Page 212 - L

Version HTML de base

212
Chapitre 12
LE VATICAN ET LES ÉTATS-UNIS DÉFENSEURS DES
CRIMINELS FASCISTES DE LA DEUXIÈME GUERRE
MONDIALE
Le Vatican, en tant que protecteurs ouverts de la Croatie fasciste
nazie et d'autres dictatures d'extrême droite de l'Europe, avec
l'effondrement du monde fasciste, est devenu l'assistant secret de
ceux qui ont été enterrés sous les ruines de l'Empire hitlérien.
Après que les principaux acteurs du régime nazi, après le procès
de Nuremberg, aient été exécutés par les Alliés victorieux, des
milliers de petits criminels de guerre se sont cachés sous les ailes
protectrices de l'Église catholique.
Beaucoup ont cherché refuge, littéralement dans les couvents, les
monastères, les séminaires ou d'autres institutions religieuses et
semi-religieuses.
Les
autorités
catholiques
agissaient
principalement au nom de la charité «chrétienne» ou pour des
raisons humanitaires, comme beaucoup d'entre eux l'avaient déjà
fait avec les Juifs, quand ceux-ci étaient persécutés par les nazis.
D'autres, cependant, ont aidé les criminels de guerre en fuite,
pour des motifs purement idéologiques. Parmi ceux-ci non
seulement les chefs des institutions catholiques, mais aussi les
évêques, et même les cardinaux. À cause de ce dernier, beaucoup
de criminels de guerre importants, ceux qui avaient aidé le
Vatican à établir les satrapies catholiques de la Croatie ou de la
Slovaquie, furent accueillis dans les murs de la Cité du Vatican.