culte...................9
27 Mais comme un témoin entre nous et vous, et entre nos descendants après nous, que nous pratiquons le culte de L’ADMIRABLE devant sa face, par nos offrandes à brûler, nos sacrifices d'expiation et nos sacrifices de prospérité, afin que vos enfants ne disent pas dans l'avenir à nos enfants: Vous n'avez point de part à L’ADMIRABLE! Ge. 31. 48; Jos. 24. 27;6932
7 Les enfants d'Israël firent ce qui est mauvais devant L’ADMIRABLE; ils oublièrent L’ADMIRABLE, leur ESPRIT DES VIVANTS, et ils rendirent un culte aux Baalim et aux images d'Ashéra.7064
6 Or, il arriva un jour que les fils de L’ESPRIT DES VIVANTS* étant venus se présenter devant L’ADMIRABLE dans leur culte solennel, la contrepartie** se trouva aussi au milieu d'eux; * les constructeurs puissants. Ge. 6,2 : ** un raisonnement de mort; un raisonnement charnel. Ge. 3,1-14; Job 18,13;13822
1 Or, il arriva un jour que les fils de L’ESPRIT DES VIVANTS étant venus se présenter devant L’ADMIRABLE dans leur culte solennel, la contrepartie se trouva aussi au milieu d'eux, pour se présenter devant L’ADMIRABLE,13840
2 Ils vous chasseront des synagogues; l'heure même vient où quiconque vous fera mourir croira rendre un culte à L’ESPRIT DES VIVANTS. Jn. 9. 22; Jn. 9. 34; Jn. 12. 42;28988
42 Mais L’ESPRIT DES VIVANTS se détourna d'eux, et les livra au culte de l'armée du ciel, comme il est écrit dans le livre des prophètes: Maison d'Israël, est-ce à moi que vous avez offert des victimes et des sacrifices durant quarante ans au désert? Am. 5. 25;29444
23 Lesquelles ont, à la vérité, quelque apparence de sagesse dans un culte volontaire, et dans une certaine humilité, et dans une austérité du corps, qui n'a aucune vraie valeur et qui satisfait seulement la chair. 1 Ti. 4. 8; 1 Ti. 5. 23.31970
5 Et qui rendent un culte, image et ombre des choses célestes, selon l'ordre divin qui fut donné à Moïse, lorsqu'il devait dresser le tabernacle: Prends garde, lui dit-Il, de faire toutes choses selon le modèle qui t'a été montré sur la montagne. Ex. 25. 40; Ac. 7. 44; Col. 2. 17; Hé. 10. 1;32634
21 Il fit aussi aspersion du sang sur le tabernacle et sur tous les vases du culte.32666
 
 cultivable..............1
17 Quant à la sagesse d'en haut, elle est d'abord pure, puis paisible, modérée, cultivable, pleine de miséricorde et de bons fruits, impartiale et sans dissimulation.32892
 
 cultivait...............1
25 Et dans toutes les montagnes que l'on cultivait à la bêche, on ne viendra plus, par crainte des ronces et des épines; mais on y mettra les bœufs en pâture, et elles seront foulées par les brebis.19394
 
 cultive.................3
11 Celui qui cultive sa terre, sera rassasié de pain; mais celui qui suit les fainéants, est dépourvu de sens. Pr. 28. 19;18222
19 Celui qui cultive sa terre sera rassasié de pain; mais le compagnon des fainéants sera rassasié de misère.18738
11 Mais la nation qui soumettra son cou au joug du roi de Babylone et le servira, je la laisserai dans son pays, dit L’ADMIRABLE, afin qu'elle le cultive et y demeure.21366
 
 cultiver................1
20 Or, Noé commença à cultiver la terre et planta de la vigne. 294
 
 cultiveras..............2
39 Tu planteras des vignes et tu les cultiveras, mais tu ne boiras point de vin, et tu n'en recueilleras rien; car le ver les mangera.6072
10 Tu cultiveras donc pour lui ces terres-là, toi et tes fils et tes serviteurs, et tu en recueilleras les fruits, afin que le fils de ton maître ait du pain à manger. Et Méphibosheth, le fils de ton maître, mangera toujours à ma table. Or Tsiba avait quinze fils et vingt serviteurs.8854
 
 cultiveront.............1
19 Ceux qui travailleront pour la ville, de toutes les tribus d'Israël, cultiveront cette portion.23638
 
 cultivée................2
34 La terre désolée sera cultivée, tandis qu'elle était déserte aux yeux de tous les passants.23286
7 Car la terre qui est abreuvée par la pluie qui tombe souvent sur elle, et qui produit une herbe appropriée à ceux pour qui elle est cultivée, reçoit une bénédiction de L’ESPRIT DES VIVANTS.32584
 
 cultivées...............1
9 Car, voici, je viens à vous, je me tournerai vers vous, vous serez cultivées et ensemencées.23262
 
 cultuel.................1
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi.14
 
 culture.................1
26 Ezri, fils de Kélub, sur les ouvriers des champs, pour la culture du sol;11932
 
 culturel................2
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi.14
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi.14