CHAPITRE XVI.
LA RÉSURRECTION DU CHRIST D'ENTRE LES MORTS.

L’histoire de la vie du Christ sur la terre ferme avec un Miracle aussi grand que celui de sa création. On peut affirmer que l’éclaire sur les autres. S’il était ce que les Évangiles représentent, il doit être né d’une vierge pure, sans péché, et il doit avoir ressuscité d'entre les morts. Si l’histoire de sa naissance est vrai, nous pouvons croire que de sa résurrection ; Si celle de sa résurrection est vrai, nous pouvons croire que de sa naissance. Dans la nature des choses, ce dernier était incapable de stricte preuve historique ; et, dans la nature des choses, sa résurrection a exigé et a été capable de toute preuve historique. Si il en existe, la clé de voûte est donnée à l’arc ; la naissance miraculeuse devient presque un postulat nécessaire, et que Jésus est le Christ dans le plein sens des évangiles. Et pourtant nous marquons, un autre point de parallèle entre le compte de la miraculeuse naissance et celui de la résurrection, l’absence totale de détails en ce qui concerne ces événements eux-mêmes. Si cette circonstance peut être considérée comme une preuve indirecte qu’ils n’étaient pas légendaires, elle aussi nous impose le devoir d’observant le silence respectueux donc bien digne de l’affaire et n’empiétant ne pas au-delà de la voie qui le récit évangélique a ouvert pour nous.

Ce chemin est suffisamment étroit et à certains égards difficile ; pas, en effet, en ce qui concerne le grand événement elle-même, ni quant à ses caractéristiques principales, mais que les plus infimes détails. Et ici, encore une fois, nos difficultés, pas tellement de tout désaccord réel, à partir de l’absence d’identité réelle. Beaucoup de ceci est propriétaire à la grande compression dans les divers récits, due en partie à la nature de l’événement avec commentaires, en partie, à l’information incomplète et possédé par les narrateurs - dont un seul était strictement un témoin oculaire, mais principalement à cela, qu’à la narrateurs différents, que le point central d’intérêt réside dans l’un ou l’autre aspect des circonstances liées à la résurrection. Non seulement Saint Matthieu,6212 6212 tellement Canon Westcott. mais aussi St. Luke, compresse donc le récit que « la distinction des points de temps » est presque effacée. St. Luke semble d’entasser dans la soirée de Pâques ce que lui-même nous dit duré quarante jours. 6213 6213 actes. i. 3. Sienne est, pour ainsi dire, l’excellence Jérusalem compte du témoignage de la résurrection ; celui de Saint Matthieu le galiléen avant tout compte de celui-ci. Pourtant, chacune implique et corrobore les faits de l’autre. 6214 6214 qui a le désir d’étudier davantage ce point on se reportera à l’analyse admirable par Canon Westcott dans ses notes préliminaires à St. John xx. Dans le même temps, je dois respectueusement dissidence expresse de son arrangement de certains des événements liés à la résurrection (US, p. 288 a). En général nous devrions nous souvenir, que les évangélistes et par la suite St. Paul, ne sont pas tellement préoccupé de raconter toute l' histoire de la résurrection quant à fournir la preuve qu’il. Et ici ce qui est distinctif dans chacune est également caractéristique de son point de vue spécial. St. Matthew décrit l’impression de la preuve complète de ce matin de Pâques sur un ami et ennemi, puis s’empresse de nous de la Jérusalem tachées de sang du Christ revient à la douce lac et le Mont béni ont d’abord il parla. C’est comme si il avait très envie de réaliser le Christ ressuscité dans les scènes où il avait appris à le connaître. Saint-Marc, qui est beaucoup plus brève, donne non seulement un simple résumé,6215 6215 je peux affirmer ici que j’ai accepter l’authenticité de la portion finales de Saint-Marc (xvi. 9-20). Si, pour des raisons internes, il faut bien admettre qu’il se lit comme un post-scriptum ; en revanche, sans lui la section lirait comme un document mutilé. Ce n’est pas l’endroit pour discuter les motifs sur lesquels j’ai enfin accepté l’authenticité de ces versets. Le lecteur peut être référencé ici Canon Cook « Version révisée des trois premiers Évangiles, » p. 120-125, mais surtout à le œuvre magistrale et exhaustive par Dean Burgon sur « Les douze derniers versets de l’Évangile selon Saint Marc ». Dans le même temps, je me risquerais à dire, que Dean Burgon n’a pas attache une importance suffisante à l’impression défavorable faite par les versets en question sur le terrain de la preuve interne (voir le chapitre sur le sujet, pp. 136-190). Et il faut avouer que, quelle que soit la vue, nous pourrions adopter en fin de compte, le sujet est assailli avec des difficultés considérables. mais, si on peut utiliser l’expression, lui dit dès le sein de la famille de Jérusalem, de la maison de sa mère, Marie. 6216 6216 actes xii. 12. St. Luke semble avoir fait la plupart enquête complète sur tous les faits de la résurrection, et son récit pourrait presque être inscrit : « Jour de Pâques à Jérusalem ». Saint-Jean de peindre ces scènes - pendant les quarante jours entiers, si dans Jérusalem ou Galilée - étaient plus importants et teachful de cette triple leçon de son Évangile : que Jésus était le Christ, qu’il était le fils de Dieu, et que, croyant, nous avons la vie en son nom. Enfin, Saint-Paul - comme celui qui est né hors échéance temps - produit le témoignage des principaux témoins du fait, dans une sorte d’apogée ascendante. 6217 6217 1 Corinthiens xv. 4-8. Et ce le plus efficacement, qu’il est évidemment au courant des difficultés et l’importation de la question et a pris soin de faire lui-même la connaissance de tous les faits de l’affaire.

La question est d’une telle importance, aussi bien en soi et en ce qui concerne cette histoire, qu’une discussion, mais brève et même imparfait,6218 6218 j’ai omis volontairement des références détaillées à et réfutation des arguments des opposants à. préalables à l’examen des narrations évangélique, semble nécessaire.

Quelles pensées concernant le Christ mort rempli de l’esprit de Joseph de Arimathæa, de Nicodème et des autres disciples de Jésus, ainsi que des apôtres et de la femme pieuse ? Ils croyaient qu’il soit mort, et ils ne s’attendaient pas qu’il ressuscitera d'entre les morts - au moins, dans notre acception de celui-ci. De cela il y a des preuves abondantes dès le moment de sa mort, dans les épices funéraires formé par Nicodème, dans ceux préparés par les femmes (qui visaient contre la corruption), de la douleur des femmes devant le tombeau vide, dans leur supposition que le corps h annonce été enlevé, dans la perplexité et le relèvement de l’Apôtre, dans les doutes de tant et en effet dans la déclaration expresse : « car encore ils ne savaient pas l’écriture, qu’il doit à nouveau se lever d'entre les morts. » 6219 6219 St. John xx. 9. Et l’avis dans l’Évangile de Saint Mathieu,6220 6220 St. Matt. XXVII. 62-66. que le Sanhedrists avait pris des précautions contre son corps volé, afin de donner l’apparence d’accomplissement à sa prédiction qu’il passerait à nouveau après trois jours de6221 6221 mais il faut sincèrement avouer qu’il n’y a force dans certains cas, mais pas dans tous, les objections préconisées contre cet incident par Meyer et d’autres. On besoin difficilement dire que cela n’invaliderait en aucune façon la vérité du récit. Plus loin, qui nous affirmer sans aucune hésitation, nous ne pouvons pas à l’heure actuelle entrer sur la question. Voir p. 636, 637. -que, par conséquent, ils connaissaient une telle prédiction et pris au sens littéral - donnerait plus d’importance pour le roulement opposé des disciples et leur manifeste l’espérance d’une résurrection littérale. Ce que les disciples devraient, peut-être souhaitent, n’était pas au retour de Christ glorifiée corporéité, mais sa seconde venue en gloire dans son Royaume.

Mais si ils le considéraient comme réellement mort et pas se lever à nouveau dans le sens littéral, cela n’avait évidemment aucun effet pratique, non seulement sur leurs anciens sentiments envers lui, mais même sur leur foi en lui comme le Messie promis. 6222 6222 l’instruction des deux sur le chemin d’Emmaüs (St. Luke xxiv. 21) : « Mais nous avons confiance que c’est lui qui doit racheter Israël, » se réfère uniquement à la grande déception de leurs espérances juives d’un Royaume messianique présents. Cela semble de la conduite de Joseph et Nicodème, de la langue des femmes et de l’ensemble roulement des apôtres et des disciples. Tout cela doit avoir été très différent, si ils avaient considéré la mort du Christ, même sur la Croix, comme ayant donné le mensonge à ses revendications messianique. 6223 6223 on peut guère supposer, que leurs idées toute de sa messianité dans ces quelques heures subi un changement complet et qui dans un sens philosophico-rationaliste, tels qu’aurait été absolument et totalement étranger d’esprit et de la formation comme les leurs. Au contraire, l’impression laissée sur notre esprit est, qui, bien qu’ils profondément attristé sur la perte de leur maître et le triomphe apparent de ses ennemis,6224 6224 St. Mark xvi. 10. Pourtant sa mort vint à eux n’est guère surprenant, mais plutôt au besoin interne et l’accomplissement de son prediciton souvent répétée. Ne pouvons-nous nous étonner à cela, depuis il a eu, depuis la Transfiguration, laborieuse, contre tous leur résistance et leur réticence, d’impressionner sur eux l’acte de sa trahison et la mort. Il avait, en effet - mais certainement pas si fréquemment ou clairement - également renvoyé à sa résurrection. Mais de ce qu’ils pourraient, selon leurs idées juives, forme une conception très différente de celle d’un littéral de la résurrection de ce corps crucifié dans un glorifié étatiques et encore capable de telles relations terrestres comme le Christ ressuscité qui s’est tenue avec eux. Et si on peut objecter que, dans ce cas, Christ doit avoir clairement leur enseigna tout cela, il suffit de répondre, qu’il n’était pas nécessaire pour ces clairement enseignement sur le point à ce moment-là ; que l’événement lui-même serait bientôt et mieux leur apprendre ; qu’il aurait été impossible vraiment à enseigner, à l’exception de l’événement ; et que toute tentative d’elle aurait impliqué une communication plus complète à ce sujet mystérieux que, à en juger de ce qui est nous dit dans les Ecritures, c’est le but du Christ dans notre état actuel de la foi et l’espérance. En conséquence, de leur point de vue, la prédiction du Christ pourrait avoir visé à la poursuite de son travail, à sa justification ou à une apparition de lui, si du ciel ou sur terre - comme celle des saints à Jérusalem après la résurrection, ou qui d’Élie dans la foi juive -, mais surtout à son retour dans la gloire ; Certes, pas à la Resurrecton telle qu’elle a effectivement eu lieu. Ce lui serait tout à fait étranger aux idées juives, qui embrassa la continuité de l’âme après la mort et la résurrection finale du corps, mais pas un état de corporéité spirituelle, beaucoup moins, dans des conditions telles que celles décrites dans les Évangiles. 6225 6225 mais même si la foi en sa résurrection avait été une exigence dans leur foi, comme Keim le fait remarquer à juste titre, telle démonstration réaliste de celui-ci ne serait pas ont été cherchée. Hérode Antipas ne recherche pas la tombe de Jean-Baptiste quand il le croyait ressuscité d'entre les morts - combien plus si les disciples du Christ ont été satisfaite de preuve beaucoup moins réaliste et plus fréquente que celle décrite dans les Évangiles. Cet examen montre qu’il n’y avait aucun motif pour inventer les détails liés à l’histoire de la résurrection. Élie, qui est donc constamment introduit dans la tradition juive, n’est jamais représenté sous forme de partage dans les repas ou en offrant son corps pour toucher ; non, les anges qui ont visité Abraham sont représentées comme seul spectacle faisant de, pas vraiment, manger. 6226 6226 so Josephus (xi ant. 1. 2) et, pour montrer que ce n’était pas une vue rationaliste, Mets de Baba. 65 b, Ber. R. 48. Plus tard traddition (Tos. à b. Mets. ; Bemidb. R. 10), semble en effet, admettre le littéral manger mais comme représentant des voyageurs et en reconnaissance de l’hospitalité d’Abraham. Onkelos simplement rend littéralement, mais le Targum de Pseudo-Jon. semble volontairement de quitter le point indéterminé. De toute évidence, les apôtres n’avaient pas appris la résurrection du Christ soit à partir de l’Ecriture - et cela prouve que le récit de celle-ci ne visait pas comme un accomplissement de l’espérance de la précédente -, ni encore les prédictions du Christ en ce sens ; Bien que sans l’un et surtout sans l’autre, la tombe vide aurait guère ont forgé en eux la condamnation assurée de la résurrection du Christ. 6227 6227 c’est bien argumenté par Weiss, Leben Jesu, vol. ii. p. 608.

Cela nous amène à la vraie question à la main. Depuis les apôtres et autres évidemment le croyait mort et devraient pas sa résurrection, et puisque du fait de sa mort n’était pas pour eux une formidable, le cas échéant, objection à son caractère messianique - tels que pourrait avoir incités à inventer ou imaginer une Résurrection - Comment doit-on tenir compte de l’histoire de la résurrection avec tous ses détails dans les quatre Évangiles et par Saint Paul ? Les détails, ou les « signes » visent clairement comme preuves à l’ensemble de la réalité de la résurrection, sans laquelle il n’aurait pas été cru ; et leur multiplication et la variété doivent, par conséquent, être considérés comme indiquant ce qui autrement aurait été non seulement de nombreuses difficultés mais insurmontables. de même, la langue de Saint-Paul6228 6228 gal i. 18. implique une enquête minutieuse et la recherche de sa part ; 6229 6229 cela se traduit par le verbe ͺστορͺω. plus rationnelle, que, outre les difficultés intrinsèques et préconceptions juives contre elle, les objections au fait doivent avoir été si souvent et grossièrement obtruded sur lui, en dispute ou par les ricanements des Grecs érudits et étudiants qui ont tourné en dérision son la prédication. 6230 6230 actes xvii. 32.

Donc, la question à relever est la suivante : compte tenu de leur état antérieur de l’esprit et l’absence de tout motif, comment doit-on tenir compte du changement d’esprit de la part de disciples en ce qui concerne la résurrection ? N’on peut au moins aucun doute, qu’ils sont venus à croire, et avec la plus absolue certitude, dans la résurrection comme un fait historique ; ni encore, qu’elle forme la base et les matières de toute leur prédication du Royaume ; ni encore, que Saint Paul, jusqu'à sa conversion un amer ennemi du Christ, était pleinement convaincu de celui-ci ; ni - pour aller un peu de recul - que Jésus lui-même m’attendais. En effet, le monde ne serait pas ont été converti en un Christ mort juif, mais ses disciples intimes peuvent ont continué à adorer sa mémoire. Mais ils prêchèrent partout, d’abord, la résurrection d'entre les morts ! Dans la langue de Saint Paul : « Si Christ n’a pas été ressuscité, puis est notre prédication vain, votre foi aussi est vaine. Oui, et nous sommes trouvés faux témoins de Dieu... vous êtes encore dans vos péchés. » 6231 6231 1 Corinthiens xv. 14, 15, 17. Nous devons rejeter ici ce qui sous-tend probablement l’objection principale à la résurrection : son caractère miraculeux. L’objection aux Miracles, à ce titre, n’entreprenne ce faux surnaturel, qui retrace un Miracle pour l' immédiat fiat du tout-puissant sans liens intermédiaires ; 6232 6232 toute la question des miracles nécessite un traitement plus complet et plus clair qu’il n’a encore reçu. et, comme déjà indiqué, il s’agit d’un cercle vicieux de pétition de principe. Mais, après tout, la miraculeuse est seulement la pour nous sans précédent et uncognisable - une base très étroite permettant de refuser une enquête historique. Et l’historien a à tenir compte du fait sans aucun doute, que la résurrection était la conviction personnelle fondamentale des apôtres et disciples, la base de leur prédication et le support final de leur martyre. Alors, quelle explication peut être offert de lui ?

1. nous pouvons ici mettre de côté deux hypothèses, maintenant universellement rejetés même en Allemagne, et qui probablement ont jamais été sérieusement diverti dans ce pays. Ils sont ceux de brut fraude de la part des disciples, qui avait volé le corps de Jésus - quant aux remarques même Strauss , qu’un tel mensonge est totalement incompatible avec leur vie après la mort, l’héroïsme et martyre ; - et encore une fois ce que Christ n’avait pas été vraiment mort lors de l’été de la Croix, et qu’il remontera progressivement à nouveau. Ne pas de parler des nombreuses absurdités qui consiste à cette théorie,6233 6233 tel que celui-ci, comment avec pieds percés il aurait pu aller à Emmaüs. Il décale vraiment - si nous acquitter les disciples de complicité - la fraude sur Christ lui-même.

2. la seule autre explication, digne d’attention, est le soi-disant "Vision-hypothèse : « que les apôtres croyaient vraiment en la résurrection, mais la simple vision du Christ avait forgé en eux cette croyance. L’hypothèse a été diversement modifiée. Selon certains, ces visions étaient le résultat d’une imagination très heureux, d’un état morbide du système nerveux. Pour cela il est, bien sûr, l’exception préliminaire, que ces visions présupposent une espérance précédente de l’événement, qui, comme nous le savons, est à l’opposé du fait. Encore une fois, une telle « Vision-hypothèse » en accepte aucun moyen avec les nombreux détails et circonstances rapportés dans le cadre de Risen One, qui est décrit comme étant apparu non seulement à une ou l’autre dans la retraite de la chambre, mais pour beaucoup et d’une manière et circonstances qui rendent l’idée d’une simple vision impossible. En outre, les visions d’une imagination excitée n'auraient pas enduré et ont conduit à ces résultats ; probablement ils auraient rapidement donné lieu à dépression correspondante.

La « Vision-hypothèse » n’est pas beaucoup améliorée, si nous considérons la vision supposée comme le résultat d’une réflexion - que les disciples, convaincu que le Messie ne pouvait rester mort (et c’est encore une fois à l’encontre de fait) avait wrough eux-mêmes tout d’abord dans une persuasion qu’il doit augmenter, puis par les visions de la Risen6234 6234 cet argument pourrait, bien sûr, être diversement élaboré et le compte dans les Évangiles représente sous la forme qu’elle a pris par la suite dans la croyance de l’église. Mais (a) l’ensemble « Vision-hypothèse » est sombre et irréel, et les auteurs sacrés eux-mêmes montrent qu’ils savaient que la distinction entre les visions et les apparitions réelles ; (b) il est impossible de concilier avec ces occurrences que St. Luc xxiv. 38-43 et St. John xxi. 13, et, si possible, plus encore, de mettre de côté tous ces détails comme l’issue de la tradition ultérieure, pour lequel il a été sans autre fondement que le désir de faire valoir une vision ; (c) il est incompatible avec l’enquête minutieuse de Saint-Paul, qui, comme sur tant d’autres occasion, est ici un témoin le plus important. (d) la théorie implique la manipulation plus arbitraires de l’Évangile-récits, tels que que les apôtres étaient à la fois retourné en Galilée, où la vue des scènes familières avait allumé dans leur cet enthousiasme ; que tous les avis sur le « troisième jour » sont à rejeter, & c. (e). Ce que croyait tellement fondamentale que celle de la résurrection ne pouvait avoir son origine dans une vision illusoire. Ceci, comme l’a montré Keim , serait incompatible avec la clarté calme de condamnation et forte finalité d’action qui ont été ses résultats. En outre, nous sommes de croire que l’enthousiasme a saisi tout d’abord les femmes, alors que l’Apôtre, et ainsi de suite ? Mais comment, dans cette affaire, dont les 500 Saint Paul parle ? Ils pouvaient difficilement tous ont été saisis avec la manie même. (f), une simple vision est impensable dans de telles circonstances comme la marche d’Emmaüs, la conversation avec Thomas, avec Peter, & c. En outre, il est incompatible avec l’octroi de telles promesses définies par le Christ ressuscité que celle de l’Esprit Saint et de telles instructions détaillées que celle de l’évangélisation du monde. (g) Enfin, comme le souligne Keim , il est incompatible avec le fait que ces manifestations ont cessé avec l’Ascension. Nous avons huit ou au plus neuf ces manifestations au cours de six semaines, et puis ils cessent soudainement et de façon permanente ! Cela ne serait pas conforme avec la théorie des visions de la part des amateurs enthousiastes. Mais les apôtres telles ? Fait pas la lecture de la laisser sur le lecteur impartial le Gospel-récits exactement l’impression contraire ? Une. Ni encore il recommande elle-même plus dans notre esprit, si ont été de supposer que ces visions avait été directement envoyées de Dieu lui-même,6235 6235 ces deux modes de comptabilité pour le récit de la résurrection : par fraude et que Christ n’était pas mort réelle, ont déjà tenté de Celse, il y a 1700 ans et le premier, par les Juifs bien avant que. Keim a soumis, tel que modifié par les différents avocats, pour une critique de la recherche et, avec une ironie vif, présentaient leur absurdité totale. En ce qui concerne la supposition de fraude, il dit : il montre que même pas la moindre idée de la Sainte condamnation des apôtres et des premiers chrétiens a pénétré les esprits endurcis. L’objection que le ressuscité avait seulement s’est manifesté à des amis, pas devant les ennemis, est également aussi vieux que Celsus. Il ignore que, tout au long, la révélation du Christ ne remplace pas, mais implique la foi ; qu’il n’y a aucune une telle chose dans le christianisme comme forcer la conviction, au lieu de susciter la foi ; et que les manifestations du Christ ressuscité visait à confirmer, au confort et d’enseigner à ses disciples. Quant à ses ennemis, le Seigneur avait expressément déclaré qu’ils ne seraient pas le revoir jusqu'à l’arrêt. pour attester le fait que le Christ a vécu. Pour, nous avons ici à faire face à une série de faits qui ne s’explique donc, comme la projection eux son plaies sacrées ; l’offre y toucher ; la commande de gérer lui, afin de se convaincre eux-mêmes de sa corporéité réelle ; le manger avec les disciples ; l’apparence par le lac de Galilée et d’autres. En outre, la « Vision-l’hypothèse » a pour tenir compte des événements du matin de Pâques et surtout pour le tombeau vide de la grande pierre qui avait été déployée et où la très cerements6236 6236 exagération, bien sûr, serait ici hors de question. des décès ont été observés par ceux qui y est entré. En effet, un tel récit que celui enregistré par St. Luke6237 6237 St. Luc xxiv. 38-43. semble presque conçu pour restituer la « Vision-l’hypothèse » impossible. On nous dit expressément, que l’apparition du Christ ressuscité, donc loin d’atteindre leurs anticipations, avait effrayés à eux, et qu’ils avaient cru il spectrale, sur lequel Christ a rassurées et invités les gérer lui, pour « un esprit n’a pas la chair et OS , que vous voici m’avoir. » Enfin, qui a enlevé le corps du Christ provenant de la tombe ? Six semaines plus tard, Peter a prêché la résurrection du Christ à Jérusalem. Si les ennemis du Christ avaient enlevé le corps, ils pourraient facilement avoir réduit au silence Peter ; Si ses amis, ils auraient été coupables de cette fraude, que pas même Strauss estime possible dans les circonstances. Les théories de la tromperie, illusion,6238 6238 la plupart étude profondément douloureuse, mais aussi intéressant est celui de la conclusion à laquelle Keim arrive en fin de compte (Gesch. Jesu v. Naz. III. p. 600-605). Il a déjà été constaté avec quelle ironie impitoyable, il expose la fraude et la théorie non-mort, ainsi que les arguments de Strauss. La « Vision-l’hypothèse », il semble dans un premier temps à défendre avec beaucoup d’ingéniosité et de la puissance rhétorique. Et il réussit plus facilement, en ce que, hélas, il lui remet - bien que plus arbitrairement - presque tous les détails historiques dans le récit de la résurrection ! Et encore, ce qui est le résultat à ce qu’il finalement arrive ? Il présente, peut-être avec plus de certitude que quiconque, que la « vision-hypothèse » est également impossible ! Après avoir fait, il admet pratiquement qu’il ne peut offrir aucune explication quant à « la mystérieuse sortie » de la vie de Jésus. Sans doute les visions du Christ ressuscité ont obtenu directement par Dieu lui-même et par le Christ glorifié (p. 602). « Nay, même l’apparence corporelle elle-même peut être accordée à ceux qui, sans elle, la peur de perdre tous » (p. 603). Mais de cela il y a qu’un très petit pas pour l’enseignement de l’église. En tout cas, le plus grand des critiques négatives, de l’aveu de son incapacité à expliquer la résurrection d’une manière naturelle, donne la confirmation plus complète à l’article fondamental de notre foi chrétienne. et vision étant donc impossible et l’opposition à priori au fait, puisqu’elle concerne un Miracle, étant une pétition de principe, l’étudiant historique est enfermé à la simple acceptation de la narration. Cette conclusion l’impréparation des disciples, leurs avis précédents, leur nouveau témoignage à la martyre, la Fondation de the Christian Church, le témoignage de tant de personnes, individuellement et en société et la série de manifestations enregistrées pendant quarante ans jours et dans de telles circonstances différentes, où l’erreur a été impossible, avait déjà fait avec certitude infaillible. 6239 6239 Reuss (Hist. Evang. p. 698) Remarques bien, que si ce dogme fondamental de l’église avait été le résultat de l’invention, soin auraient été prises que les comptes de celle-ci doivent être dans le plus strict et le plus littéral accord. Et même si de légères divergences, nay, quelques détails pas strictement historiques, ce qui aurait pu être le résultat d’une tradition plus ancienne dans l’église apostolique, pourraient figurer dans les comptes qui n’étaient pas des témoins oculaires, il n’invaliderait pas assurément le grand fait lui-même, qui n’hésite pas peut être prononcée que que mieux mis en place dans l’histoire. Dans le même temps, nous aurait soigneusement nous prémunir contre l’admission que ces défauts hypothétiques existent réellement dans les récits. Au contraire, nous croyons eux capable de l’arrangement plus satisfaisant, sauf sous la contrainte de l’hypercritique.

L’importance de tout que cela ne peut s’exprimer convenablement en mots. Un Christ mort pourrait ont été enseignant et Wonder-travailleur et me suis souvenu et aimé comme tel. Mais seulement un ressuscité et le Christ vivant pourraient être le Sauveur, la vie et le donateur de vie et comme tel a prêché à tous les hommes. Et cette vérité plus bénie, nous avons la preuve de la plus complète et la plus incontestable. Nous pouvons, par conséquent, implicitement rendement nous-mêmes à l’impression de ces récits et, encore plus, pour la réalisation de ce fait plus sacré et béni. Il s’agit de la Fondation de l’église, l’inscription sur la bannière de ses armées, la force et le réconfort de tous les cœurs chrétiens, et le grand espère de l’humanité :

« Le Seigneur est vraiment ressuscite. » 6240 6240 Godet avec justesse conclut son analyse en mesure du sujet en observant que, si Strauss admet que l’église ne serait jamais survenu si les apôtres n’avaient pas eu inébranlable foi dans la réalité du Christ La résurrection, nous pouvons ajouter, que cette foi des apôtres ne serait jamais survenu à moins que la résurrection avait été un fait historique véridique.

II.630

LA CROIX ET LA COURONNE