motif...................7
3 Et L’ADMIRABLE dit à la contrepartie: As-tu remarqué mon serviteur Job? Il n'y en a pas comme lui sur la terre, intègre, droit, craignant L’ESPRIT DES VIVANTS, et se détournant du mal. Il tient encore ferme dans son intégrité, et tu m'as excité à le ruiner sans motif.13842
17 Lui qui fond sur moi dans une tempête, et qui multiplie mes plaies sans motif.14030
6 Tu exigeais des gages de tes frères, sans motif; tu privais de leurs vêtements ceux qui étaient nus. Ex. 22. 26-27; De. 24. 6; De. 24. 10;14384
28 Et sans avoir aucun motif de le mettre à mort, ils demandèrent à Pilate de le faire mourir. Mt. 27. 20; Mc. 15. 11; Lu. 23. 18; Jn. 19. 6;29688
28 Or, voulant savoir le motif pour lequel ils l'accusaient, je l'ai fait descendre dans leur Sanhédrin.30080
3 Car il n'y a eu dans notre prédication ni erreur, ni aucun motif impur, ni fraude.32036
19 Car c'est une chose agréable à L’ESPRIT DES VIVANTS, que quelqu'un, par un motif de conscience, endure des afflictions en souffrant injustement. Mt. 5. 10;32984
 
 motifs..................1
26 C'est pourquoi on appelle ces jours Purim, du nom de Pur. Par ces motifs, d'après tout le contenu de cette lettre, d'après ce qu'ils avaient vu et ce qui leur était arrivé,13802
 
 motiver.................1
45 Alors il la poursuit, et reçoit en lui sept autres attitudes plus tordues que cette disposition première, et elles s'établissent pour motiver sa conscience; et la dernière condition de cet homme est pire que la première. Il en arrivera ainsi à cette méchante génération. Hé. 6. 4-5; Hé. 10. 26; 2 Pi. 2. 20;25648
 
 mots....................74
Machaira est le mot Grec pour Épée et il s’agit ici de l’Épée de l’Esprit qui est la Parole de L’ADMIRABLE ESPRIT DES VIVANTS. Le texte de cette Version est une révision de la Bible de l'Épée 2010, Version leDuc, contenant plusieurs nouvelles traductions dans un très grand nombre de passages. Elle comporte de nombreuses précisions sur les Originaux Hébreu et Grec, surtout dans le Nouveau Testament. Le lecteur habitué aux traductions classiques ou régulières se trouvera perplexe devant plusieurs nouvelles expressions, mais qu'il soit assuré que toutes les précautions ont été prises pour qu'elles demeurent fidèles aux originaux, même si parfois une traduction peut sembler étrange à votre entendement. Les traductions ont été vérifiées sur les Lexiques Hébreu et Grec de la Concordance Strong Française, sur l’étymologie des mots dans les Dictionnaires Hébreu-Français et Grec-Français, et sur un Dictionnaire de Synonymes très réputé, et tout cela sous la direction et la puissance de l’Esprit de Christ qui veille jalousement sur sa Parole. Tout ce travail à contribué à éclaircir le texte davantage, surtout dans le Nouveau Testament. Notre but était d'atteindre une clarté d'expression plus limpide et plus compréhensible à tous, sans toutefois départir du sens réel des mots dans leur langue d'origine qui détiennent une grande variété de nuances applicables dans différents contextes. Les nouvelles traductions furent discutées et analysées avec plusieurs afin d'assurer une transmission précise de leurs significations. Nous avons surtout cherché à maintenir l'uniformité de traduction envers certains mots qui n'avait jamais été traduit auparavant. La Bible est pour les simples, et les gens du peuple commun ont besoin de savoir ce qu'elle dit, et non ce que les experts et les savants disent qu'elle dit (1 Corinthiens 1:24-29).10
Machaira est le mot Grec pour Épée et il s’agit ici de l’Épée de l’Esprit qui est la Parole de L’ADMIRABLE ESPRIT DES VIVANTS. Le texte de cette Version est une révision de la Bible de l'Épée 2010, Version leDuc, contenant plusieurs nouvelles traductions dans un très grand nombre de passages. Elle comporte de nombreuses précisions sur les Originaux Hébreu et Grec, surtout dans le Nouveau Testament. Le lecteur habitué aux traductions classiques ou régulières se trouvera perplexe devant plusieurs nouvelles expressions, mais qu'il soit assuré que toutes les précautions ont été prises pour qu'elles demeurent fidèles aux originaux, même si parfois une traduction peut sembler étrange à votre entendement. Les traductions ont été vérifiées sur les Lexiques Hébreu et Grec de la Concordance Strong Française, sur l’étymologie des mots dans les Dictionnaires Hébreu-Français et Grec-Français, et sur un Dictionnaire de Synonymes très réputé, et tout cela sous la direction et la puissance de l’Esprit de Christ qui veille jalousement sur sa Parole. Tout ce travail à contribué à éclaircir le texte davantage, surtout dans le Nouveau Testament. Notre but était d'atteindre une clarté d'expression plus limpide et plus compréhensible à tous, sans toutefois départir du sens réel des mots dans leur langue d'origine qui détiennent une grande variété de nuances applicables dans différents contextes. Les nouvelles traductions furent discutées et analysées avec plusieurs afin d'assurer une transmission précise de leurs significations. Nous avons surtout cherché à maintenir l'uniformité de traduction envers certains mots qui n'avait jamais été traduit auparavant. La Bible est pour les simples, et les gens du peuple commun ont besoin de savoir ce qu'elle dit, et non ce que les experts et les savants disent qu'elle dit (1 Corinthiens 1:24-29).10
Machaira est le mot Grec pour Épée et il s’agit ici de l’Épée de l’Esprit qui est la Parole de L’ADMIRABLE ESPRIT DES VIVANTS. Le texte de cette Version est une révision de la Bible de l'Épée 2010, Version leDuc, contenant plusieurs nouvelles traductions dans un très grand nombre de passages. Elle comporte de nombreuses précisions sur les Originaux Hébreu et Grec, surtout dans le Nouveau Testament. Le lecteur habitué aux traductions classiques ou régulières se trouvera perplexe devant plusieurs nouvelles expressions, mais qu'il soit assuré que toutes les précautions ont été prises pour qu'elles demeurent fidèles aux originaux, même si parfois une traduction peut sembler étrange à votre entendement. Les traductions ont été vérifiées sur les Lexiques Hébreu et Grec de la Concordance Strong Française, sur l’étymologie des mots dans les Dictionnaires Hébreu-Français et Grec-Français, et sur un Dictionnaire de Synonymes très réputé, et tout cela sous la direction et la puissance de l’Esprit de Christ qui veille jalousement sur sa Parole. Tout ce travail à contribué à éclaircir le texte davantage, surtout dans le Nouveau Testament. Notre but était d'atteindre une clarté d'expression plus limpide et plus compréhensible à tous, sans toutefois départir du sens réel des mots dans leur langue d'origine qui détiennent une grande variété de nuances applicables dans différents contextes. Les nouvelles traductions furent discutées et analysées avec plusieurs afin d'assurer une transmission précise de leurs significations. Nous avons surtout cherché à maintenir l'uniformité de traduction envers certains mots qui n'avait jamais été traduit auparavant. La Bible est pour les simples, et les gens du peuple commun ont besoin de savoir ce qu'elle dit, et non ce que les experts et les savants disent qu'elle dit (1 Corinthiens 1:24-29).10
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi.14
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi.14
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi.14
Nous avisons le lecteur que les mots en italiques ne se trouvent point dans les Originaux, mais sont suggéré par le contexte grammatical, historique, et linguistique. Souvent il s’agit de règles de grammaire, ou encore ils furent ajoutés soit pour éclaircir le sens de la phrase où ils apparaissent, soit pour préciser l’enseignement donné. Avec les italiques nous suivons la pratique des anciennes versions qui ajoutent plusieurs mots en italique pour but de transparence afin de ne pas induire les lecteurs en erreur, contrairement à ce que font les versions modernes tendancieuses. Nous avons été soucieux d'être transparent et de maintenir la saveur de l’ancienne traduction, tout en rendant la beauté du texte intégral inspiré dans un style simple et moderne, comme une lumière qui brille dans les ténèbres. Il est inévitable que certains, habitués avec les versions dénaturées de la Bible, s’imaginent que les mots et les notes en italiques font parti des originaux, c’est pour cela que nous trouvons important de le mentionner.18
Nous avisons le lecteur que les mots en italiques ne se trouvent point dans les Originaux, mais sont suggéré par le contexte grammatical, historique, et linguistique. Souvent il s’agit de règles de grammaire, ou encore ils furent ajoutés soit pour éclaircir le sens de la phrase où ils apparaissent, soit pour préciser l’enseignement donné. Avec les italiques nous suivons la pratique des anciennes versions qui ajoutent plusieurs mots en italique pour but de transparence afin de ne pas induire les lecteurs en erreur, contrairement à ce que font les versions modernes tendancieuses. Nous avons été soucieux d'être transparent et de maintenir la saveur de l’ancienne traduction, tout en rendant la beauté du texte intégral inspiré dans un style simple et moderne, comme une lumière qui brille dans les ténèbres. Il est inévitable que certains, habitués avec les versions dénaturées de la Bible, s’imaginent que les mots et les notes en italiques font parti des originaux, c’est pour cela que nous trouvons important de le mentionner.18
Nous avisons le lecteur que les mots en italiques ne se trouvent point dans les Originaux, mais sont suggéré par le contexte grammatical, historique, et linguistique. Souvent il s’agit de règles de grammaire, ou encore ils furent ajoutés soit pour éclaircir le sens de la phrase où ils apparaissent, soit pour préciser l’enseignement donné. Avec les italiques nous suivons la pratique des anciennes versions qui ajoutent plusieurs mots en italique pour but de transparence afin de ne pas induire les lecteurs en erreur, contrairement à ce que font les versions modernes tendancieuses. Nous avons été soucieux d'être transparent et de maintenir la saveur de l’ancienne traduction, tout en rendant la beauté du texte intégral inspiré dans un style simple et moderne, comme une lumière qui brille dans les ténèbres. Il est inévitable que certains, habitués avec les versions dénaturées de la Bible, s’imaginent que les mots et les notes en italiques font parti des originaux, c’est pour cela que nous trouvons important de le mentionner.18
23 Joab, et toute l'armée qui était avec lui, revint donc; et on fit rapport à Joab en ces mots: Abner, fils de Ner, est venu vers le roi, qui l'a laissé partir, et il s'en est allé en paix.8708
4 Mais il arriva, cette nuit-là, que la Parole de L’ADMIRABLE fut adressée à Nathan, en ces mots:8796
11 Et quand David se leva le matin, la Parole de L’ADMIRABLE fut adressée au prophète Gad, le Voyant de David, en ces mots:9350
1 Et il s'écoula nombre de jours, et la Parole de L’ADMIRABLE fut adressée à Élie, la troisième année, en ces mots: Va, montre-toi à Achab, et j'enverrai de la pluie sur la terre.10026
9 Et là, il entra dans la caverne, et il y passa la nuit. Et voici, la Parole de L’ADMIRABLE lui fut adressée, en ces mots: Que fais-tu ici, Élie?10082
17 Alors la Parole de L’ADMIRABLE fut adressée à Élie, le Thishbite, en ces mots:10158
28 Alors la Parole de L’ADMIRABLE fut adressée à Élie, le Thishbite, en ces mots:10168
4 Or, Ésaïe n'était point encore sorti jusqu'au milieu de la ville, que la Parole de L’ADMIRABLE lui fut adressée en ces mots:10834
3 Mais il arriva, cette nuit-là, que la Parole de L’ESPRIT DES VIVANTS fut adressée à Nathan, en ces mots:11644
26 Sont-ce des mots que vous voulez censurer? Mais il faut laisser au vent les paroles d'un homme au désespoir.13960
4 Alors la Parole de L’ADMIRABLE fut adressée à Ésaïe, en ces mots: 20042
4 La Parole de L’ADMIRABLE me fut adressée, en ces mots: 20658
1 Puis la Parole de L’ADMIRABLE me fut adressée en ces mots: 20676
1 La Parole qui fut adressée à Jérémie de la part de L’ADMIRABLE, en ces mots:20840
1 La Parole qui fut adressée à Jérémie, de la part de L’ADMIRABLE, en ces mots:20954
1 Puis la Parole de L’ADMIRABLE me fut adressée en ces mots: 21074
5 Alors la Parole de L’ADMIRABLE me fut adressée en ces mots: 21130
12 Or la Parole de L’ADMIRABLE fut adressée à Jérémie en ces mots, après que Hanania, le prophète, eut rompu le joug de dessus le cou de Jérémie, le prophète:21392
30 Et la Parole de L’ADMIRABLE fut adressée à Jérémie, en ces mots: 21428
1 Or la Parole de L’ADMIRABLE fut adressée à Jérémie une seconde fois, en ces mots, quand il était encore enfermé dans la cour de la prison:21548
23 La Parole de L’ADMIRABLE fut aussi adressée à Jérémie, en ces mots: 21570
1 La Parole qui fut adressée en ces mots à Jérémie, de la part de L’ADMIRABLE, lorsque Nébucadnetsar, roi de Babylone, et toute son armée, tous les royaumes de la terre gouvernés par sa main, et tous les peuples, combattaient contre Jérusalem et contre toutes ses villes: 2 R. 25. 1; Jé. 52. 1-34;21576
12 Alors la Parole de L’ADMIRABLE fut adressée à Jérémie, en ces mots: 21586
12 Alors la Parole de L’ADMIRABLE fut adressée à Jérémie, en ces mots: 21610
27 Alors la Parole de L’ADMIRABLE fut adressée à Jérémie, en ces mots, après que le roi eut brûlé le rouleau et les paroles que Baruc avait écrites sous la dictée de Jérémie:21646
6 Alors la Parole de L’ADMIRABLE fut adressée à Jérémie, le prophète, en ces mots:21660
8 Alors la Parole de L’ADMIRABLE fut adressée à Jérémie, à Tachphanès, en ces mots:21796
1 La Parole qui fut adressée à Jérémie pour tous les Judéens qui habitaient dans le pays d'Égypte, qui habitaient à Migdol, à Tachphanès, à Noph et au pays de Pathros, en ces mots:21804
16 Au bout de sept jours, la Parole de L’ADMIRABLE me fut adressée, en ces mots:22346
1 La Parole de L’ADMIRABLE me fut adressée, en ces mots: 22398
1 La Parole de L’ADMIRABLE me fut encore adressée, en ces mots: 22414
14 Et la Parole de L’ADMIRABLE me fut adressée en ces mots: 22512
17 Puis la Parole de L’ADMIRABLE me fut adressée en ces mots: 22542
21 La Parole de L’ADMIRABLE me fut encore adressée en ces mots: 22546
12 Puis la Parole de L’ADMIRABLE me fut adressée en ces mots: 22592
45 (21-1) La Parole de L’ADMIRABLE me fut adressée en ces mots: 22802
1 (21-6) Puis la Parole de L’ADMIRABLE me fut adressée en ces mots: 22808
1 La Parole de L’ADMIRABLE me fut adressée en ces mots: 22842
17 La Parole de L’ADMIRABLE me fut adressée en ces mots: 22858
23 La Parole de L’ADMIRABLE me fut encore adressée en ces mots: 22864
20 La Parole de L’ADMIRABLE me fut adressée, en ces mots: 23054
1 La Parole de L’ADMIRABLE fut adressée à Jonas, fils d'Amitthaï, en ces mots:24536
1 Puis la Parole de L’ADMIRABLE fut adressée à Jonas une seconde fois, en ces mots:24566
3 Et la Parole de L’ADMIRABLE fut adressée, par Aggée, le prophète, en ces mots:24892
10 Le vingt-quatrième jour du neuvième mois, la seconde année de Darius, la Parole de L’ADMIRABLE fut adressée, par Aggée, le prophète, en ces mots:24916
20 La Parole de L’ADMIRABLE fut adressée, pour la seconde fois, à Aggée, le vingt-quatrième jour du mois, en ces mots:24926
1 La seconde année du règne de Darius, au huitième mois, la Parole de L’ADMIRABLE fut adressée au prophète Zacharie, fils de Barachie, fils d'Iddo, en ces mots:24932
7 Le vingt-quatrième jour du onzième mois, qui est le mois de Shébat, la seconde année de Darius, la Parole de L’ADMIRABLE fut adressée au prophète Zacharie, fils de Barachie, fils d'Iddo, en ces mots:24938
8 La Parole de L’ADMIRABLE me fut encore adressée, en ces mots: 24990
9 Et la Parole de L’ADMIRABLE me fut adressée en ces mots: 25020
12 Et parle-lui en ces mots: Ainsi a dit L’ADMIRABLE des armées: Voici un homme dont le nom est LA BRANCHE, qui germera de son lieu et bâtira le temple de L’ADMIRABLE. Jn. 2. 6,12; 1 Co. 3. 9-17;25022
3 Et pour parler aux sacrificateurs de la maison de L’ADMIRABLE des armées, et aux prophètes, en ces mots: Dois-je pleurer au cinquième mois, et faire abstinence, comme je l'ai fait pendant tant d'années?25030
4 Et la Parole de L’ADMIRABLE des armées me fut adressée en ces mots: 25032
8 Puis la Parole de L’ADMIRABLE fut adressée à Zacharie, en ces mots: 25036
1 La Parole de L’ADMIRABLE des armées me fut encore adressée en ces mots: 25044
18 La Parole de L’ADMIRABLE des armées me fut adressée, en ces mots: 25062
63 Et Zacharie ayant demandé des tablettes, écrivit ces mots: Jean est son nom; et ils en furent tous surpris.27138
18 Car de telles gens ne servent point notre ADMIRABLE Jésus-Christ, mais leur propre augmentation; et par des beaux mots et des discours éloquents ils séduisent le cśur des simples. Éz. 13. 18; Ph. 3. 19;30716
17 Car ce n'est pas pour consacrer que Christ m'a envoyé, mais c'est pour annoncer le message de la grâce, non avec la sagesse des mots, afin que la croix de Christ ne soit pas rendue inefficace. 1 Co. 2. 1; 1 Co. 2. 4; 2 Pi. 1. 16;30748
11 Si donc je ne sais ce que ces mots signifient, je serai un barbare pour celui qui parle, et celui qui parle sera un barbare pour moi.31082
3 C'est par révélation qu'Il m'a fait connaître ce mystère, comme je viens de l'écrire en peu de mots. Ac. 22. 17; Ac. 22. 21; Ac. 26. 16-17; Ro. 16. 25; Ga. 1. 11-12;31682
4 Il est enflé d'orgueil, il ne sait rien; mais il a la maladie des contestations et des disputes de mots, d'où naissent l'envie, les querelles, les médisances, les mauvais soupçons, 1 Ti. 1. 4; 2 Ti. 2. 23; Tit. 3. 9;32286
27 Or, ces mots: Encore une fois, marquent l'abolition des choses muables, en tant que faites, pour que les immuables subsistent.32784
22 Frères, je vous prie de supporter cette parole d'encouragement; car je vous ai écrit en peu de mots.32810
12 Je vous ai écrit en peu de mots par Silvain, qui est, comme je l'estime, un frère fidèle, vous exhortant et vous assurant que la vraie grâce de L’ESPRIT DES VIVANTS est celle dans laquelle vous demeurez fermes.33048