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Comme si cela ne suffisait pas, la Mère même de Dieu lui apparut,
dans la sphère convulsée, «dans un spectacle de mouvements
célestes dans la transmission de messages muets mais éloquents
au Vicaire du Christ». [7] Il n'était pas difficile pour un si saint
successeur de Saint-Pierre, donc, de trouver un roi digne. Le fait
que Pie XII ait dû mener des négociations secrètes avec Mussolini
fut discrètement étouffé. L'élu? Victor Emanuel, roi d'Italie, que
Pie XII lui-même avait peu de temps auparavant béni comme
«l'auguste et sage empereur d'Ethiopie» [8], après l'impitoyable
Italie impitoyable la conquête de l'Abyssinie copte, où le fascisme
et le catholicisme ont été conjointement pour implanter la
civilisation catholique-fasciste.
Le pape Pie XII (1939-1958) était un diplomate brillant, un
politicien rusé. Ces caractéristiques ont fait de lui l'une des
personnalités les plus importantes de notre temps. Un match pour
ses collègues dictateurs fascistes et communistes. Lui, plus que
quiconque à l'extérieur de l'Allemagne, a aidé Hitler à prendre le
pouvoir. Il l'a fait en dirigeant le parti catholique allemand et les
principaux dirigeants catholiques pour soutenir le Führer.
L'obsession des animaux de Pie était le communisme. Après la
Première Guerre mondiale, il allia l'Église avec le fascisme italien,
espagnol et allemand, et avec les États-Unis après la Première