LA LUMIÈRE DE CHRIST EN NOUS

 

par Jean leDuc

Juillet 2020

 

LE VOYAGE VERS LA CITÉ CÉLESTE

 

L'ESSENCE DE LA LUMIÈRE SUBLIME

 

LA LUMIÈRE DU MONDE

 

LA LUMIÈRE DE L'ÉVANGILE

 

LA LUMIÈRE DU DERNIER MOMENT

 


 

LE VOYAGE VERS LA CITÉ CÉLESTE

Il n'y a pas de phénomènes plus merveilleux que celui de la lumière. Elle éclaire tout, nous donne sa chaleur, fait pousser la végétation, et nous donne de distinguer les formes et les couleurs dans toute la création. Elle éclaire nos demeures et la voie sur laquelle nous marchons, de crainte de trébucher dans la noirceur. Ses bienfaits sont nombreux, mais elle détient aussi des aspects contraires nuisibles pour la santé, et peut occasionner des sécheresses et des feux de forêts désastreux, et ruiner la vie d'un grand nombre de personnes. Or par analogie tous ces aspects se retrouvent au niveau spirituel.

 

À plusieurs reprises, nous avons lus des études bibliques qui traitaient de la personne de Dieu, notre Esprit des vivants, en relation avec la lumière et les ténèbres. Bien souvent, nous avons constatés que les auteurs de ces études ne se souciaient pas vraiment de ce que les textes disent réellement. En fait, leur premier souci est de communiquer un avis qui leur semble juste parce qu’il correspond à leur intérêt personnel. Autrement dit, on utilise la Parole de Dieu pour lui faire dire ce que l’on cherche à dire. Or, ce ne sont pas nos opinions personnelles qui doivent guider notre approche de l’Écriture, mais la révélation divine de Christ en nous qui nous instruit dans toutes choses. Surtout en ce qui concerne sa Personne unique ou majesté de son existence sublime, et les Saintes-Écritures qui nous en donne la connaissance. La vérité l'emporte toujours sur les spéculations des hommes, tout comme la lumière l'emporte toujours sur les ténèbres.

 

La Bible nous dit clairement que «Dieu est Lumière» (1 Jean 1:5-10), et cela est notre point de départ pour notre voyage vers la splendeur de la «Cité Céleste» (Héb. 12:22-24). En fait, la lumière est la première chose qui fut manifestée au début de la création (Gen. 1:3). Il est évident qu'il ne s'agit pas de la lumière du soleil, de la lune, ou des étoiles, ces choses ont été créées beaucoup plus tard (Gen. 1:16). Plusieurs ont soumis l'opinion qu'il s'agissait ici de la lumière de la matière en fission dans le vide de l'espace lors de la création. Mais une telle notion est complètement dépourvue du caractère de Dieu et de la révélation scripturaire. Elle provient de la science plutôt que de la Bible. Dans ce contexte particulier, la lumière est la Sainte Présence de l'Esprit des vivants qui met de l'ordre dans la substance chaotique primordiale qui formera l'Univers, et tout ce qu'il contient. Par analogie cela se rapporte au chaos dans le cœur de l'homme dépravé et corrompu, dans lequel Dieu vient y mettre de l'ordre. Remarquons aussi qu'il n'est pas dit que la lumière aurait été créée, mais «qu'elle soit», c'est à dire «qu'est soit mise en évidence ou manifestée, que sa présence devienne connue.

 

Or ce principe s'applique à la révélation de la Sainte Présence de Christ dans le cœur de ses élus en qui il vient habiter. Il vient aménager notre vie et prend charge de notre existence. La fonction principale de la lumière est d'éclairer afin que l'on puisse voir les choses clairement pour ce qu'elles sont. Cela correspond à la vérité dans laquelle les élus sont instruits et formés, assurant qu'ils marcheront toujours dans le bon chemin, veillant à ce qu'ils ne s'en égarent point. De même la chaleur de lumière correspond à l'énergie de Christ dans le cœur de ses élus qui les motivent et les animent dans la suffisance de la grâce pour leur vie de tous les jours.

 

La beauté de cette lumière qui brille dans nos cœurs, n'est-elle pas la splendeur sublime d'Emmanuel, l'Esprit des vivants avec nous et en nous ! Sa Sainte Présence nous illumine de la lumière de sa gloire, et nous rayonnons de ses merveilles en ce monde de ténèbres, témoignant ainsi de la puissance de sa grâce comme des flambeaux qui éclaire le seul chemin de la vérité et de sa majesté. Oui, nous sommes des fils de Dieu, des enfants de la lumière, des héritiers de la promesse de sa gloire éternelle, et jamais nous ne périrons. Ceux qui s'opposent à nous, s'opposent contre la lumière de la vérité, car ils s'opposent à l'Esprit des vivants. Christ en nous n'a rien avec eux, jamais les ténèbres de la duplicité ne prévaudront, elles seront dissipées dans le néant d'une existence de solitude absolue où il y aura des pleurs et des grincements de dents.

 

A l'instant que la lumière de la vérité s'allume en nous, la première chose que nous voyons est le désordre dans notre vie. Tous nos péchés reviennent à la surface pour troubler notre conscience, cherchant constamment à nous culpabiliser. Mais nous sommes aussi donnés de voir que toutes nos iniquités sont purifiées dans le sang de Christ en recevant la grâce de sa miséricorde. Cela est le premier sujet de joie que nous expérimentons dans notre vie chrétienne. Une joie glorieuse et incomparable qui n'est pas de ce monde. De même lorsque nous sommes donnés l'assurance de notre salut dans le sacrifice de la croix, nous obtenons une paix divine qui surpasse tout notre entendement. Plus nous avançons dans cette grâce merveilleuse, plus la lumière brille pour nous instruire et nous former comme des enfants d'adoption, héritiers de la gloire à venir d'une existence divine et éternelle.

 

Un autre aspect de cette lumière sublime, est que nous pouvons reconnaître qui sont les vrais et les faux chrétiens, et oh! comment cela est nécessaire de nos jours, dans lesquels tous se disent chrétiens, même le diable. Le discernement est cet aspect de la lumière qui nous dévoile toutes choses. Sans lui nous demeurerions dans les ténèbres de la prétention et de la présomption, comme les sectes évangéliques dite chrétiennes (voir: L'abomination de la présomption).

 

L'ESSENCE DE LA LUMIÈRE SUBLIME

Les caractéristiques de la lumière sublime sont tellement vastes et complexes qu'aucun homme ne peut en saisir toute la portée. Dans son essence elle se rapporte au domaine de la pensée, c'est à dire de la réflexion, le raisonnement ou l'intellect qui nous porte à analyser toutes les données que nous recevons. Ce procédé est relié à celui de la volonté qui en détermine les aspects, et de la parole qui met en action les réalisations ces trois principes de l'existence initiale que nous appelons l'esprit. Au niveau de la divinité ces caractéristiques sont insondables et incompréhensibles. Nous en obtenons seulement quelques lueurs par la révélation de Christ en nous. Puisque l'Esprit des vivants a créé l'homme à son image, nous sommes ainsi les reflets de ces mêmes caractéristiques, ce qui fait que nous avons la vie, c'est à dire que nous sommes des êtres vivants, des créatures rationnels. Nous portons en chacun de nous ces trois principes vitaux à notre existence en ce monde: la volonté, la pensée et la parole. C'est la raison pour laquelle le mot Hébreu Élohim se traduit par Esprit des vivants, car la créature est le reflet de son Créateur.

 

Mais par sa rébellion en Éden l'homme a pollué toutes ces choses, elles sont depuis toutes souillées par le péché, encrassées par ses iniquités qui le séparent de Dieu pour tous les temps et éternellement. En d'autres mots, sa lumière s'est éteinte, il est devenu une créature des ténèbres, un mort-vivant qui marche dans les failles de ses raisonnements charnels et captieux, enchaîné dans les passions de sa chair. Dans ses illusions de grandeurs, il s'est voulu maître de son destin, mais son déclin est évident dans tous ses agissements. En d'autres mots, il a perdu l'image de Dieu qui se retrouve uniquement en Christ.

 

La lumière de la gloire de l'Esprit des vivants n'est plus accessible à l'homme, il doit mourir en Christ pour la retrouver. Mais cela lui est impossible, son cœur est désespérément malin et tortueux par-dessus toute choses, il n'a pas la capacité ni le désir pour cela. Il faut donc une intervention divine, ce qu'on nomme un miracle. Or une telle intervention a été déterminée d'avance avant la fondation du monde, mais non envers tous les hommes, mais seulement envers ceux que Dieu a choisi pour être des temples de la lumière et de la splendeur de la Sainte Présence de Christ. Le but glorieux de cette élection est de former une nouvelle race céleste et éternelle à l'image de Christ, mais cela nécessite un changement de cœur en ceux qui ont été choisis. Une telle opération prodigieuse se fait seulement dans les souffrances et les douleurs atroces du sacrifice de la croix. Là le cœur des élus est déchiré en lambeaux pour laisser pénétrer la lumière d'une nouvelle vie qui devient le nouveau centre de leur existence. Ainsi ils meurent en Christ à leur ancienne vie, mais ils sont ramenés à la vie par la puissance de la résurrection par laquelle la Sainte Présence de Christ vient habiter en eux. Christ est leur nouveau cœur dans lequel brille la lumière d'une nouvelle espérance où nous voyons la lueur d'un nouveau jour poindre à l'horizon. L'essence da lumière sublime est ainsi rétablie dans les élus qui s'en réjouiront éternellement.

 

LA LUMIÈRE DU MONDE

Par «lumière du monde» nous ne parlons pas de la lumière naturelle, mais de la lumière de la vie en ce monde de ténèbres. Spécifions que le mot monde» ou «cosmos» dans le Grec, n'a pas une portée globale pour désigner «tous les hommes» sur la surface de la terre. Il signifie littéralement «l'ordre établit, l'arrangement ou la disposition des choses ou des cœurs dans des endroits ou des cas particuliers». Le mot «monde» détient donc un sens sélectif pour désigner «tous genres d'hommes» dans un contexte particulier pour indiquer les différentes classes ou conditions de gens: pauvres ou riches, mâle ou femelles, esclaves ou libres, Juifs ou Gentils, païens ou chrétiens, etc.. Dans le Nouveau Testament, il est utilisé en général pour désigner la période de la disposition de la loi qui correspond à la disposition de la chair ou de la condition du cœur de l'homme.

 

Le Seigneur Jésus avait dit: «JE SUIS la lumière du monde: celui qui me suis ne marchera pas dans les ténèbres, marra la lue la vie.» (Jean 8:12). Dans ce contexte historique et cultuel, Jésus parlait à des pharisiens qui cherchaient à le condamner pour avoir violer la loi, selon leur entendement. Ils ne réalisaient point qu'ils se tenaient devant l'Auteur de la loi. Or Jésus signifiait par ses paroles qu'il était la lumière de la disposition de la loi, et la Source de la vie. Dans un sens moderne, on peut dire qu'il était la lumière de la conscience, et on ne se tromperait pas, car la loi écrite et la loi de la conscience proviennent d'une même Source (voir: La responsabilité du péché et ses conséquences).

 

Selon l'enseignement du Seigneur Jésus, on ne peut avoir la vie sans le suivre. Premièrement il ne s'agit pas ici de la vie naturelle, mais de la vie éternelle. Deuxièmement, suivre Jésus ne signifie pas de chercher à imiter sa vie, ses exemples ou sa conduite, cela est impossible à un homme, on ne peut vivre la vie d'une autre personne autant qu'on l'admirerait ou qu'on le voudrait. Malheureusement plusieurs ont tombés dans ce piège de l'imitation, pensant obtenir la sainteté de cette façon. Or suivre Jésus signifie être son disciple, son élève, celui qui apprend aux pieds du Maître. En d'autres mots, il s'agit de celui ou celle qui est éduqué dans ses principes par l'Esprit de sa Sainte Présence qui habite en lui. Évidemment qu'une bonne connaissance des Saintes-Écritures et de l'histoire est très utile, mais il s'agit de beaucoup plus ici. D'ailleurs nous savons que la grande majorité de ceux qui font des études sur la Bible, n'ont pas l'Esprit de Christ. Leurs études ne sont que superficielles, et vont toujours dans la voie de leurs opinions pour supporter leurs points de vue, ou ceux de leurs églises ou sectes. Au contraire, l'éducation que nous recevons de Christ en nous, implique beaucoup de souffrances et de douleurs, d'épreuves et de conflits de tous genres. On ne peut être formé dans la vérité sans traverser ces choses. Vos ennemis seront généralement ceux de votre famille, de votre église, ou de votre entourage. Mais n'oubliez jamais que vous être en réalité votre pire ennemi. Notre nature humaine déchue et corrompue nous livre des combats interminables, jusqu'à ce que nous réalisions pleinement que nous avons déjà la victoire en Christ, et que cette victoire est constante et permanente. Comment pourrait-il en être autrement, car Christ habite en nous pour nous former selon le bon plaisir de sa volonté, et pour la gloire de son Nom.

 

Or nous sommes dans le monde, mais nous ne sommes pas de ce monde; c'est à dire que nous sommes dans cette disposition d'existence naturelle, mais nous ne sommes pas de cette disposition charnelle, car nous sommes des nouvelles créatures qui participeront à une nouvelle création. La leçon principale que nous apprenons dans notre éducation par l'Esprit des vivants, est de faire confiance en Christ pour toutes choses en notre vie, de la plus petite à la plus grande. Ce principe se nomme «marcher par la foi», c'est à dire «par l'assurance que nous obtenons dans le sacrifice de la croix en notre faveur». Il correspond à ce qui est nommer «faire des bonnes œuvres», c'est à dire «des réalisations gracieuses d'une certitude inébranlable en la Sainte Présence de Christ en nous». Nous pourrions l'appeler aussi «la diffusion de la lumière de Christ dans les différents aspects de ses principes», pour l'édification de ses élus.

 

LA LUMIÈRE DE L'ÉVANGILE

Sous l'Ancienne Alliance de la loi, l'Esprit des vivants utilisait les prophètes pour transmettre ses messages au peuple d'Israël. Quoique le contenu des messages variait selon les temps, les situations et les besoins, il s'agissait généralement d'avertissements pour ramener le peuple dans la bonne voie de laquelle il s'était égaré. Il contenait des condamnations sévères dans ses exigences de rectifications. Le même principe s'applique avec l'Évangile. Il ne s'agit donc pas d'une «Bonne Nouvelle», comme le prétendent les sectes diaboliques dites évangéliques. Mais du message de la mort atroce d'un innocent sur une croix, dans des souffrances et des douleurs inexprimables. Obtenir le pardon des péchés et l'assurance du salut nécessitait une telle horreur, afin que nous puissions hériter des promesses de la grâce, dans les mérites de Celui qui a été crucifié à notre place, comme notre Substitut. L'infamie de croix avait même été déterminée d'avance avant la fondation du monde. L'Évangile est donc, avant toutes choses, le message d'un décret éternel d'une décision irrévocable, de faire grâce aux élus seuls par le sacrifice de la croix. Il s'agit du renoncement de l'Esprit des vivants dans l'humilité de Christ qui s'est offert en sacrifice, pour nous racheter de la condamnation de la loi pour nos péchés. On ne peut en obtenir une meilleure définition. L'Évangile est donc la lumière de cette vérité, dont les rayons sont diffusés dans toutes les nations, par des messagers de la Sainte Présence de Christ. La lumière de Christ en nous, nous transperce, pour éclairer les cœurs enténébrés qui ont été désignés pour la recevoir, afin qu'eux aussi puissent briller de sa gloire.

 

L'Évangile des évangéliques est un faux, un évangile de confort qui demande que la vague croyance d'une foi superficielle qui se nomme de la présomption. Il n'y a aucun renoncement ni aucune humilité dans leur évangile. Il s'agit simplement de présenter quelques versets de la Bible prit en dehors de contexte, dans la proclamation d'un message qui demande aux gens d'accepter Jésus comme leur Sauveur personnel, en prenant une décision libre de croire. Le sentimentalisme est leur motivation, donc aucun besoin de renoncement ni d'humilité. Ils prennent la voie large et spacieuse, mais souffrant de cécité spirituelle, ils s'imaginent être sur la voie étroite. Leur évangile est celui de l'hérésie du libre-choix qui valorise les efforts de la nature humaine, afin de maintenir sa dignité illusoire. Ils sont installés confortablement dans le bourbier excrémentiel, de leurs fausses doctrines et de leurs opinions personnelles, qu'ils prennent pour la vérité même. Inutile donc de les déranger avec la lumière du message de la grâce souveraine. Ils n'en veulent simplement pas et la méprisent constamment. La lumière de l'Évangile authentique est pour eux une abomination. Ils préfèrent les ténèbres de leur ignorance, et y demeureront pour l'éternité.

 

LA LUMIÈRE DU DERNIER MOMENT

Les données de l'information qui suivent, sont strictement pour les élus. Les exclus n'en comprendront rien, ils ne feront que la mépriser et la discréditer, comme d'habitude. Ils perdent leur temps, mais nous ne perdrons pas le nôtre pour plaire à leurs caprices. Notre sujet se rapporte à la lumière du dernier moment de la fin des temps. Nous ne souscrivons pas au millénaire fantaisiste des réprouvés évangéliques, avec leurs nombreuses insanités plus extravagantes l'une que l'autre.

 

L'époque de Jésus et de ses apôtres avait été désigné de toute éternité, par l'Esprit des vivants, pour faire resplendir la lumière de la vérité. Pourquoi cette époque et pas un autre demeure un mystère. La race humaine de ce temps était-elle moins corrompue que de nos jours ? Comment mesure-t-on le niveau de corruption dans une population, devient donc un facteur important qu'on ne peut négliger. Or cela est déterminé par le nombre de personnes vivants dans un époque particulier. Simplement dit, plus il y a de gens, plus la corruption est vaste et profonde; et plus les gens s'éloignent de la lumière de la vérité, le désordre règne. Selon cette simple logique, un petit village serait moins corrompu qu'une grande ville, et un petit pays moins corrompu qu'une grande nation. Mais lorsque nous regardons à la population du monde entier, à quoi donc pouvons-nous la comparer ? Pour le chrétien réel cela n'est pas un problème. La comparaison de notre monde moderne actuel se fait avec celui de l'époque avant le déluge de Noé. Des savants compétents ont penché sur la matière, et ont calculé que la population du monde entier à cette époque était de six à neuf milliard de personnes. La corruption de la race humaine avait atteint son sommet, tellement que Dieu a décidé de toute l'exterminer (Gen. 6:5-7,11-13), sauf huit personnes qui entrèrent dans l'arche du salut.

 

Le parallèle du monde de Noé avec le nôtre est clairement établit. Le niveau de corruption entre les deux est très similaire, cela est irréfutable. Il y a même de fortes raisons de penser que nous l'avons surpassée de loin. Si Dieu a complètement détruit le monde de cet époque, il détruira assurément le nôtre, cela est inévitable. Une chose est à remarquer, au début de l'époque du monde de Noé il y avait plusieurs justes sur la terre, mais avec le temps la corruption augmenta et il en restait que huit. En d'autres mots, plus la corruption augmente dans une population, moins il s'y trouve d'élus. Le même principe s'applique à notre monde moderne. De même, plus les sectes évangéliques dites chrétiennes sont en croissances, moins il y a de vrais chrétiens sur la terre. Or de nos jours, les nids de vipères évangéliques, se trouvent dans tous les recoins du monde. Le vrai christianisme est donc presque inexistant de nos jours.

 

Maintenant ce que nous allons dire va en frapper plusieurs. Nous sommes présentement, à l'instant même, au dernier moment de l'existence de la race humaine. Par analogie avec le temps de Noé, nous savons qu'il reste seulement huit élus dans le monde entier qui vont entrer dans l'arche du salut en Christ, qui s'ajoutent aux autres qui s'y trouvent. Et qu'à ce moment la porte de la grâce sera fermée pour de bon. L'arche sera pleine, il n'aura plus de place pour personne d'autre, il n'y aura plus de salut possible pour le reste du monde. Or voici ce que nous vous disons en Christ, le temps est arrivé, les huit derniers élus sont déjà entrés dans l'arche du salut, et la porte de la grâce a été fermée, scellée. Aucun ne peut l'ouvrir. Or nous connaissons les huit derniers élus ainsi que leur nom. Il s'agit de cinq hommes et trois femmes. Leurs noms ne vous importent point. Quel sera donc les évènements qui vont suivre ? Encore, par analogie avec l'époque de Noé, lorsque la porte de l'arche fut fermée, la pluie commença à tomber pour détruire tous les hommes de la face de la terre. Ainsi de nos jours, lorsque la porte de la grâce fut fermée, la pluie des fléaux des jugements de Dieu commencèrent à tomber sur tous les hommes de ce monde. Le coronavirus en est simplement qu'un, de pires choses sont à venir bientôt. Le tout se terminera rapidement dans une conflagration nucléaire, et la destruction de l'Univers par la Parole de Dieu. Dans un clin d'œil tout sera terminé. Mais aucun élu ne sera touché, dans une fraction de seconde tous les élus seront transformés en l'image parfaite de Christ. La lumière de la gloire qui surgira d'eux sera tellement puissante que rien ne pourra y résister, tout ce qui existe sera dissipé dans le néant pour faire place à un nouveau monde. Le temps est maintenant, nous vous l'avons dit. Nous ne sommes pas des fils des ténèbres pour être surpris par ces choses, mais des fils de la lumière qui brillera éternellement. Encore deux tictac et trois branlants sur l'horloge de l'Esprit des vivants, et nous y sommes.

 

A Christ seul soit la Gloire

Amen !