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Comme Ante Pavelich, qui a aidé à la désintégration de la
Yougoslavie à créer son État catholique indépendant de Croatie
sous la protection nazie, donc Mgr. Tiso a travaillé sans relâche
pour la ruine finale de la Tchécoslovaquie pour créer l'État
catholique indépendant de Slovaquie, qu'il a gouverné en tant
qu'Etat nazi Quisling.
Bien qu'il n'ait jamais égalé la terreur de la Croatie, Mgr. Tiso a
mis en place une dictature catholique dans laquelle l'Église a été
déclarée suprême et où les doctrines catholiques-nazis ont été
impitoyablement appliquées sur tout le monde. Après la chute de
Hitler, Mgr. Tiso a été liquidée par les Alliés. Le pape Pie XII a
protesté, disant que Mgr. Tiso avait été un martyr pour "la liberté
religieuse".
Bien que personne ne sache ce qu'était le «secret» de Fatima, il a
été murmuré que c'était la libération et la conversion imminentes
de la Russie. Le pape Pie XII, bien sûr, ne pouvait pas laisser le
troisième et dernier "secret" de Notre-Dame lui aussi rester secret.
Il fit ouvrir la lettre scellée, contenant le secret selon l'un des
enfants qui avaient parlé à Notre-Dame de Fatima. Il raconta
ensuite qu'en le lisant, il s'était presque évanoui avec un
étonnement horrifié.
C'était une bonne méthode pour inciter la frénésie de Fatima à des
attentes encore plus élevées. Non content de cela, Pie XII est venu
personnellement à conditionner le monde catholique à la guerre
imminente. C'est ainsi que durant l'hiver 1956-57 (note:
immédiatement après l'échec de la contre-révolution hongroise), il
invita effrontément tous les catholiques à se joindre à une
véritable croisade de Fatima en les exhortant à prendre part "à