JE SUIS JÉSUS

QUE TU PERSÉCUTES

 

Par Jean leDuc

Avril 2021

LES IMPLICATIONS DE LA PERSÉCUTION

La révélation de l'apôtre Paul:

Le message de la révélation de Paul 

 

PERSÉCUTIONS DES CHRÉTIENS

La première persécution à Jérusalem:

Causes des persécutions:

Persécutions sous Néron (en 74)

Mort de l'apôtre Pierre et de l'apôtre Paul (en 67)

Persécutions sous Domitien (en 93)

Persécutions sous Trajan, Adrien et Antonin (en 106)

Persécutions sous Marc-Aurèle (en 166)

Persécutions sous Septime-Sévère (en 202)

Persécutions sous Maximin le Thrace (en 235)

Persécutions sous Décius (en 249)

Persécutions sous Valérien (en 257)

Persécutions sous Aurélien (en 275)

Persécutions sous Dioclétien et Maximien (en 303)

Fausse conversion de l'empereur Constantin (en 312)

Persécutions sous Julien l'Apostat (en 361-363)

Conversion des Barbares (au Vème siècle)

Les persécutions en nos temps modernes

 

LA TRINITÉ DE CONSTANTIN

 

LA TRINITÉ DES MELCHITES

 

LES RÉFORMATEURS ET LA TRINITÉ

 

LES DIFFÉRENTS ASPECTS DE LA PERSÉCUTION

 

LA DERNIÈRE PERSÉCUTION

 



 

LES IMPLICATIONS DE LA PERSÉCUTION

Se pourrait-il que vous persécutez Jésus ? La question se pose sérieusement, autant qu'il est horrible d'y penser. On ne peut s'imaginer une telle chose affreuse d'une personne qui se dit chrétienne, n'est-ce pas ! Loin de nous une telle pensée, diriez-vous, une telle était réservée au temps des barbares, nous vivons maintenant dans une société civilisée qui ne permettrait pas une telle infamie. Nous avons appris à se respecter l'un et l'autre, du moins de se tolérer dans un monde multiculturaliste. Si Jésus était venu en notre temps moderne, il serait le bienvenu et grandement admiré et respecté.

 

Il est triste de voir que plusieurs sont dans cette ligne de pensée, car si les temps ont changé, le cœur de l'homme n'a pas changé pour le meilleur, mais pour le pire. De nos jours ceux qui se disent chrétiens, particulièrement du mouvement dit Évangélique, persécutent encore ceux qui ne sont pas d'accord avec eux. Certes que les persécutions ne sont pas autant draconiennes que du temps des anciens romains, mais elles sont plus subtiles et raffinées, afin d'en cacher les aversions. Cette pratique détestable provient toujours de personnes orgueilleuses, malfaisantes et malicieuses qui se croient de meilleurs chrétiens que les autres, lorsqu'en réalité ils sont plutôt des crétins, et Dieu sait qu'ils sont nombreux en ce monde de ténèbres. Tous les vrais élus en sont témoins, ayant subis plusieurs agressions de leur part... Mais nous nous réjouissons de souffrir pour le nom de Christ, et pour la vérité révélée par sa Sainte Présence qui nous habite, car nous savons qu'il est entièrement Souverain et en contrôle sur toutes choses.

 

Ces paroles «Pourquoi me persécutes-tu?» sont, lourdes d'implication. Elles sont celles du Seigneur Jésus qui s'adresse à Saul, celui qui devint l'apôtre Paul, lorsqu'il faisait son chemin vers Damas, pour persécuter les chrétiens. Jésus lui apparut dans une vision et lui donna la révélation éblouissante de sa Sainte Présence. La lumière de cette révélation était tellement puissante, que Paul devint physiquement aveugle pour un certain temps. Durant cette période d'aveuglement, l'Esprit du Seigneur ouvrit les yeux de son esprit pour qu'il puisse comprendre les implications du ministère qui lui était donné d'entreprendre pour la défensive de la vérité.

 

La révélation de l'apôtre Paul:

Sur le chemin de Damas, Saul, un pharisien sous ordre du Sanhédrin à Jérusalem, était en voie pour persécuter les chrétiens qui s'y trouvaient, rageant dans son esprit dans un silence hargneux, Paul reçu une prise de conscience que sa grande intelligence ne pouvait expliquer. Il réexaminait dans ses pensées les évènements qui le poussaient à se conduire avec une violence extrême envers des gens dont la seule culpabilité était de croire en Christ, mort et ressuscité. Il se mit à questionner les principes de la loi et la source d'où elle provenait, et surtout le fait que Dieu se révéla à Moïse comme YHWH sous le nom de JE SUIS: «Alors Dieu dit à Moïse: JE SUIS CELUI QUI SUIS. Puis il dit: Tu diras ainsi aux enfants d'Israël: Celui qui s'appelle JE SUIS, m'a envoyé vers vous.» (Ex. 3:14). Sans qu'il puisse l'expliquer une question surgit dans ses pensées concernant ce que Dieu avait dit à Moïse: «Je leur susciterai un PROPHÈTE comme toi, d'entre leurs frères, et je mettrai mes paroles en sa bouche, et il leur dira tout ce que je lui commanderai. Et il arrivera que quiconque n'écoutera pas mes paroles, qu'il dira en mon nom, je lui en demanderai compte.» (Deut. 18:18,19). Il connaissait très bien ces passages de la loi, ils étaient souvent cités au sein du Sanhédrin, particulièrement la suite qui dit: «Mais le prophète qui aura l'orgueil de dire en mon nom quelque chose que je ne lui aurai point commandé de dire, ou qui parlera au nom d'autres dieux, ce prophète-là mourra.» (Deut. 18:20). Paul s'en servait même pour justifier sa persécution des chrétiens. Mais il se fit un déclic dans ses pensées sur qui était le prophète annoncé par Moïse, et à l'instant même la lumière se fit comme un coup de foudre, la révélation fut tellement puissante qu'il fut projeté par terre dans des lamentations inexprimables. Le voile de sa conscience avait été déchiré, complètement déchiqueté, la lumière de la vérité y pénétra avec une telle puissance qu'elle réduisit en poussière toutes ses convictions et ses opinions, et il ne put y résister. Le rayonnement de la présence de Dieu se faisait entendre à l'intérieur de son âme, la Sainte Présence était tellement éblouissante qu'elle traversa son existence physique pour se faire voir et entendre par les soldats épeurés qui accompagnaient Paul, quoiqu'ils ne purent en discerner les paroles, tellement que Paul en devint aveugle physiquement.

 

Quelle était cette révélation glorieuse qui bouleversa complètement la vie de Paul pour faire d'un meurtrier un bienfaiteur de la vie éternelle et un gardien de la vérité ? Simplement que Jésus est lui-même YHWH dont le nom est JE SUIS qui parla avec Moïse, et qu'il s'est manifesté dans la chair comme le Prophète qui devait venir: «Et comme il était en chemin, et qu'il approchait de Damas, tout d'un coup, une lumière venant du ciel resplendit comme un éclair autour de lui. Et étant tombé à terre, il entendit une voix qui lui dit: Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu? Et il répondit: Qui es-tu? Seigneur? Et YEHOVAH lui dit: JE SUIS JÉSUS que tu persécutes; il te serait dur de résister contre mes provocations.» (Ac. 9:3-5) Signalons que le mot «Seigneur» ou «Kurios» en Grec est une traduction du terme Hébreu «YHWH» traduit souvent par «l'Éternel» et «YEHOVAH», et Paul en comprenait pleinement la signification. En d'autres mots, il est pleinement légitime, dans certains contextes, de traduire le mot «Seigneur» par un de ces deux termes, surtout lorsqu'il s'agit de mettre de l'emphase sur la divinité de Christ. Que Jésus soit pleinement Dieu et le Père Éternel manifesté dans la chair comme Fils, l'enveloppe visible du Dieu invisible, est assez pour chambarder toutes les notions du christianisme et pour affoler tous ses ennemis qui se débattent comme des démons dans l'eau bénite de sa Parole inspirée. On le voit encore de nos jours parmi ceux qui se disent chrétiens et qui rejettent cette révélation glorieuse, opprimant ceux qui l'ont reçu de diverses façons car ils ne peuvent tolérer la lumière de cette vérité. Mais le Seigneur Jésus dit: «C'est pourquoi je vous ai dit, que vous mourrez dans vos péchés; car si vous ne croyez pas que JE SUIS (YEHOVAH), vous mourrez dans vos péchés.» (Jn. 8:24) Telle est la glorieuse révélation de l'apôtre Paul qu'il nous transmet en disant: «Christ en nous, l'espérance de la gloire». Il est fort probable que ce fut dans cette période d'aveuglement entre sa réception de la révélation et le recouvrement de sa vue par l'imposition des mains d'Ananias (Ac. 9:17,18), qu'il fut «ravi jusqu'au troisième ciel» dans une vision des révélations du Seigneur dans lesquelles il fut instruit dans des choses «qu'il n'est pas permis à l'homme de prononcer» (2 Cor. 12:1-4). L'excellence de ses révélations, il nous les donne peu à peu, car il est pleinement conscient que notre esprit ne peut en saisir toute la profondeur en un seul coup. La lumière est une bonne chose, mais il y a un danger réel dans trop en recevoir en un même temps, elle doit être diffusée graduellement pour avoir un effet bienfaisant. Nous sommes témoin de telles révélations dans lesquelles il faut demander au Seigneur d'en amoindrir l'intensité afin de pouvoir dormir, car on ne peut cesser de le glorifier et de se réjouir en sa Présence.

 

Le message de la révélation de Paul 

Cette révélation concerna le Fils qui est l'enveloppe visible du Dieu invisible, Dieu manifesté dans la chair (Jn. 1:14; Phil. 2:5-11; 1 Tim. 3:16). La révélation qui est faite ne peut être conservée par le seul intéressé; elle vise une annonce, la proclamation d'un message: «C'est lui que nous annonçons, exhortant tous genres d'hommes et enseignant tous genres d'hommes en toute sagesse, afin de rendre tous genres d'homme parfait en Jésus-Christ.» (Col. 1:28) Cette action ne sera pas simplement un enseignement, mais surtout un changement complet de vie, elle ne sera pas un nouveau Talmud, mais une conversion de l'existence personnelle qui porte le pécheur à ne plus regarder à lui-même, à renoncer à sa propre suffisance et importance, à s'abaisser dans la poussière de l'humilité et à regarder à Christ comme Seigneur et Sauveur, afin d'être relevé dans une nouvelle vie qui est complètement dépendante de la Sainte Présence qui vient habiter en lui. Elle est une invitation pour tout homme, mais seul les élus y répondent car ils ont été désignés à cela depuis avant la fondation du monde. Cet appel efficace porte le pécheur élu à renaître en reconsidérant l'identité de Christ pour le salut de son âme, car tel est le sens du mot «repentance» qui dans le Grec signifie «reconsidérer, réexaminer, réviser, revenir sur une opinion ou une croyance», puissance régénératrice en laquelle il est attribué tous les mérites du sacrifice de la croix.

 

Nous réalisons donc que le thème de ces paroles de Jésus est la persécution, et nous avons l'indice que persécuter un élu est de persécuter Christ Lui-même, car sa Sainte Présence habite en chacun d'eux, et malheur à ceux qui s'en prennent à ses oints, car il est écrit: A moi la vengeance, dit le Seigneur. Il importe de mentionner que seulement les vrais élus sont les récipients de cette grâce, du fait qu'ils sont des temples de la Sainte Présence Christ. Or il y a un élément de grande importance dans ces paroles de Jésus qui n'est pas remarqué par la majorité des gens qui les lisent. Cet élément consiste en ce que Jésus se révèle Lui-même comme étant JE SUIS et cette révélation glorieuse est cruciale à la foi ou assurance que nous recevons de Christ, puisque JE SUIS est le nom de YAWEH connu comme le Père Éternel qui se révéla à Moïse sur la montagne de Sinaï. En d'autres mots, Jésus atteste Lui-même qu'il est le Père, et cette révélation est indéniable, elle nous dévoile clairement que Jésus est le Souverain Suprême, notre Créateur et notre Sauveur. En fait, le nom JE SUIS est employé par Jésus à maintes reprises dans l'Évangile de Jean pour témoigner du même fait. Dans l'accomplissement de son ministère terrestre Jésus était l'enveloppe visible du Père invisible qui demeurait en Lui comme nature divine. De même chaque chrétien authentique a deux natures, sa nature humaine déchue et corrompue, et la pure nature de la Sainte Présence de Christ qui habite en lui. Cette vérité est essentielle au salut, et celui qui n'en a pas l'assurance n'est pas chrétien.

 

Inutile de badiner avec les faits, les évidences sont là pour le prouver sans l'ombre d'aucun doute. De nos jours ceux qui sont donnés de croire par la puissance de l'Esprit des vivants, que Jésus est Lui-même le Père, le Fils et le Saint-Esprit, sont persécutés par ceux qui maintiennent la doctrine ecclésiastique d'une trinité spéculative dans laquelle est enseignée qu'il y a trois personnes distinctes en Dieu. Elle atteste que le Père n'est pas le Fils ni le Saint-Esprit, que le Fils n'est pas le Père ni le Saint-Esprit, et que le Saint-Esprit n'est pas le Père ni le Fils. Et que les trois personnes sont Dieu dans l'essence de leur unité indissociable, puis interdit de dire qu'il y a trois Dieux. Puis elle ajoute que ceux qui refusent de croire en cette trinité ne peuvent être sauvé. Nous sommes loin de la révélation du Seigneur Jésus à l'apôtre Paul dans laquelle il affirme qu'il est le JE SUIS qui se révéla à Moïse. Or nous préférons croire aux paroles du Seigneur Jésus qu'à cette insanité monstrueuse. Cette abomination infernale est la source principale de la persécution des vrais élus de l'Esprit des vivants, à laquelle s'ajoute plusieurs autres fausses doctrines dont la plus populaire est celle du libre-choix.

 

A remarquer aussi qu'il n'est jamais dit: Au nom de la personne du Père, au nom de la personne du Fils, et au nom de la personne du Saint-Esprit. Cela nous indique clairement que les trois ont un seul et même nom, à savoir JÉSUS, le nom qui est au-dessus de tous noms. Il n'y a donc qu'un seul Dieu qui est Esprit et Père Éternel, et une seule Personne en Dieu à savoir le Seigneur Jésus qui est Dieu manifesté dans la chair, l'enveloppe visible et corporelle du Père invisible et incorporel qui demeure en Lui comme nature divine. De ce fait, il est aussi le Saint-Esprit ou Sainte Présence qui demeure en nous par la puissance de sa résurrection et de son exaltation à sa gloire première. Il n'y a pas d'autre Dieu que Jésus Lui-même, ni aucun autre nom par lequel nous pouvons être sauvé. Il est notre Esprit des vivants et notre Admirable Souverain Suprême, le Maître absolu sur toutes choses, et toutes choses ont été déterminées d'avance depuis avant la fondation du monde pour la gloire de son Nom.

 

PERSÉCUTIONS DES CHRÉTIENS

Rechercher l'histoire des persécutions des chrétiens primitifs en langue française, est une entreprise impossible. Il n'existe absolument rien de bon en cette langue. Tous les écrits sur ce sujet ont été falsifiés et corrompus par l'Église Catholique, au point que nous ne pouvons plus reconnaître la véracité des faits historiques. Le seul livre utile pour une telle recherche était celui de J.M. Nicole «Précis de l'histoire de l'Église», mais ce livre n'est qu'un court abrégé, qui néanmoins nous en donne les grandes lignes et de là son utilité. Pour plus d'information il faut nous référer à des vieux bouquins en langue anglaise qui ont été proscrits et mis à l'index par le catholicisme.

 

La première persécution à Jérusalem:

La première persécution se produisit à Jérusalem vers l'an 35, et fut déclenchée par Saul de Tarse, celui qui devint l'apôtre Paul. Tous les premiers chrétiens fuirent Jérusalem, sauf les apôtres. Ceux qui furent capturés avant la fuite, furent maltraités, battus sauvagement et emprisonnés, puis tués pour satisfaire aux exigences de la loi du Sanhédrin. Plusieurs périrent atrocement par lapidation et d'autres par l'épée. Saul avait l'intention de tous les exterminer, car pour lui les premiers chrétiens, tous des Juifs, étaient des apostats et des ennemis du Dieu d'Israël (voir: Israel est l'Église).

 

A ce temps de grandes persécutions, il est dit selon la tradition, que Joseph d'Arimathée, Lazare et ses deux sœurs, Marthe et Marie Magdelène, et un disciple du nom de Maxime, furent placés dans une barque sans rames et sans voile et laissés à la dérive sur la mer Méditerranée. Après de nombreux dangers, ils accostèrent miraculeusement à Marseille sur la côte ouest de la France, proclamant l'Évangile du sang Royal de Christ, d'où vient la légende du San-Graal, et formant des communautés à Marseille et à Lyon. Puis se rendirent, sous invitation de quelques druides, jusqu'en Grande-Bretagne parmi les Celtes. L'Évangile pénétra ainsi dans l'île druidique des celtes, en Écosse et en Irlande, avant même que l'apôtre Paul s'y rende pour les affermir dans la foi. Ces choses sont mentionnées, examinées et confirmées comme étant véridique par le Rév. R.W. Morgan, 1860, dans son livre « Paul in Great Britain» (Paul en Grande Bretagne) dans lequel il cite à l'appui «Les Annales Ecclésiastiques» de Baronius, 1654, et plusieurs autres documents généralement inconnus du peuple français moderne.

 

Au cours des trois premiers siècles, la foi chrétienne se propagea largement et rapidement. Conformément à la volonté de la Providence divine, cette expansion est due à la fidélité et au zèle des prédicateurs de l'Évangile, à la mort héroïque des martyrs, et à la traduction de la Bible dans les langues connues du monde romain. Déjà l'empereur Septime-Sévère (193-211) fit atrocement souffrir les chrétiens, mais les pires persécutions survinrent sous le règne de Dioclétien et du tétrarque Galère entre 303 et 311. Loin d'extirper la foi chrétienne et l'Évangile, cette persécution servit à purifier les prédicateurs et à leur ouvrir des portes pour répandre le message de l'Évangile.

 

Le Christianisme Celtique était la forme primitive du christianisme qui pénétra en Europe dans les quatre premiers siècles, avant la fondation de l'église catholique et le règne des évêques à partir du Concile de Nicée en l'an 325 (voir: Le Christianisme Celtique). Elle ne fut donc pas encore ternie, du moins au début, par les hérésies et des idolâtries du christianisme romain. Il faudra attendre pour cela la visite du moine Augustin en Grande-Bretagne pour que ces perversions pénètrent la foi chrétienne qui s'y trouvait déjà avant son arrivé.

 

Augustin est un moine bénédictin mort entre 604 et 609. Chef de la mission envoyée par l'évêque de cette période pour convertir les Anglo-Saxons au catholicisme, il devient le premier archevêque de Cantorbery en 597. Prieur dans une abbaye de Rome, Augustin est choisi par l'évêque Grégoire le Grand, qui avait été déclaré «Dieu sur la terre», pour prendre la tête de la mission grégorienne. Après son arrivée en Angleterre, en 597, il reçoit du roi Æthelberht de Kent l'autorisation de s'installer à Cantorbéry et de prêcher dans le royaume de Kent. Æthelberht lui-même finit par recevoir le baptême. Augustin établit des évêchés à Londres et Rochester en 604, et il est probable qu'il fonde également des écoles pour la formation d'un clergé local, ce qui lui faciliterait la tâche d'entreprendre des conversions forcées et de salir la conscience des innocents avec les adultérations romaines. Lorsque le catholicisme parle de conversion, c'est toujours de conversions forcées au point d'éradiquer des peuples au complet pour atteindre ses objectifs d'une domination mondiale. C'était le cas à ce temps et ce l'est encore de nos jours. L'Antichrist qui siège à Rome n'arrêtera devant rien, mais la colère de Dieu va finir par l'atteindre dans un feu flamboyant car on ne se moque pas du Dieu vivant sans subir des conséquences désastreuses.

 

Causes des persécutions:

Dès le 1er siècle, la religion chrétienne fut portée dans presque toutes les parties du monde connu des anciens. Partout elle eut à surmonter de grands obstacles et de nombreuses contradictions. La vérité a toujours été méconnue et persécutée, parce qu'elle ne peut subsister avec l'erreur et le vice, et que les passions se redressent furieuses contre ce qui tend à les réprimer.

Les persécutions étaient ordinairement provoquées par les empereurs romains ou par la haine particulière des magistrats, quelquefois aussi pour le soulèvement des peuples.

Pendant les trois premiers siècles, on compte dix grandes persécutions générales contre les chrétiens: elles furent ordonnées par les empereurs romains, maîtres de la plus grande partie du monde. Nous faisons remarquer, dans le texte suivant, que le mot Église se rapporte à une organisation ecclésiastique mondaine, et non à la vraie Église de Jésus-Christ qui est une Convocation à renaître purement spirituelle. L'Église comme organisation a toujours été le centre d'un faux christianisme,

 

Persécutions sous Néron (en 74)

L'Église avait déjà beaucoup souffert de la part des Juifs et des païens, mais ces persécutions n'étaient pas générales. L'empereur Néron fut le premier qui employa le pouvoir souverain contre les chrétiens.

Ce prince cruel, irrité de ce que plusieurs personnes de son palais avaient abandonné le culte des idoles, publia un édit pour défendre d'embrasser la religion chrétienne : ce fut à l'occasion de l'incendie qui dévora presque toute la ville de Rome.

Néron avait fait mettre le feu à la ville pour le seul plaisir de la voir brûler, et pour la rebâtir ensuite avec plus de magnificence. Il rejeta ce crime sur les chrétiens, et leur fit souffrir les plus cruelles tortures. Quelques-uns furent enveloppés de peaux de bêtes sauvages, et exposés à des chiens pour en être dévorés. D'autres, revêtus de tuniques enduites de résine et de soufre, étaient attachés à des poteaux et servaient durant la nuit à éclairer les jeux du cirque.

 

Mort de l'apôtre Pierre et de l'apôtre Paul (en 67)

Selon la tradition ecclésiastique catholique, ce fut pendant la persécution de Néron que Pierre et Paul terminèrent leur vie par le martyre. Or il n'y a néanmoins aucune preuve historique que l'apôtre Pierre se rendit à Rome. Sa présence en cette ville est une fabulation catholique des pères de l'Église romaine pour donner un appui à la fausse succession apostolique de la papauté. Le tombeau de Pierre fut découvert à Jérusalem dans les années 1960. D'après la tradition des faux pères de la fausse Église, ces apôtres, gardés neuf mois dans la prison Mamertine, y convertirent deux de leurs gardes et quarante-sept prisonniers. Il faut prendre cette histoire avec un grain de sel, puisque nous savons que des équipes de moines catholiques étaient utilisés par la papauté pour falsifier les anciens manuscrits et les écrits des faux pères de l'Église romaine.

Selon la légende catholique, les fidèles de Rome ménagèrent à Pierre le moyen de s'évader. L'apôtre céda à leurs instances, mais lorsqu'il fut arrivé à la porte de la ville, Jésus-Christ lui apparut, et lui dit qu'il allait à Rome pour y être crucifié de nouveau. Pierre comprit que c'était dans la personne de son vicaire que Jésus-Christ devait être crucifié une seconde fois. Il retourna à la prison, et les 29 juin de l'an 67, il fut condamné à subir le supplice de la croix sur le mont Janicule. Il demanda à être attaché la tête en bas, se jugeant indigne de mourir de la même manière que son divin Maître. Nous faisons remarquer que la croix inversée est un symbole occulte du Satanisme, que l'on retrouve souvent relié à la papauté. Tant qu'à l'apôtre Paul, qui était citoyen romain, eut la tête tranchée dans un endroit nommé les Eaux Salviennes.

Pourquoi donc cette fabulation légendaire à propos de Simon Pierre qui le place à Rome au temps de Néron ? La raison est que la papauté se réclame de la succession apostolique de l'apôtre Pierre comme siège de son autorité sur la foi chrétienne. Mais en réalité ce n'est pas Simon Pierre qui se rendit à Rome, mais Simon le Magicien dans le but d'épater les empereurs avec sa magie. Cela est attesté par Alexandre Hislop dans son livre remarquable «Les Deux Babylones». Simon le Magicien plia le genou devant Mithra, le fils du Dieu Soleil, et était connu sous la désignation «le Dieu du Rocher» du fait qu'il est né dans une caverne. Les romains le connaissaient sous le nom d'Apollo. Simon le Magicien fut ainsi donné le nom de Simon le Rock pour sa grande dévotion à Mithra, désignation qui est identique à celle que Jésus donna à l'apôtre Pierre. Ainsi par la duplicité du mystère d'iniquité, le Dieu Mithra, fils du Soleil, est le Dieu de la papauté sur lequel repose son autorité. En d'autres mots, le Catholicisme est du Mithraïsme sous couverture chrétienne. Tout ce qui se rapporte au Dieu Soleil, fait partie de cette religion infernale connue comme «la Grande Prostituée» avec son Antichrist qui siège à Rome, et dont le but est la domination mondiale. Cette forme de Satanisme a séduit le monde entier, sauf les vrais élus. Elle est la plus grande puissance de persécution contre le christianisme authentique. Ses nombreux massacres et génocides à travers l'histoire en témoignent amplement. Des millions de chrétiens périrent atrocement sous son ordre: Donatistes, Jésusiens, Pauliciens, Hussites, Albigeois, Vaudois, et Huguenots.

 

Persécutions sous Domitien (en 93)

Les chrétiens dans un moment tranquilles sous les règnes de Vespasien et de Titus, furent de nouveau persécutés par Domitien. Parmi la multitude de personnes de tout âge et de toute condition que cet empereur fit mourir, on compte ses plus proches parents: tels que Flavius Clemens, Domitilla, Flavia, etc...

C'est sous Domitien que l'évêque Anaclet souffrit à Rome; l'apôtre André, en Achaïe; que Jean, l'évangéliste, jeté dans une chaudière d'huile bouillante, en sortit sain et sauf, et fut ensuite exilé dans l'île de Pathmos.

 

Persécutions sous Trajan, Adrien et Antonin (en 106)

Trajan, dont l'histoire loue d'ailleurs la sagesse et la clémence, ne rendit pas de nouveaux édits contre les chrétiens, mais il voulut que les lois sanguinaires déjà portées par ses prédécesseurs fussent exécutées dans les différentes parties de l'empire. Sous son règne, on compte parmi les victimes de la persécution Siméon, l'évêque de Jérusalem; Ignace, l'évêque d'Antioche; l'évêque Clément et une multitude d'autres.

L'empereur Adrien, successeur de Trajan, ne publia pas non plus d'édit de persécution contre les chrétiens, cependant son règne vit un grand nombre de martyrs, parmi lesquels Marius, officier; Eustache, son épouse et leurs enfants; Gétule, tribun militaire, et Symphorose son épouse et leurs sept enfants; l'évêque Sixte, etc...

Sous Antonin, successeur d'Adrien, le vieillard Polycarpe fut mis à mort pour la foi.

 

Persécutions sous Marc-Aurèle (en 166)

L'empereur Marc-Aurèle, prévenu par les calomnies dont on chargeait les chrétiens, renouvela les édits de persécutions. Les premières violences s'exercèrent à Smyrne.

Les martyrs les plus célèbres furent: à Rome, Justin et ses compagnons, à Cécile; à Lyon, le vieillard Pothin, évêque de cette ville, à Blandine; à Autun, Symphorien. (Voir: Épître des Églises de Lyon et de Vienne).

 

Persécutions sous Septime-Sévère (en 202)

L'empereur Septime-Sévère parut d'abord favorable aux chrétiens, mais la neuvième année de son règne il publia contre eux de sanglants édits, qui furent exécutés avec rigueur.

Cette persécution commença en Égypte d'où elle s'étendit à Carthage et jusque dans les Gaules. Irénée et une multitude d'autres martyrs souffrirent à Lyon; l'évêque Victor, à Rome; les jeunes femmes Félicité et Perpétue, à Carthage, etc...

 

Persécutions sous Maximin le Thrace (en 235)

Les persécutions s'exercèrent principalement sur les prêtres et sur les évêques, parce qu'on craignait de dépeupler les provinces en sacrifiant tous les fidèles. Les églises et tous les édifices consacrés au culte du vrai Dieu furent abattus ou livrés aux flammes. L'évêque Pontien mourut exilé, et Antère son successeur mourut en prison. Ces persécutions durèrent trois ans.

 

Persécutions sous Décius (en 249)

Dès le commencement de son règne, l'empereur Décius publia, contre les chrétiens, un édit sanglant qui fut exécuté avec une extrême rigueur. Beaucoup de fidèles, pour se soustraire à la persécution, s'enfuirent dans les déserts. De ce nombre fut Paul, premier ermite.

Parmi les nombreux martyrs de ces persécutions, on cite l'évêque Fabien; Alexandre, l'évêque de Jérusalem; Pione, l'évêque de Smyrne; en Sicile, et Agathe, jeune vierge de Catane; à Mélitène, Polyeucte, etc...

 

Persécutions sous Valérien (en 257)

Valérien publia des édits qui procurèrent la gloire du martyre à un grand nombre de chrétiens, dont les principaux sont les évêques Étienne et Sixte II, le diacre Laurent; Cyprien, l'évêque de Carthage; le jeune Cyrille, de Césarée en Cappadoce, etc...

 

Persécutions sous Aurélien (en 275)

L'empereur Aurélien, longtemps favorable aux chrétiens, changea de conduite à la fin de sa vie et publia contre eux des édits qui heureusement n'étaient pas encore parvenus aux provinces éloignées, lorsque l'empereur mourut.

Sous Aurélien, on place le martyre de l'évêque Félix.

 

Persécutions sous Dioclétien et Maximien (en 303)

Après une paix de trente années, surgit de nouvelles persécutions. Elles furent les plus longues et les plus violentes de toutes. On l'appela l'ère des Martyrs.

Dioclétien excité par Galérius, son gendre, publia quatre édits pendant son règne: par le premier, il ordonna de démolir les églises, de brûler les livres et de priver les chrétiens de leurs droits civils; le second édit prononça l'emprisonnement des chefs de l'Église; le troisième ordonna d'employer les tortures contre les prêtres qui refuseraient de sacrifier aux idoles; enfin un quatrième édit fit couler des flots de sang, en étendant à tous les chrétiens l'obligation de sacrifier.

Parmi les martyrs de ces persécutions, on cite: à Rome, Agnès et Sébastien; en Helvétie, les soldats de la légion thébéenne et Maurice, leur chef ; dans le Vermandois, Quentin; à Marseille, l'évêque Victor ; à Beauvais, l'évêque Lucien; à Nantes, les deux jeunes frères Donatien et Rogatien; à Saragosse, le diacre Vincent. De toutes évidences, tout semble indiquer que ce fut à cette période que furent détruit les manuscrits originaux ou Autographes du Nouveau Testament rédigé par les apôtres. Heureusement que des copies en avaient été faites par des chrétiens fidèles, et que nous retrouvons dans la masse des manuscrits Byzantin, de laquelle le Texte Reçu Grec a été compilé.

Cependant après cette dernière lutte le paganisme s'avoua vaincu. Galérius, dans l'édit de 311, accorda aux chrétiens le droit d'exercer librement leur religion.

 

Fausse conversion de l'empereur Constantin (en 312)

Malgré trois siècles de persécutions, selon la tradition ecclésiastique catholique, la religion chrétienne organisée avait vu augmenter sans cesse le nombre de ses enfants prétentieux. Lorsque Dieu eut montré que l'établissement de la fausse Église était son ouvrage, et que toutes les puissances de la terre et de l'enfer ne pouvaient rien contre elle, il y appela les empereurs en pouvoir pour l'accomplissement de ses dessins, afin de manifester l'apostasie du mystère d'iniquité de la Grande Prostituée.

La fausse conversion de Constantin fut décidée par un prétendu miracle, en l'an 312. La couronne impériale lui était disputée par le tyran Maxence, qui s'était rendu maître de l'Italie et de l'Afrique. Constantin s'approcha de Rome pour le combattre; et déjà disposé en faveur des chrétiens nominatifs, il conjurait leur Dieu de se faire connaître à lui. En d'autres mots, Constantin, dans ses délires névralgiques, ordonna à Dieu de se soumettre à lui. Pour lui, le Dieu des chrétiens n'était qu'un moyen d'accéder au pouvoir. En fait, Constantin avait été éduqué en Grande-Bretagne, dès sa jeunesse, en la foi druidique du Dieu Mithra, et en était un fervent disciple. Sa vie entière lui était dédié jusqu'à sa mort. Il utilisa le christianisme simplement dans un but d'unifier son empire. La papauté a toujours suivi son exemple dans la poursuite de son idéologie d'une domination mondiale.

Une après-midi que Constantin marchait à la tête de ses troupes, il aperçut dans le ciel les rayons du soleil former la lettre X, et on ne tarda pas à prétendre qu'il s'agissait d'une croix lumineuse, avec cette inscription: In hoc signo vinces (Par ce signe tu vaincras). En réalité, Constantin venait de réaliser qu'il pouvait unir le christianisme au Mithraïsme pour former une nouvelle religion impériale qui lui donnerait la puissance totale sur son empire. Toute l'armée vit le prodige du soleil, car le X était aussi le symbole du Dieu Apollo, grandement vénéré par les romains. En fait, Apollo et Mithra étaient le même Dieu sous différents noms. Encouragé par cette vision, Constantin attaqua Maxence, près du pont Milvius, aux portes de Rome. Son ennemi prit la fuite et se noya dans le Tibre (en 312). Rome ouvrit aussitôt ses portes au vainqueur, et peu après le christianisme des peuples ignorants fut intégré au culte du soleil sous une différente forme à l'apparence chrétienne.

L'empereur voulut que sa statue le représentât avec une croix à la main. Une inscription fut gravée sur le monument, et rappela qu'il devait sa victoire à ce signe de la délivrance de Rome. Constantin s'appliqua à remédier aux maux qu'avaient faits à la religion les princes qui l'avaient précédé. Par l'édit de Milan (en 313), il proclama la liberté du culte de Jésus-Christ, et ordonna la restitution des églises et des biens enlevés aux Chrétiens.

 

Persécutions sous Julien l'Apostat (en 361-363)

Cependant la prétendue Église eut encore à souffrir dans l'empire romain une dernière persécution sous Julien, son successeur. Ce prince, neveu de Constantin, associé à l'empire en 355, abjura le christianisme et se déclara contre les chrétiens. Il les persécuta non à force ouverte, mais par des moyens perfides. Ce misérable apostat périt à trente-deux ans dans une guerre contre les Perses.

 

Conversion des Barbares (au Ve siècle)

Au Ve siècle, l'empire romain devint la proie des Barbares, et l'Église eut beaucoup à souffrir de leurs mœurs rudes et sauvages. Cependant les évêques et les moines missionnaires amenèrent peu à peu ces peuples à la civilisation chrétienne. C'est ainsi que les Francs, les Visigoths, les Lombards, les Anglo-Saxons furent conquis à l'Évangile.

 

Les persécutions en nos temps modernes

On entend souvent dire par les médias d'information, que des chrétiens sont persécutés, surtout dans des pays Islamiques. Mais ce qu'on ne nous dit jamais est que les chrétiens persécutés sont en grande partie toujours des catholiques romains, et parfois des protestants et des évangéliques. En d'autres mots, aucun vrai chrétien n'est réellement persécuté. La raison est qu'ils ne connaissent aucunement c'est quoi un vrai chrétien, et ils basent leurs assomptions sur un christianisme contrefait. Mais cela est sans importance, car ils ont un agenda caché pour agir de la sorte. Les journalistes qui travaillent pour les médias d'information sont les écumes de la terre, ils sont de vrais salopards. Ils n'ont aucune morale ni aucune compassion. Ils vendraient leurs mères au diable, si elles ne lui appartenaient pas déjà. Tout ce qui importe pour eux est de vendre leur salade en exagérant les faits. Mais il y a aussi le fait que leurs rapportages est toujours conçu pour supporter un parti politique au-dessus d'un autre, afin de manipuler les masses. Dans le cas présent il s'agit de supporter le Vatican dans ses aspirations de dominer sur les peuples de la terre. Pour cela ils soulèvent l'indignation des peuples en faveur du catholicisme, ce qui fait l'affaire de la papauté. En fait, nous savons que tous les médias d'information sont sous le contrôle des agents secrets du Vatican, les Jésuites, qui ont les mains entachées de sang de nombreuses persécutions abominables.

 

LA TRINITÉ DE CONSTANTIN

L'empereur romain Constantin, qui était un grand stratège, mit à profit pour lui-même le christianisme qui se mondanisait, mais il ne diminua pas pour autant ses rapports avec le paganisme. L'empereur Constantin était un scélérat, un parricide qui avait étouffé sa femme dans un bain, égorgé son fils, assassiné son beau-père, son beau-frère et son neveu; un homme bouffi d'orgueil, et plongé dans les plaisirs; un détestable tyran, ainsi que ses enfants. Il favorisa aussi bien la construction de temples païens que l'édification d'églises. En 321, la célébration du dimanche fut décrétée légalement. Marie-Nicolas-Sylvestre Guillon, professeur d'éloquence sacré dans la faculté de Théologie de Paris en l'an 1828, confirme dans ses écrits sur les "Pères de l'Église", que «Constantin s'engageait dans les plus hautes spéculations sur les mystères de la foi, particulièrement sur l'incarnation; et qu'il expliquait au Concile les prophéties qui concernaient l'avènement de Christ, en les confirmant non par les Saintes Écritures, mais par le témoignage des prédictions occultes de la Sibylle de Cumes dans la 6e éloge de Virgile».

 

Que le sujet de l'incarnation de Christ obsédât Constantin face aux Oracles de la Sibylle de Cumes, est dû au fait que les prédictions de la Sibylle, qui était vénéré à Rome, annonçaient la venue de l'âge d'or, le rétablissement du règne de Saturne par un enfant mâle qui participerait à la vie des dieux et qui régnerait sur un monde en paix. Il n'y a aucun doute que Constantin s'attribua cette prédiction à lui-même, et l'imposa aux évêques réunis qui en firent un héros de la foi. Ceci est significatif, lorsque nous considérons que le nom secret de la ville de Rome, qui fut interdit de prononcer sous peine de mort, était "Saturnia" ou ville de Saturne; et que "Saturne" dans le langage des mystères Chaldéens signifie "Celui qui est caché" ou "le dieu des mystères", c'est-à-dire "Satan". Ceci identifie Rome comme la ville de Satan et son Souverain Pontife comme l'incarnation de "Celui qui est caché", l'hypocrite, le subtil. Ainsi nous voyons la vraie face de Constantin et de sa descendance dans la Rome papale. Ce qui est encore plus intéressant, est que nous savons d'après certaines archives historiques retrouvées dans "l'Histoire Ecclésiastique de Sozomen", que Constantin fut né en Grande-Bretagne et qu'il avait reçu une certaine éducation chrétienne. Mais nous savons aussi que le prétendu christianisme dans lequel il fut éduqué n'était qu'une forme de Druidisme de l'ancienne religion des Celtes. Or d'après le Rév. R.W. Morgan (St. Paul in Britain), la religion Druide avait certaines similarités avec une forme de Christianisme qui se rapprochaient beaucoup du Mithraïsme. Le point crucial ici est que la religion Druidique, dans laquelle Constantin fut instruit dans sa jeunesse, avait une Trinité d'une essence divine créatrice, conservatrice, et rénovatrice, connu comme "Beli, Taran, et Yesu", le dernier nom étant le même que celui de Jésus: Beli, le Père; Taran, la Mère, et Yesu, le Fils.

 

Malgré tout ce que nous savons sur Constantin, les théologiens orthodoxes traditionnels persistent encore de nos jours à le mettre hors de tout doute. Nous voyons ceci dans les paroles de Roussas John Rushdoony, théologien des églises Réformées: "La sincérité de la foi religieuse de Constantin ne doit pas être doutée" (The One and the Many). Or nous ne doutons pas de la foi religieuse de Constantin, nous affirmons simplement, avec des preuves bibliques et historiques à l'appui, que sa foi n'était pas réellement chrétienne, mais plutôt païenne et extrêmement subtile. Toutefois, Rushdoony touche le point essentiel en disant: "Le christianisme représentait le pouvoir, et Constantin croyait dans le pouvoir. Tout comme Dieu est Souverain et Monarque sur tout ce qui est dans les cieux, Constantin se disait souverain et monarque sur toute la terre entière. Ainsi, comme Eusèbe de Césarée écrivit: «Puisqu'il (Constantin) fut le premier à déclarer la totale Souveraineté de Dieu, ainsi lui-même comme seul souverain du monde Romain, répandait son autorité sur toute la race humaine». Pour Eusèbe, la monarchie l'emporte comme système et méthode de gouvernement pour tous les états. De même qu'il n'y a qu'un seul Dieu, de même il n'y a qu'un seul empereur. En déclarant que Dieu exerce sa souveraineté seulement que dans les cieux, et que l'Empereur est choisi de Lui pour exercer son autorité sur la terre entière, Constantin se déclare être "le dieu de ce monde" (2 Cor. 4: 4), tout comme les papes qui siègent à Rome. Ainsi dit Rushdoony: "A un certain moment, selon Eusèbe, Constantin proclama au groupe d'évêques du Concile de Nicée: - Comme évêques, votre juridiction s'exerce à l'intérieur de l'Église: Je suis aussi un évêque ordonné par Dieu pour superviser tout ce qui est à l'extérieur de l'Église. - Ainsi Constantin ne trouva aucune difficulté à définir sa position christologique comme Empereur, sauveur, Souverain Pontife, et évêque de Dieu". Et quoique le Catholicisme ne veut point l'admettre, Constantin, et non Pierre, fut en réalité le premier Pape officiel, tandis que Simon le magicien avait été le premier pape officieux.

 

LA TRINITÉ DES MELCHITES 

Lors du Concile de Nicée, en 325, les hérésiarques Arius et Athanase en furent les deux orateurs principaux. Leurs exposés ont été largement transmis à l'histoire de l'Église. Visiblement Arius n'avait aucune connaissance de Christ. Par contre, Athanase témoigna «qu'en Jésus, Dieu Lui-même nous est apparu; que Dieu Lui-même s'est fait connaître à nous et nous a sauvés; que nous avons en Lui le Père même... qu'en Jésus, le Père Lui-même nous a rachetés» (K. D. Schmidt, Grundriss der Kirchengeschichte, S. 98). Néanmoins, ne nous empressons point de dire qu'Athanase défendait réellement la divinité de Christ et qu'il était un vrai chrétien malgré quelques écarts doctrinaux. Le témoignage d'Athanase fut teinté par de nombreuses fausses doctrines qu'il maintenait. Au Concile de Nicée, dit l'auteur de "Nimrod", «le parti des "Melchites", c'est-à-dire les représentants de la soi-disant chrétienté en Égypte, affirmaient - qu'il y a trois personnes dans la Trinité, le Père, la Vierge Marie, et le Messie leur fils». Dans le Dictionnaire de Daniel G. Reid (Dictionary of Christianity in America), nous trouvons que les Melchites surgirent des Patriarches d'Alexandrie, et que le mot "Melchites" signifie "Roi ou Empereur" dans le Syriaque et l'Arabique. Ceci nous indique que le parti des Melchites, au Concile de Nicée, supportait les notions de l'Empereur Constantin d'introduire une Trinité issue du Paganisme qui satisfaisait tant bien aux païens qu'aux chrétiens nominatifs. Or, puisque toutes les Trinités du Paganisme incorporaient une Déesse, il convenait qu'il en fut ainsi dans cette forme de christianisme mondanisée afin de maintenir l'ordre et l'unité dans l'Empire, et d'établir l'Église Impériale Universelle ou Catholique comme seule autorité, et qui serait secrètement par duplicité "l'Église Mithriaque Universelle" vouée au Culte du Soleil.

 

Alexandre Hislop, dans son livre remarquable «Les Deux Babylones», nous révèle des faits intéressants sur ce sujet de la Maldonne Romaine: "Dans la doctrine ésotérique de la Grèce et de Rome, il n'y avait qu'une seule Déesse, le Saint-Esprit, représenté comme femelle. Ceci fut fait par une perversion de la grande idée scripturaire que tous les enfants de Dieu sont enfantés par le Père et nés de l'Esprit; et avec cette idée, l'Esprit de Dieu comme Mère était représenté sous la forme d'une colombe, et était reconnue comme la Reine du ciel et Médiatrice entre Dieu et les hommes". Ceci est confirmé par la Parole de Dieu qui nous dit: «Les fils amassent le bois, et les pères allument le feu, et les femmes pétrissent la pâte pour faire des gâteaux à la reine du ciel, et pour faire des aspersions aux dieux étrangers, afin de m'irriter...» (Jéré. 7:18). Or nous avons l'évidence qu'Athanase, qui après le Concile de Nicée devint Patriarche d'Alexandrie, fut celui qui influença la section Melchite du Concile, et qui aurait proposé que les trois personnes de la Trinité soient le Père, la Mère, et le Fils; le terme "Mère" désignant le Saint-Esprit.

 

K.R. Hagenbach, dans son Histoire des Doctrines (History of Doctrines, 1847), nous dit: "La notion fut avancée par l'orthodoxe Athanase, que la Vierge avait demeuré libre de la corruption générale; et que seulement elle, qui fut élevée au-dessus de toute l'humanité par une profusion d'adoration, devait partager le privilège avec son Fils, d'apparaître sans péché sur les pages de l'histoire. Selon Athanase, considéré champion de la Foi Orthodoxe, Marie demeura toujours une vierge par la grâce perpétuelle, et il la déclara Mère de Dieu". Cette aberration ouvrit le chemin à la Corédemption de Marie, et aussi à l'utilisation de l'hostie (les gâteaux solaires) dans le sacrifice non-sanglant de la Messe. Or, ceci est en plein accord avec le caractère de la déesse égyptienne "ISIS"; car n'oublions pas qu'Athanase venait de la ville d'Alexandrie, Capitale de l'Égypte, mais aussi Capitale du Paganisme de l'antiquité. Ainsi nous dit Hislop: "Quant au caractère païen du sacrifice non-sanglant de la Messe, nous l'avons suffisamment établi. Mais il y a encore à considérer un point qui montre encore mieux l'œuvre du mystère d'iniquité. Il y a sur l'hostie des lettres qu'il vaut la peine de lire. Ces lettres sont I. H. S.. Pour un chrétien, ces lettres signifient "Jésus Sauveur des Hommes". Mais qu'un adorateur Romain de la déesse Isis jette les yeux sur ces lettres, il les expliquera d'après son propre système d'idolâtrie et lira: ISIS, HORUS, SEB, c'est-à-dire: la mère, l'enfant, et le père des dieux; en d'autres termes, la Trinité Égyptienne".

 

On ne peut s'étonner de cette perversion subtile qui cherche à renverser la Foi chrétienne authentique, lorsque nous considérons ce que nous dit M.S. Guilon sur Athanase: "Athanase fut armé de toutes les subtilités de la dialectique et de la puissance des empereurs. Il n'ignorait pas les sciences profanes, mais il évitait d'en faire parade.  Il fut un admirateur d'Origène et de Tertullien à cause de leur vigueur de la dialectique et de l'érudition. Il croyait que par le signe de la croix, tous les prestiges des démons sont dissipés. Il disait que Jésus prit un corps dans le sein de Marie sa mère, demeurée toujours vierge. Il enseignait que tant que nous sommes sur la terre, nous ne pouvons dire avec assurance: Me voilà sauvé. Pour lui le baptême d'eau occasionna la nouvelle naissance, et le prêtre fut seul capable de donner la rémission des péchés; et que les morts recevaient quelques bienfaits de la Messe". Animé d'un esprit d'arrogance et de duplicité inouï, Athanase dit dans sa "Lettre à Sérapion": "La foi de l'Église Catholique est celle que Jésus-Christ a donnée, que les apôtres ont publiée, que les Pères ont conservés. L'Église est fondée sur cette foi, et celui qui s'en éloigne n'est plus chrétien". Voilà donc la base réelle de la Trinité ontologique maintenue par le Catholicisme, le Protestantisme Réformé, et les sectes dites Évangéliques. Un amalgame de la Trinité Druidique et de la Trinité Égyptienne est celle qui fut adoptée, modifiée subtilement, enrobée d'un langage biblique, et proclamée par le Concile de Nicée comme étant une vérité absolue d'un seul Dieu en trois personnes distinctes, dogme obligatoire qu'il faut croire sans lequel personne ne peut être sauvé. Voilà le Dieu avec lequel on a aveuglé le monde depuis tellement longtemps sous prétentions qu'il est le Dieu de la Bible.

 

A partir de ce moment commença la constitution de l'église romaine qui se nomme historiquement l'Église Constantinienne que plusieurs nomment avec raison: la Grande Prostituée. Au temps du concile de Nicée en l'an 325, il n'y avait encore aucun pape, aucun cardinal. Aucun évêque de Rome ne s'était présenté en revendiquant le premier rang. A cet égard l'histoire de l'Église a été partiellement antidatée, manipulée ou carrément faussée. C'est l'empereur Constantin qui convoqua le Concile de Nicée et le patronat. Son but était d'unir en une seule église les diverses orientations et de les placer au service de l'État. L'union de l'État et de l'église eut lieu et c'est ainsi que naquit “l'église d'État”. Le livre de l'Apocalypse relate ces faits en termes symboliques (Apoc. 13:1-10). 

 

LES RÉFORMATEURS ET LA TRINITÉ

La Réforme a mis tout l'accent sur l'Écriture. Chacun connaît son mot d'ordre: "Sola Scriptura". Ce n'était pas l'Église et l'Écriture, ou l'État et l'Écriture, mais l'Écriture uniquement. Il s'agissait là d'un changement radical, cette affirmation faisant très clairement de la Bible, et d'elle seule, le centre et le fondement de l'autorité souveraine. Une autorité assez forte pour servir de base tout à la fois au salut individuel et à l'édification de la culture, terme qui, pour nous, évoque tous les aspects de la vie personnelle et nationale.

 

En effet, les protestants traditionnels et les sectes dites évangéliques soulignent que seule l'Écriture a autorité en matière de foi, mais déclarent-ils vraiment la vérité sur cela où s'illusionnent-ils simplement dans les prétentions chimériques de leurs conjectures bibliques ? Au seizième siècle, contre les catholiques, les protestants ne cessent d'opposer l'autorité à la Bible à celle des textes ecclésiastiques; ils critiquent les enseignements, les doctrines et les pratiques de l'Église Romaine au nom de l'Écriture. L'adjectif «sola» dans l'expression «sola scriptura» entend nier tout caractère absolu et normatif aux textes ecclésiastiques comme les Symboles ou Confessions de Foi. D'où le problème. En adoptant des confessions de foi, comme textes de références, auxquels on demande adhésion, les Réformés et autres bestioles à prétentions évangéliques ne réintroduisent-ils pas une interprétation obligatoire ? N'interposent-ils pas, eux aussi, une tradition entre la Bible et les fidèles ? Ne restituent-ils pas à leurs instances ecclésiastiques le rôle qu'ils ont refusé à celles du catholicisme ? La réponse à toutes ces questions est un OUI résonnant qui nous indique pourquoi de nos jours le christianisme est dans un si piètre état.

 

Ce problème surgit très tôt, dans les années 1537-1545, au cours d'une dispute qui oppose Calvin à Caroli. Caroli, un curieux personnage, assez changeant et versatile, occupe, en 1537, un poste de pasteur à Lausanne. Il accuse Farel et Calvin de ne pas beaucoup tenir au dogme de la Trinité, les soupçonne d'être enclins à l'abandonner et à le rejeter. Il les somme de signer les symboles d'Athanase et de Nicée-Constantinople, qui au quatrième et au cinquième siècle de notre ère ont défini et formulé ce dogme subversif. Calvin s'y refuse. Non pas qu'il se sente en désaccord avec ces symboles, encore qu'il se montre sévère pour celui de Nicée-Constantinople. Il parle de bavardages inutiles, de charabia, et écrit que ce symbole est "un poème fait pour être chanté plus qu'une formule de confession" (autrement dit qu'il peut avoir un usage liturgique, relever de la première catégorie de confession de foi, mais pas de la seconde, car il manque de précision et d'exactitude théologiques). Bien que d'accord sur le fond (mais réservé sur la forme), Calvin n'accepte pas qu'on exige qu'il donne à un texte ecclésiastique l'assentiment que seule l'Écriture a le droit de réclamer. Il ne faut pas, écrit-il, "introduire dans l'Église cet exemple de tyrannie: que soit tenu pour hérétique quiconque n'aurait pas répété les formules établies par un autre". Dans la demande de Caroli, Calvin voit donc une atteinte à l'autorité de la seule Écriture et à la liberté chrétienne, bien qu'il soit responsable lui-même de la mort de Michel Servet pour avoir attaqué le mystère de la Trinité Ontologique du catholicisme qui provient de ces anciens symboles. Dans son livre, la Restitution Chrétienne, il est dit correctement que la trinité n'a pas de fondement biblique. Servet conserve l'idée qu'il y a un Père, un Fils et puis l’Esprit, mais il ne veut pas que ce soit des “ personnes ”. Il estime que le mot “personne” ne peut absolument pas convenir, notamment à l'Esprit, et en cela il avait parfaitement raison car «Dieu est Esprit» dit le Seigneur Jésus (Jean 4:24) et non pas une personne. Ensuite, il pense que le Fils est en fait le Logos, la Parole de Dieu qui s'est incarnée, mais à un moment précis de l'histoire. Il y avait donc pour Servet un moment où le Fils n'existait pas comme tel avant son incarnation, mais comme Dieu même, le Père éternel. Sa position était solidement biblique sans aucun recours à la supposition des préjugés trinitaires avec ses conjectures aberrantes. Par conséquent, malgré tout ce qui est dit contre lui par les trinitaires orthodoxes, Servet acceptait strictement l'autorité de l'Écriture, en tant que source de la foi en dépit de ses autres écarts doctrinaux. Si Calvin lui avait été donné de comprendre la vérité scripturaire de Servet au lieu de s'entêter dans ses présomptions teintées encore de papisme, le christianisme aurait changé bout pour bout, mais tel n'était pas le plan de Dieu pour cette époque. Il est évident qu'il y a définitivement une contradiction entre la pensée de Calvin et sa manière d'agir, mais il ne veut pas se lier aux textes de la tradition, même quand ils exposent des dogmes qui lui paraissent justes. En plus, nous avons une décision de Calvin sur ce supposé mystère de la Trinité. La voici: «En cas que quelqu'un soit hétérodoxe, et qu'il se fasse scrupule de se servir des mots Trinité et Personne, nous ne croyons pas que ce soit une raison pour rejeter cet homme; nous devons le supporter sans le chasser de l'Église, et sans l'exposer à aucune censure comme un hérétique.» Que les églises modernes sont loin de sa pensée, elles ne sont toutefois pas loin de ses agissements, elles se sont fourvoyées dans le labyrinthe de leur intellectualisme pour en venir à imposer avec véhémence ces anciennes formules spéculatives et hérésiarques, et condamnent sans hésitation et avec véhémence tous les chrétiens qui s'y opposeraient. Il s'agit clairement d'une hérésie criante car il n'y a absolument aucun passage dans toute la Bible, pas même un seul qui mentionne spécifiquement l'existence de trois «personnes» en Dieu ou que cette notion irrationnelle serait nécessaire au salut (nous mettons l'emphase sur le mot: personne.). Pas un seul mot en est dit dans tout le Texte Sacré. Puisque le Saint-Esprit en a soufflé aucune notion, les malsains d'esprit sont donc responsables de l'avoir introduit et animé au sein du christianisme avec des conjectures sophistiquées qui font dire à la Bible ce qu'elle ne dit pas.

 

Voici en quelques mots l'échappatoire populaire des trinitaires pour justifier leurs aberrations sur le sujet de la Trinité par un pasteur réformé reconnu du nom de Vincent Bru: «La première chose que l'on peut dire au sujet de la Trinité, c'est que le mot « Trinité » ne se trouve pas dans la Bible. Il s'agit d'un terme extrabiblique, qui entend rendre compte d'une réalité qui, elle, se trouve bel et bien présente dans la Bible, celle du Dieu trinitaire, Père, Fils et Saint-Esprit, un seul Dieu en trois Personnes distinctes. Le mot « Trinité » est un mot qui, pour n'être pas biblique, entend rendre compte le mieux possible de l'enseignement de l'Écriture concernant Dieu et la relation qui existe entre le Père, le Fils et le Saint-Esprit. Nous touchons là un point important, à savoir qu'il vaut mieux garder la vérité de l'Écriture que les mots de l'Écriture.»

 

Maintenant passons à l'analyse cette affirmation éloquente et grandiose qui sert à lancer du sable dans les yeux des gens pour les empêcher de voir la vérité. Vrai que le mot «Trinité» n'est pas dans la Bible et qu'il s'agit d'un terme extrabiblique. Cela devrait être assez pour alerter tous les étudiants sérieux de la Parole de Dieu. Mais poursuivons notre petite analyse. Ce que ce pasteur ne dit pas est beaucoup plus dangereux car le mot «Trinité» est un terme issu du paganisme et du platonisme pour expliquer le dieu trinitaire des anciennes religions à mystères, et il ne s'agit pas d'une imitation de Satan de la vraie Trinité, comme on les entend souvent dire, car la Trinité du concile de Nicée/Constantinople est elle-même la contrefaçon satanique sous déguisement chrétien. Elle a été élaborée à partir de spéculations raffinées par les prétendus «pères de l'Église» sur la base philosophique et discursive des anciens mystères à propos de l'existence de Dieu, et adaptée à la révélation biblique pour satisfaire la soif de pouvoir et de domination mondiale des empereurs romains et des évêques qui suivirent. Que le terme «Trinité rende compte d'une réalité qui se trouve bel et bien dans la Bible pour expliquer un seul Dieu en trois personnes distinctes», est complètement faux et anti-biblique voir même anti-chrétien. Comme nous l'avons déjà mentionné, il n'y a absolument aucun passage dans toute la Bible qui dit explicitement qu'il y a trois personnes ou subsistances distinctes en Dieu, c'est une pure invention mensongère pour aveugler les crédules afin de dominer sur leur foi et leur conscience. Aucun des passages utilisés par les trinitaires pour appuyer leurs abominations d'un dieu en trois personnes distinctes ne contient le mot «personne», il est introduit par pure conjecture afin de faire dire à la Bible ce qu'elle ne dit pas afin de créer des distinctions en Dieu, notre Esprit des vivants. En d'autres mots, la doctrine de trois personnes distinctes en Dieu est une doctrine de suppositions et de présomptions, c'est à dire d'opinions ecclésiastiques que la Bible nomme «des interprétations particulières» (2 Pierre 1:19-21), ce qui est fortement interdit par la Parole de Dieu, et avec raison lorsque nous considérons tous les dégâts et les méfaits que cela occasionne. Le dernier point que nous devons toucher de ce pasteur de troupeaux de loups voraces est «qu'il vaut mieux garder la vérité de l'Écriture que les mots de l'Écriture.». Ah bon, voilà donc une nouvelle révélation réservée aux candidats de la chambre ronde attachés avec des camisoles de force. Nous n'avons jamais entendu un dire plus insensé que cela, il faut vraiment avoir perdu tout contact avec la réalité pour proposer une telle insanité. Or la vérité de l'Écriture se trouve précisément dans les mots de l'Écriture sans lesquels elle ne pourrait être communiquée à ceux qui sont encore sains d'esprit. Il est entièrement impossible de garder la vérité de l'Écriture sans les mots qui la composent, on ne peut séparer l'Écriture de sa grammaire autrement aucun de nous ne pourrait être instruits dans les principes de la Parole de Dieu. En sommaire, les trinitaires sont non seulement des menteurs et des déformateurs de la vérité, ils sont des imposteurs qui font de Dieu un menteur et des Écritures un tissu de mensonges, s'attaquant ainsi à l'autorité de la Bible tout en prétendant autrement. Il est clair et sans aucune ambiguïté que la doctrine de la Trinité de trois personnes ou subsistances distinctes en Dieu est la doctrine de l'Antichrist et que les trinitaires sont marqués du sceau de la bête (Apocalypse 13:4-8; 16-18).

 

De nos jours, il y a donc définitivement atteinte à l'autorité des Écritures et à la liberté chrétienne par la tyrannie d'un christianisme apostat ou contrefait, qu'il soit traditionnel ou évangélique. Si nous étions encore au temps de l'inquisition et des bûchers, ceux qui refusent de reconnaître l'autorité des symboles de Nicée et d'Athanase serviraient de flambeaux pour éclairer la voie pernicieuse qui mène aux portes de ces prétendues églises.

 

Contrairement aux Réformateurs du seizième siècle, les Rénovateurs du dernier siècle ou fin des temps, les Christophiliens, ne supportent pas la doctrine de la trinité de trois personnes en Dieu, car pour eux Jésus est le seul Dieu et la seule Personne en Dieu, en qui tous les élus forment le Corps de son existence éternelle.

 

LES DIFFÉRENTS ASPECTS DE LA PERSÉCUTION

Si nous mettons beaucoup d'emphase sur la trinité dans ce document, c'est qu'elle est la doctrine la plus dangereuse et la plus pernicieuse en existence. Il était et demeure toujours le point central des persécutions des élus. Sa conception ouvre la porte à de nombreuses fausses doctrines. On ne saurait en négliger l'importance, car elle est le pivot même de l'existence du catholicisme, du protestantisme, et du mouvement dit évangélique. En d'autres mots, elle est le fondement du christianisme contrefait, ancien comme moderne.

 

Évidemment nous ne sommes plus au temps des anciens romains lorsqu'on jeta les chrétiens aux bêtes sauvages pour les faire dévorer afin de plaire aux foules assoiffées de sang pour les amuser dans les arènes. Ni sommes-nous au temps des Vaudois qui se firent massacrés atrocement pour leur foi, ni au temps des réformateurs dans lequel on brûlait à fagots vert des chrétiens sur des bûchers devant des foules de curieux qui leur criaient des injures. Ni au temps de l'inquisition dans lequel les Dominicains et les Jésuites torturaient atrocement les chrétiens. Non ! On est beaucoup plus civilisé que cela. On utilise la diffamation pour tuer leur caractère, on empoisonne l'esprit des gens avec toutes sortes de ragots, afin qu'ils tourmentent ceux qui maintiennent la vérité. On torture les témoins fidèles de Christ par le harcèlement. On s'acharne contre eux pour les décourager. On se moque éperdument de leurs enseignements. On fait usage d'intimidation, et même jusqu'à des agressions. On fait tout pour leur nuire par tous les moyens possibles, et parfois illégitimes jusqu'à dérober leur travail et de se l'attribuer injustement. Nous l'avons dit, si les temps ont changé, les cœurs n'ont pas changé. La méchanceté de l'homme ne connaît aucune borne, et les pires atrocités sont généralement commises par des gens qui se disent chrétiens. En fait, le commérage est même devenu le sport favori des sectes dites évangéliques, et ils s'y donnent à cœur de joie. Ils sont même devenus maîtres en manipulations des sentiments et des Écritures, qu'ils déforment à leur guise. Ils n'arrêtent devant rien pour salir le nom de Christ et la vérité. Puis ces gens se disent chrétiens sans aucune honte. Ils sont tellement aveuglés par leur orgueil, qu'ils ne réalisent pas qu'ils sont des imposteurs et des réprouvés. Leur Dieu à trois têtes ne pourra les sauver au jour du jugement. Ils récolteront le salaire qui leur est dû pour avoir persécutés les élus, en qui la Sainte Présence de Christ demeure.

 

La persécution est généralement décrite comme étant: Tourmenter sans relâche, par des traitements injustes, cruels, notamment pour des motifs de race, d'idéologie, de politique ou de religion...

 

Des recherches démontrent clairement qu'il y a deux types de persécutions: celle qui est sanglante et celle qui est sournoise. Pour la persécution sanglante, tout le monde comprend. Il s'agit d'un acte malveillant à l'encontre d'un chrétien connu en tant que tel ou à l'encontre de la Convocation à renaître de Christ et de ses élus en tant que tels, et acte avec effusion de sang ou violence (assassinat, agression physique, viol, amputation). Les emprisonnements sont inclus dans cette catégorie ainsi que les attentats avec ou sans mort d'homme.

 

En revanche, la persécution sournoise est moins précise. Disons qu'elle comprend les actes malveillants sans effusion de sang ni violence et qui restent du domaine administratif, fiscal, judiciaire ou social. Ces actes sont les plus nombreux et sont présents sur les cinq continents car cette catégorie regroupe la discrimination à l'embauche (« renie ta foi chrétienne et tu auras ce travail » peut-on entendre à Khartoum), le rejet familial du nouveau baptisé au Pakistan, le retard dans l'obtention du visa pour la religieuse missionnaire, le courrier volé, le petit racket du poste frontière imposé au laïc engagé... Mais encore, dans nos pays par exemple, le détournement publicitaire qui offusque la foi, la couverture médiatique d'un procès d'un pasteur quand on constatera après qu'il était innocent (mais l'opinion publique se dira quand même qu'il n'y a pas de fumée sans feu...), les caricatures insultantes dans des journaux satiriques, la volonté d'enlever les crucifix des lieux publics, la volonté de reléguer l'Église au seul plan privé, etc. On comprend mieux ce qu'est la persécution sournoise, celle qui est composée, non de meurtres sanglants, mais de petits actes malveillants, de petites insultes, de petites tracasseries.

Cette persécution sournoise, insidieuse, de chantage affectif ou communautariste est bien illustrée dans le christianisme contrefait moderne, traditionnel comme évangélique.

 

La persécution détient dans tous ses aspects des implications à tous les niveaux, religieux, politique, sociale, physique, moral, et spirituel. Elle est la loi de la majorité contre la minorité. Celui qui persécute cherche toujours à avoir raison et cherche constamment à justifier ses comportements. Il veut faire valoir ses opinions à tout prix, et va utiliser tous les moyens pour atteindre ses buts, légitimes ou non. En d'autres mots, la fin justifie les moyens. Le puissant veut imposer son autorité, le riche veut imposer son avidité, l'immoral veut imposer ses turpitudes, le musulman veut imposer sa charia, l'homosexuel veut imposer son style de vie, l'entrepreneur veut imposer ses services, le commerçant veut imposer ses produits, le rebelle veut imposer ses idées, le papiste veut imposer son Dieu à trois têtes, le protestant veut nous imposer sa liturgie et ses confessions de foi, le Baptiste veut nous imposer son pasteur et son église, et l'évangélique veut imposer ses présomptions et son libre-choix illusoire. Nous sommes persécutés sans relâche de tous côtés harceler sans cesse par des gens sans scrupules qui veulent notre ruine.

 

En cette fin des temps, nous faisons face à la pire persécution la plus subtile jamais conçue par les puissances infernales qui cherchent à dominer sur notre monde. Personne ne s'y attendait, malgré que nous avions les signes dans la Bible depuis environs deux milles ans. La pandémie du coronavirus nous a pris par surprise. Mais elle n'est pas un accident de la nature, elle a été conçue d'avance par des hommes iniques avides de pouvoir, afin d'établir leur notion d'un royaume impie à l'échelle mondiale. La planification de vacciner tous les peuples de la terre et d'imposer un passeport ou carnet de vaccin, va créer une nouvelle classe d'indésirables, les lépreux chrétiens, desquels il faut s'éloigner ou restreindre pour ne pas être contaminé. Cette notion diabolique a été désignée pour trouver où sont les vrais chrétiens afin de les éliminer, car aucun élu n'acceptera de se faire vacciner. Ils refuseront tous de porter la marque de la bête, seuls les faux chrétiens la recevront pour leur perdition éternelle. Mais les manigances machiavéliques de nos gouvernements démon-cratiques, en ligue avec les sociétés de banquiers internationaux, ne réussira point. Ils n'ont pas considéré qu'il existe réellement un Dieu vivant et Tout-puissant qui est le Maître absolu sur toutes chose, et qui se moque de leur agenda secret. Au moment donné, déterminé depuis avant la fondation du monde, ils périront tous dans un feu foudroyant qui les consumera jusqu'au dernier.

 

Or il nous importe de comprendre, que la persécution fait partie de notre formation, aucun élu en est exempté. Ses effets nocifs servent à la purification de notre foi que nous avons reçu en Christ pour la gloire de son Nom. Elle est donc nécessaire à notre développement spirituel, autant déplaisante qu'elle soit. Elle nous pousse à prendre courage et à persister dans la voie de la vérité. Or nous vous implorons tous d'être vigilant, car nous sommes dans des temps périlleux. Notre ennemi est comme un lion qui cherche à nous dévorer.

 

LA DERNIÈRE PERSÉCUTION

Ce que nous vous annonçons ici est la chose la plus affreuse et la plus horrible de l'histoire de la race humaine. Jamais une telle atrocité n'a été vue auparavant. «Écoutez ce que l'Esprit de Christ dit aux élus des derniers temps: La dernière persécution ne sera pas externe. On ne se promènera pas dans les rues avec des machettes pour vous couper en pièces. On ne vous fusillera pas sur la place du marché. On ne vous privera pas de nourriture pour que vous mourriez de faim. Non, elle sera interne. On vous injectera d'un poison nommé le feu de l'enfer qui vous brûlera intérieurement, et vous fera souffrir atrocement et qui vous consumera comme un feu infernal. Vous subirez des douleurs atroces indescriptibles, et vous périrez lentement dans de terribles angoisses. Mais puisque JE SUIS en vous et avec vous, ces choses ne vous arriveront point. Elles tourneront plutôt contre ceux qui veulent votre perte. Résistez et tenez ferme, ils ne réussiront pas leur plan destructeur. Je viens et ma vengeance est avec moi. Je ferai descendre un feu du ciel, de ma présence, qui les dévorera tous. Et je vous prendrai avec moi, et vous serez avec moi dans mon Royaume.»

 

Le message ici se rapporte évidemment au vaccin contre le coronavirus, c'est à dire le vaccin du feu de l'enfer. Ne vous laissez pas charmé par les paroles astucieuses des politiciens, des médecins, et des scientifiques. Ces gens sont tous des menteurs professionnels, ils sont des hypocrites qui supportent les intérèts d'un groupe particulier qui détient le contrôle sur les hautes-finances au niveau mondial. Le vaccin n'est pas conçu pour protéger les gens contre le coronavirus, mais pour tuer les élus de Christ. La direction politique des gouvernements a toujours été antichrétienne depuis des millénaires, et rien n'a changé sauf leurs tactiques. Le gouvernement de l'ancien Israel a fait tuer Christ par la main des romains. Des millions de chrétiens furent torturés atrocement et massacrés sans pitié à travers l'histoire. Pourquoi penseriez-vous que de telles choses ne peuvent se produire en nos temps modernes. S'ils ont persécuté Christ, il nous persécuterons aussi; s'ils ont tués un nombre inombrable de chrétiens, ils vous tueront aussi inévitablement.

 

En fait, nos gouvernements démon-cratiques haïssent Christ de tous leurs coeurs ténébreux, ils ne peuvent tolérer sa présence en aucune façon, et vont tout faire leur possible pour le détruire. Il ne peut en être autrement car cela est enraciné dans le coeur de l'homme depuis le début des temps. Ils veulent en finir avec Dieu pour de bon, et maintenant ils ont la haute-technologie pour le faire. Ils ont finalement maîtrisé la science du code génétique ou ADN. Les scientifiques de la nanotechnologie travaillent de concert avec le gouvernement de la nation moderne d'israel, la bête de la terre et le peuple de Satan, pour produire le vaccin du feu de l'enfer dans le but d'éradiquer le christianisme de la face de la terre. La composition chimique de ce vaccin est très spécialisée, elle n'affecte aucunement les non-chrétiens, sauf de causer parfois des effets secondaires déplaisantes, quoique quelques personnes en sont mortes, surtout des vieillards qui avaient déjà certaines complications médicales. En gros on nous dit que le vaccin est généralement sécure, afin d'influencer les gens à se faire vacciner. Mais là n'est pas la fin de l'histoire. Le produit chimique de ce vaccin est composé sur la base du fonctionnement d'un ordinateur pour atteindre les résultats voulus. Tout dans la composition a été programmé à ce but, savoir la destruction du christianisme et particulièrement des élus de Christ.

 

Puisque Christ habite dans le coeur de ses élus, il faut donc détruire ses élus, et cela de la façon la plus atroce que possible, sans alarmer le restant des peuples pour éviter une révolution sanglante au niveau mondial. Le vaccin stimule le cortex cérébrale, et contrôle les pulsions des neurones.  dans le but de produire une réaction voulue qui peut détruire un être humain très sournoisement. Ils ont réussi à faire une carte généalogique du génome, qui leur permet de détecter les pulsions des neurones communes à une personne chrétienne, et de là d'altérer le code génétique ou ADN pour réagir à la façon dont ils ont déterminé en laboratoire. Le vaccin a donc un effet voulu sur un certain groupe de personnes, mais non sur d'autres. De même il peut produire le feu de l'enfer dans le cortex cérébral en ceux qui sont marqués pour la destruction. Nous vous avertissons sérieusement, ce n'est pas une fiction de l'imagination, la chose est tellement sérieuse, que la Sainte Présence de Christ a réveiller son messager pour vous donner le message: si vous avez la Sainte Présence de Christ en vous, ne vous faites pas vacciner, résistez et tenez ferme. Encore un peu de temps, très peu de temps et Christ apparaîtra pour nous prendre avec Lui.

 

Chez l'Homme, le cortex cérébral permet des fonctions élaborées telles que le langage, la mémoire, le raisonnement, la conscience, la commande de mouvements volontaires... La surface du cortex présente des sillons ; le cortex se partage en plusieurs lobes : lobes frontal, pariétal, occipital, temporal...
Le cortex cérébral comprend des aires motrices, des aires sensitives et des aires associatives, qui intègrent les informations pour envoyer des commandes. Le cortex est présent au niveau des deux hémisphères cérébraux, gauche et droit.


Le cortex qui se trouve à la surface des hémisphères cérébraux s'appelle le néocortex ; il se compose de six couches, avec différents types de neurones (cellules pyramidales, étoilées...). Le cortex d'un hémisphère cérébral traite les informations sensorielles et motrices de la partie du corps située au côté opposé. Maintenant vous en comprenez toutes les implications.

 

La phase d'extermination débutera par des petits groupes insignifiants de chrétiens, dans des locations peux importantes qui ne soulèveront pas l'indignation des peuples Ils seront étiqueté s d'indésirables et de criminels contagieux et dangereux qui s'opposent aux lois de la santé avec violence, pour se justifier et plaire à l'opinion publique. Au début la mort de quelques rebelles sera simplement regardée d'un mauvais oeil, mais sera jugé nécessaire pour la protection de la société en général. On assurera que le vaccin était nécessaire, et qu'ils ne pouvaient prévenir une telle réaction purement accidentelle, car le vaccin est complètement sécure malgré quelques imprévus qu'ils s'efforcerons de corriger. Cela satisfera aux crédules qui ont été programmés d'avance par les médias d'informations. Mais des répétions de ce scénario désastreux se feront voir de plus en plus à un rite alarmant, toujours justifiés par les autorités.

 

œn même temps ils progresseront très rapidement dans le mouvement dit Évangélique. Tous ceux qui se disent chrétiens, toutes dénominations confondues, seront ciblées pour prendre le vaccin, Ceux qui refusent ou s'opposent se verront imposés de lourdes amendes, ils seront proscrits de leur travail, leur subsistance sera menacée, leurs enfants en danger d'être enlevés sous prétention de les protéger de leurs parents considérés contaminés, Ils perdront leurs biens, maisons, autos, chalets. Ils seront regardés comme des parias de la société et ne pourront plus se déplacer comme bon leur semble. Ils subiront d'extrêmes pressions et n'auront pas de choix que de recevoir le vaccin, et tous plieront le genou au feu de l'enfer. Suivront les chrétiens traditionnels, orthodoxes, protestants, et catholiques, qui s'empresserons tous pour prendre le vaccin sans aucun remords de conscience, se croyant de bons citoyens obéissants à leurs gouvernements. Le dernier ciblé pour la destruction est le Vatican et la papauté, puis viendra la fin. Les jours de vengeance de notre Dieu seront terminé, puis la terre et l'univers entier seront détruits, et effacé de la mémoire des élus, qui seront les seuls à échapper à tous ces fléaux. Dieu utilise les nations de la terre pour accomplir ses dessins, une fois cela fait, elles sont détruites à leur tour dans un cataclysme apocalyptique. Rien de la race humaine demeura, pas même un grain de poussière, ni le moindre microbe.,, tout passera au néant.

 

A Christ seul soit la Gloire

Amen !

 

Rédigé par Jean leDuc sous la direction de la Sainte Présence de Christ,

pour la communauté mondiale des élus.