. 38. Mais il avait aussi parlé de lui assez directement - et cela, nous le faire spécialement avis, toujours quand certains highpoint dans son histoire avait été atteint, et les disciples pourraient ont été emmenés dans les espérances messianiques de l’exaltation sans humiliation, un triomphe pas un sacrifice. Nous nous souvenons, que la première occasion où il parlait ainsi était clairement immédiatement après cette confession de Pierre, qui jeta les fondations de l’église, contre lequel les portes de l’enfer ne devraient pas prévaloir ; 5559 5559 St. Matt. XVI. 21. l’autre, après être descendu de la montagne de la Transfiguration ; 5560 5560 St. Matt. XVII. 22. le dernier, sur la préparation à faire son entrée triomphale messianique à Jérusalem. 5561 5561 St. Matt. XX. 17-19. Les conseils plus sombres et dictons paraboliques pourraient avoir été mal interprétés. Alors même que considérer la prédiction claire de sa mort, idées préconçues n’a trouvé aucune place pour un tel fait. Profonde vénération, qui ne pouvait pas associer à sa personne et l’amour qui ne pouvait pas supporter l’idée de celui-ci, pourrait, après le premier choc des mots était passé, et leur accomplissement immédiat n’ont pas suivi, suggèrent une explication possible de la prédiction. Mais sur cette Wednessday, il était impossible de se méprendre ; il pouvait guère été possible de douter de ce que Jésus dit de sa Crucifixion proche. 5562 5562 sur la force probante du récit de la Crucifixion, je dois faire référence au raisonnement singulièrement lucide et puissant du Dr Wace, dans son ouvrage « The Gospel et ses témoins » (Londres, 1883, Conférence VI.). Il se réfère d’abord à la circonstance, que dans les récits de la Crucifixion, écrite par l’Apôtre, ou amis des apôtres, « les écrivains ne reculent pas devant décrivant leur propre conduite ou celui de leur maître, » avec une sincérité qui reflète terriblement sur leur Constance, courage et même virilité. Deuxième argument de Dr de Wace est donc clairement mis, que je dois prendre un congé pour transférer son langage à ces pages. "Christ crucifié était, nous dit-on, par Saint Paul, « aux Juifs une pierre d’achoppement et à la folie des grecs. » C’est un constant reproche aux chrétiens, qu’ils adoraient un homme qui avait été crucifié comme un malfaiteur. Le fait principal, bien sûr, ne pouvait pas être déguisé. Mais que les écrivains évangéliques devraient avec tant de diligence ont conservé ce qui pourrait autrement avoir été oublié - toutes les minutes, circonstances de l’humiliation de leur maître, la faiblesse même de sa chair, et de son rétrécissement, dans le jardin, de la coupe, qu'il devait boire- tous ceux qui marque, en fait, de sa faiblesse humaine qui ont été effacés par sa résurrection - il s’agit d’une instance de sincérité qui semble au moins compatible avec n’importe quel origine légendaire des récits, à un moment où notre Seigneur a été envisagé dans la gloire de son Ascension et de sa session à la droite de Dieu. Mais que ce soit impression de sincérité et de réalité intense en détail, est ainsi créée par l’histoire de la Passion, doivent, dans la justice, être autorisés à réfléchir sur l’ensemble qui précède l’histoire. » L’argument est alors autres effectué quant à la sincérité des écrivains qui pouvaient donc parler d’eux-mêmes et en ce qui concerne le destin du Christ. Mais toute la question devrait être étudiée par la connexion dont Dr Wace a présenté it. Si illusions avaient toujours existé, les deux derniers jours doivent rudement dissipé eux. Les Hosannas de son entrée triomphale dans la ville et les acclamations dans le Temple, avait donné lieu à des arguties des Sadducéens, les pharisiens et les Scribes et avec un « malheur » lui que Jésus avait pris son dernier départ du sanctuaire d’Israël. Et mieux bien que ces dirigeants, dont conscience fait lâches, les disciples ne savait comment peu pourrait se fier sur l’adhésion de la « multitude ». Et maintenant le maître il disait d’eux dans des termes clairs ; a contempler camly il, et qui non pas comme dans l’avenir dim, mais dans l’immédiat - à cette Pâque très, d'où tout juste deux jours séparés. Autant que nous nous demandons à leur diffusion brève sur son arrestation et la condamnation, ces humbles disciples devaient aimer lui beaucoup à s’asseoir autour de lui dans le silence lugubre comme il parla ainsi et de le suivre jusqu'à sa mort.

Mais à l’un d'entre eux, au cœur duquel l’obscurité avait longtemps été collecte, c’était le moment décisif. La prédiction du Christ, que Judas ainsi que les autres a doivent se sentir pour être vrai, éteint la dernière lueur de cette lumière du Christ comme son âme avait été capable de recevoir. À sa place s’embrase la flamme lugubre de l’enfer. Par la porte ouverte, dont il avait Poussée le Christ mourant « Satan est entré en Judas. » 5563 5563 St. Luc xxii. 3. Pourtant, malgré cela, pas en permanence. 5564 5564 St. John xiii. 2 et 27. Il peut, en effet, être mise en doute, si, puisque Dieu est dans le Christ, tel peut toujours être le cas dans toute âme humaine, au moins sur l’éternité de ce côté. Depuis la nuit de notre monde a été illuminé par la promesse du paradis, la teinte rose de sa matinée est resté sur le bord de l’horizon, approfondissement en or, éclaircissant en journée, de plus en plus en résistance midi et soir-gloire. Étant donné que la voix de Dieu réveille la terre de son hymne de Noël au début, il n’a jamais été tout à fait nuit là, ni peut-il jamais être tout à fait nuit toute âme humaine. 5565 5565 cela indépendamment de la question du péché contre le Saint-Esprit exceptionnel.

Mais c’est une nuit terrible-étude, celle de Judas. Nous semblent marcher notre chemin sur les pierres non serties de lave en fusion chaude, car nous grimpons vers le bord du cratère et shudderingly regarder vers le bas de ses profondeurs. Et encore là, proche, ai se tenait non seulement Saint Pierre dans la nuit de sa négation, mais pour la plupart d'entre nous, sauver ils dont anges ont toujours regardé le visage de notre Père céleste. Et pourtant, dans notre faiblesse, nous avons même pleura sur eux ! Là, proche, avons nous étions, pas dans les heures de notre faiblesse, mais dans ceux de notre tentation douloureuse, lorsque l’explosion du doute avait presque éteint la lumière vacillante, ou la tempête de la passion ou obstination cassé le roseau froissé. Mais il a prié pour nous - et toute la nuit est venue sur la lande désolée et pierreux hauteur la lumière de sa présence et au-dessus la tempête sauvage rose, la voix de celui qui est venu chercher et sauver ce qui était perdu. Pourtant, près de nous, tout près de nous, a été l’abîme obscur ; et nous ne pouvons jamais plus oublier sur pied dernier, presque coulissant, que nous avons quitté son bord.

Une terrible nuit-étude de Judas et mieux à faire ici, à la fois, depuis ses débuts jusqu'à sa fin. Nous allons en effet, prendre soudain aperçu de lui encore une fois, comme la lumière des flashes torches sur le traître face à Gethsémani ; et une fois de plus entendent sa voix dans l’assemblage des conseillers hautains, ricanant d’Israël, lorsque sa fréquentation sur le trottoir en marbre des salles-Temple ; et le tintement de ces maudits trente pièces d’argent doit réveiller les échos, réveillent aussi le chant funèbre de désespoir dans son âme, et il doit fuir la nuit de son âme dans la nuit qui ferme pour toujours autour de lui. Mais tout cela aussi rapidement que nous pouvons passer d’elle, après cela présente brève étude de son caractère et l’histoire.

Nous nous souvenons, que « Judas, l’homme de Kerioth, » a été, pour autant que nous sachions, le seul disciple de Jésus de la province de Judée. Cette circonstance ; qu’il a porté le sac, c'est-à-dire était trésorier et administrateur des petites actions ordinaires du Christ et ses disciples ; et qu’il était un hypocrite et un voleur5566 5566 St. John xii. 5, 6. -C’est tout ce que nous savons avec certitude de son histoire. De la circonstance qu’il a été nommé à ce titre de confiance dans la communauté apostolique, on en déduit qu’il doit avoir été attendait jusqu'à par les autres comme un homme prudent et capable, un bon administrateur. Et il n’y a probablement aucune raison de douter, qu’il possédait le don naturel de l’administration ou du « gouvernement » (κυβͺρνησις). 5567 5567 1 Corinthiens xii. 28. La question, pourquoi Jésus lui a laissé « le sac » après qu’il le connait comme un voleur - qui, comme nous le croyons, il n’était pas au début, et n’est devenue au fil du temps et dans l’état d’avancement de la déception - est la meilleure réponse par cet autre : Pourquoi il a initialement lui a permis d’être confiée à Judas ? Il n’était pas seulement parce qu’il était mieux ajusté - probablement, absolument monté - pour un tel travail, mais aussi dans la miséricorde envers lui, compte tenu de son caractère. Pour s’engager dans ce dont un homme est naturellement équipé est le moyen probablement de lui garder de couvaison, insatisfaction, aliénation et d’apostasie éventuelle. En revanche, il faut admettre que, comme pour la plupart toutes notre vie-tentations viennent nous de celui pour lequel nous avons plus d’aptitude, lorsque Judas fut aliéné et infidèle dans le cœur, cette chose devint également sa plus grande tentation et, en effet, lui précipita à sa ruine. Mais qu' après il n’avait pas d’abord intérieurement. Et oui, comme toujours dans des circonstances analogues, les choses qui auraient pu être plus de bénédiction deviennent plus de malédiction, et l’arrêt du durcissement se remplit en ce qui en soi est bon. Ni « le sac » aurions ensuite pu de lui sans lui exposer aux autres et précipitant sa destruction morale. Et donc il doit être laissé au processus de maturation vers l’intérieur, jusqu'à ce que tout était prêt pour la faucille.

Ce don même de « gouvernement » dans Judas nous peut également aider à comprendre comment il peut ont été tout d’abord attirés par Jésus, et par quel processus, lorsque l’aliéné, il est venu pour mettre fin à ce terrible péché qui avait précipité son piège autour de lui. Le « cadeau du gouvernement », dans sa dimension active, impliquerait le désir pour elle. De là à l' ambition dans son aspect égoïste, ou pire, il y a qu’un pas - guère que : plutôt seulement différentes prémisses morales. 5568 5568 sur la relation entre l’ambition et la convoitise, en général et dans le cas de Judas, voir p. 77. Judas a été attirée sur Jésus comme le Messie juif , et il a cru en lui, comme tel, peut-être aussi bien sincèrement et ardemment ; mais il s’attendait que sa serait la réussite, le résultat et le triomphe du Messie juif, et il devrait également personnellement et entièrement à partager en eux. Comment profondément enracinées étaient ces sentiments, même dans le meilleur, plus pure et plus désintéressé des disciples de Jésus, nous nous réunissons de la demande de la mère de John et James pour ses fils et de la question de Peter : « Ce que nous aurons ? » il doit avoir été la tristesse, la misère de la morale solitude et l’humiliation, de celui qui a incarné désintéressement, qui vivait à mourir et était plein de vider lui-même, pour être associées telles que même ses disciples plus intimes, qui, en ce sens, aussi ne pouvaient pas regarder avec lui même une heure et chez qui , à la fin de son ministère, cette lourdeur était mentalement et moralement l’affleurement, si ce n’est pas le résultat. Et Judas tout cela doit avoir été une cent fois plus qu’en eux qui étaient au cœur fidèle à Christ.

Il avait, de sa conviction comme nous l’avons décrit, rejoint le mouvement à son commencement même. Puis, multitudes en Galilée suivi ses traces et regardé pour chaque son apparition ; ils ont accroché séduit sur ses lèvres dans la Synagogue ou sur « la montagne » ; ils ont afflué à lui de chaque ville, village et hameau ; ils portaient des malades et mourir à ses pieds et devant témoin, stupéfait, comment diables conquis a donné leur témoignage à son pouvoir divin. C’était le printemps-le temps du mouvement, et tout était plein de promesses - terre, peuple et disciples. Le Baptiste, qui s’inclina devant lui et lui a témoigné, soulevait encore sa voix pour proclamer le Royaume proche. Mais le peuple avait tourné après Jésus, et il a influencés eux. Et, oh ! quel pouvoir était là dans sa Face et paroles et son regard et en actes. Et Judas, aussi, avait été l’un d'entre eux qui, sur leur Mission au début, avait temporairement avait pouvoir lui donné, afin que les démons très avaient fait l’objet de leur. Mais, étape par étape, était venu à la déception. John a été décapité et pas vengé ; au contraire, Jésus s’est retiré. Cette constante s’en retirer, si ennemis ou de succès - s’élevant presque à vol - même quand ils auraient fait de lui un roi ; ce refus de se montrer ouvertement, soit à Jérusalem, comme son propre brethen avait raillé lui, ou, en effet, nulle part ailleurs ; Cette prédication uniforme de découragement pour eux, quand ils vinrent à lui, heureux et plein d’espoir à certains succès ; Cette inimitié de rassemblement de dirigeants israéliens et son marqués éviter ou, comme certains peut-être l’avoir mis, son incapacité à relever le défi public répété des pharisiens pour montrer un signe du ciel ; dernier et le chef de tous, cette référence constante et croissante à la honte, des catastrophes et la mort - ce qui a fait toutes les moyennes, sinon la déception de tous les espoirs et les attentes qu’avaient fait Judas lors de la première disciple de Jésus ?

Celui qui savait donc Jésus, non seulement dans ses paroles et en actes, mais aussi dans sa pensée intime, même à sa longue nuit à communier avec Dieu sur le flanc de coteau, ne pouvait pas sérieusement cru dans l’accusation pharisaïque grosse d’Agence satanique comme l’explication de tous. Pourtant, du point de vue juif puis, il pourrait difficilement ont jugé impossible de proposer une explication de sa puissance miraculeuse. Mais, comme de plus en plus l’aspect moral et spirituel du Royaume de Christ doit être devenu apparent à même l’intellect plus ennuyeux, la déception amère de ses pensées messianiques et espoirs doit ont poursuivi, croissant en proportion que, à côté d’elle, la processus d’aliénation morale, inévitablement liée à sa résistance à cette manifestation spirituelle, a continué et augmenté. Et si le mental et l’aliénation morale ensemble, le contrecoup et affectant les uns des autres. Comme si nous étions pressés à un moment précis lorsque le processus de désintégration, ont commencé au moins judicieusement, le nom, nous insistons à ce matin-là-Sabbat à Capharnaüm, quand Christ a prêché sur sa chair comme nourriture du monde, et beaucoup de ses adhérents a cessé d' suivre après lui ; Nay, lorsque le levain a donc travaillé même dans ses disciples, qu’il se tourna vers eux avec la question de la recherche - prévu pour leur montrer l’importation complète de la crise - si elles aussi laisseraient lui ? Peter conquis en saisissant l’élément moral, parce qu’il était pertinent à lui et aux autres vrais disciples : « à qui irions-nous ? Tu as les paroles de vie éternelle. » Mais cet élément moral a été la même falaise sur lequel Judas a fait naufrage. Après cela, tout était faux et ainsi de plus en plus. Nous voyons la déception sur son visage quand ne pas d’escalade le Mont de la Transfiguration et déception dans l’incapacité à guérir l’enfant lunatick. Dans les litiges par la voie, dans les querelles qui était le plus important d'entre eux, dans toutes les mesquineries de malentendus et de folie réaliste de leurs questions ou les réponses, nous semblons entendre l’écho de sa voix, de voir le résultat de son influence, le levain de sa présence. Et dans tout cela, nous célébrons l’accélération à la baisse de son cours, même à l’instant où, contrairement à l’amour profond d’une Marie, il se tient tout d’abord devant nous démasqué, aussi cruelle, hyprocritical, plein de haine - ambition déçue étant brisés dans l’égoïsme, et l’égoïsme a glissé dans la convoitise, même pour le crime de vol qui qui était destiné aux pauvres.

Quand donne une ambition qui ne repose que sur l’égoïsme façon il se trouve à proximité il la luxure grossière de la convoitise, la parenté passion et une expression inférieure de cette autre forme d’égoïsme. Quand la foi Messianique de Judas a donné lieu à prononcer de déception, le caractère moral et spirituel de l’enseignement du Christ lui, affecterait pas avec bienveillance mais antipathetically. Ainsi, ce qui aurait dû ouvrir la porte de son cœur, seulement fermée et double de prescription il. Son attachement à la personne de Jésus donnerait lieu à la haine réelle, mais seulement de caractère temporaire ; et il fixerait l’intenseness sauvage de sa nature orientale tout en flamme. Ainsi, quand Judas avait perdu son pied élancé, ou, au contraire, lorsqu’il avait glissé sous lui, il est tombé vers le bas, l’Éternel abîme. La seule cale à qui il pourrait s’accrocher a la passion de son âme. Tel qu’il a mis la main sur elle, elle a cédé la place et est tombé avec lui dans les profondeurs fathomless. Nous, chacun d'entre nous, avons également certains maître-passion ; et si, que Dieu nous en préserve ! Nous devons perdre notre présence, nous serait également saisir cette passion-maître, et il pourrait céder la place et nous transporter avec lui dans l’éternelle sombre et profonde.

En ce jour de printemps, dans le repos de Béthanie, quand le capitaine prenait son adieu triste et solennel de ciel et terre, des amis et disciples et leur a dit ce qui devait n'arriver que deux jours plus tard, à la Pâque, il a été tout réglée dans l’âme de Judas. « Satan est entré » il. Christ aurait être crucifié ; C’était tout à fait certain. Dans le cataclysme général laisse Judas ont au moins quelque chose. Et donc, par cet après-midi ensoleillé, il les a laissé là-bas, pour chercher des discours d'entre eux qui s’étaient rassemblés, non dans leur lieu de rencontre ordinaire, mais dans Palais du grand-prêtre. Même si cela indique qu’il s’agissait d’une réunion informelle, consultative et non judiciaire. Pour, c’était un des principes de la loi juive que, dans les affaires pénales, phrase doit être parlée dans le lieu de rencontre régulière du Sanhédrin. 5569 5569 AB. Zar. 8 b, ligne avant-hier. La même conclusion est véhiculée par la circonstance, que le capitaine de la garde-Temple et ses subordonnés immédiats semble avoir été prises dans le Conseil,5570 5570 St. Luc xxii. 4. sans doute se concerter sur les mesures pour la saisie réelle de Jésus. Il y avait déjà eu un rassemblement similaire et une consultation, quand le rapport de la résurrection de Lazare atteint les autorités de Jérusalem. 5571 5571 St. John xi. 47, 48. La résolution pratique adoptée à que réunion avait apparemment été, une stricte montre désormais conserver sur les mouvements du Christ, et que chacune d'entre elles, ainsi que les noms de ses amis et les lieux de sa retraite secrète, doivent être communiquées au les autorités, en vue de son arrestation au bon moment. 5572 5572 St. John xi. 57.

C’est probablement dans l’obéissance professée à cette orientation, que le traître s’est présenté dans l’après-midi dans le Palais du grand-prêtre Caïphe. 5573 5573 propos de Caïphe, voir livre II. ch. xi. Ceux assemblés là étaient les « chefs » du sacerdoce - sans aucun doute, les Temple-fonctionnaires, chefs des cours de prêtres et de connections de la famille de la haute-Priestly, qui constituent ce que Flavius Josèphe et Talmud désignent comme Conseil sacerdotal . 5574 5574 la preuve recueillie, bien que pas bien arrangé, par Wieseler, Beitr. p. 205-230. Tous connectés avec le Temple, son rituel, administration, ordre, et des lois, serait dans leurs mains. En outre, c’était mais naturelle, que le grand-prêtre et son Conseil devraient être le milieu officiel régulier entre les autorités romaines et le peuple. Dans les questions qui les délits concernés, pas ordinaires, mais les crimes politiques (comme il a été souhaité pour représenter le mouvement de Jésus), ou qui ont affecté le statut de la religion établie, les chefs officiels du prêtre-capot seraient, bien entendu, les personnes de faire appel, conjointement avec le Sanhedrists, pour les autorités séculières. Ceci, indépendamment de la question - à laquelle on se référera dans la suite - quelle place les prêtres de chef qui s’est tenue dans le sanhédrin. Mais lors de cette réunion dans le Palais de Caïphe, en plus de ces chefs sacerdotale, les leaders Sanhedrists (« les Scribes et les anciens ») étaient également réunis. Ils ont été mis en délibéré comment Jésus pourraient être prises par la subtilité et tué. Probablement ils n’avaient pas encore fixé sur n’importe quel plan définitif. Uniquement à cette fin ils arrivés - probablement par les acclamations populaires à son entrée à Jérusalem, et de ce qui s’est passé depuis lors - que rien ne doit être fait au cours de la fête, par crainte de quelque tumulte populaire. Ils ne savaient que trop bien le caractère de Pilate, et comment dans tout ce tumulte, toutes les parties - les dirigeants ainsi que la led - pourraient rencontrer terrible vengeance.

Il doit avoir été intense soulagement lorsque, dans leur perplexité, le traître maintenant se présenta devant eux avec ses propositions. Pourtant sa réception était pas comme il peut avoir cherché. Il devrait probablement être salué et considéré comme un allié le plus important. Ils étaient, en effet, « heureux et engagé à lui donner de l’argent, » comme il a promis à ses pas de chien et guettez l’occasion qu’ils demandaient. En vérité, l’offre du traître a changé tout l’aspect de la matière. Ce qui autrefois ils redoutaient tenter semblait maintenant sûr et facile. Ils ne pouvaient pas permettre une telle occasion de glisser ; C’est celui qui ne pourrait jamais se reproduire. Nay, peut-être même pas semble-t-il, de la défection de Judas, comme si insatisfaction et l’incrédulité avaient commencé à se répandre dans le cercle intime des disciples du Christ ?

Pourtant, oisives, elles traitées Judas pas comme sociétaire honorée, mais comme un indicateur de la commun et un traître méprisable. Il s’agissait non seulement naturel, mais, dans les circonstances, la politique plus sage, tant afin de sauver leur propre dignité et à sécuriser les plus tenir sur le traître. Et, après tout, il pourrait être dit, afin de réduire ses services, que Judas ne pouvait vraiment pas faire beaucoup pour eux - seuls leur montrer comment ils pourraient saisir lui au dépourvu en l’absence de la multitude, pour éviter le tumulte possible d’une arrestation ouvert. Donc peu fait qu’ils comprennent le Christ ! Et Judas avait enfin s’exprimer il barefacedly - vente donc lui-même ainsi que le maître : « Ce qui va vous pouvez me donner ? » C’est en accomplissement littéral de la prophétie,5575 5575 Zach. XI. 12. qu’ils « pesaient » lui5576 5576 probablement, telle était la pratique de paiement public. des mêmes pièces Trésor du Temple ces trente d’argent (environ 3l. 15s.). 5577 5577 le sicle du sanctuaire = 4 dinars. Le sicle de Jérusalem se trouve, en moyenne, à une valeur d’environ 2s. 6d. Et ici nous marquons, qu’il y a toujours littéralité terrible sur les prophéties du jugement, tandis que ceux de bénédiction dépassent de loin les paroles de prédiction. Et pourtant, c’est sûrement aussi bien au mépris du vendeur à partir de lui qu’il a vendu, qu’ils ont payé le prix juridique d’un esclave. Ou signifiait une sorte de fiction juridique, comme acheter la personne de Jésus, au prix d’un esclave, afin de le remettre ensuite aux autorités laïques juridique ? Ces fictions, pour sauver la conscience par une chicane logique, ne sont pas si rares - et le cas des inquisiteurs remettre l’hérétique condamné aux autorités laïques se reproduira à l’esprit. Mais, en vérité, Judas ne pouvait pas maintenant échappé leurs fatigues. Ils aurait pu lui offrir dix ou cinq sicles d’argent, et il doit toujours avoir collé à son affaire. Encore néanmoins nous marquer la signification symbolique profonde de tout cela, en ce que le Seigneur était, pour ainsi dire, payé pour sortir le Temple-l’argent qui était destiné à l’achat des sacrifices et que lui, qui a pris sur lui la forme d’un serviteur ,5578 5578 Phil. ii. 7. a été vendu et acheté au prix d’un esclave juridique. 5579 5579 xxi Exode 32.

Et encore Satan doit entrer une fois de plus le cœur de Judas à ce souper, avant il peut enfin faire l’acte. 5580 5580 St. John xiii. 27. Mais, malgré cela, nous croyons ce n'est que temporairement, pas toujours -, il était encore un être humain, comme sur l’éternité de ce côté nous sommes tous - et il avait encore une conscience en lui. Avec cet élément, il n'avait pas compté dans son marchandage au Palais du souverain sacrificateur. Le lendemain de sa condamnation aurait il exact un compte terrible. Cette nuit-là à Gethsémani passe jamais plus de son âme. Dans l’épaississement et encerclant tout autour la morosité, il doit jamais vu seulement la lueur des flambeaux comme il est tombé sur le visage pâle de la Divine victime. Dans le terrible calme avant la tempête, il doit avoir jamais entendu parler que ces mots : « Tu Betrayest le fils de l’homme par un baiser ? » Il ne haïssait pas Jésus, puis - qu’il détestait rien ; Il détestait tout. Il était totalement dévasté, alors que la tempête du désespoir a déferlé sur son âme désenchanté et lui balayé devant elle. Personne dans le ciel ni sur la terre de pourvoi personne, ange ou homme, pour monter près de lui. Pas les prêtres, qui lui avaient versé le prix du sang, aurait quelque chose de lui, pas même les trente pièces d’argent, l’argent du sang de son maître et de sa propre âme - alors même que le Synagougue moderne, qui approuve ce qui a été fait, mais pas de l’acte , aura rien de lui ! Avec leurs « vois tu lui ! » ils envoya sous le choc arrière dans son obscurité. Pas tellement conscience pourrait être calmé. Et, plus fort que l’anneau des trente pièces d’argent comme ils sont tombés sur la chaussée en marbre du Temple, sonné il jamais dans son âme, « J’ai trahi le sang innocent ! » Même si Judas avait ce qui sur terre s’attache plus proche et plus longue à nous - amour de la femme - elle ne saurait avoir demeure en lui. Il aurait tourné dans la folie et s’enfuit ; ou il serait ont desséché, frappé par l’éclair de cette nuit de terreurs.

Plus profond - plus loin dans la nuit ! à ses limites plus éloignés - où se lève et tombe l’obscurité inonder de la mort. Le hurlement sauvage de la tempête a fouetté les eaux sombres en fureur : ils toss et Rodez les volutes sauvages à ses pieds. Un fossé étroit dans la tête trop de nuage-Rideau et, dans le pale, lumière mortifère trouve la Figure du Christ, donc calme et placide, intacte et saine et sauve, sur les eaux d’orage-jeté, qu’il y a ce soir-là se trouvant sur le lac de Galilée, lorsque Judas l’avait vu venir à t ourlet sur la déferlante Bobo et puis leur soumission à y avoir de paix. Paix ! Quelle paix lui maintenant - dans la terre ou le ciel ? Il était le Christ même, mais l’épine-couronné, avec des ongles-impressions dans ses mains et les pieds. Et ce Judas avait fait au maître ! Seulement pour un instant il semblait à mentir ; puis elle a été aspirée par les eaux sombres dessous. Et encore une fois le nuage-le rideau est tiré, seulement plus étroitement ; l’obscurité est plus épaisse et la tempête plus sauvage qu’avant. Dans cette obscurité, avec un plongeon sauvage - là, où il était resté la Figure du Christ mort sur les eaux ! Et les eaux sombres ont fermé autour de lui dans le silence éternel.

Le matin sinistre qui a éclaté sur l’autre rive où le déluge lui monter vers le haut, il respectait ceux à la recherche, aimer les yeux de Jésus, dont le regard qu’il savait si bien - quand il est venu de répondre pour les actes accomplis dans la chair ?

Et - peut-il y avoir un magasin dans la Compassion éternelle pour le traître du Christ ?