l'humanité..............8
26 Puis L’ESPRIT DES VIVANTS dit: Que l'humanité soit faite selon notre apparence, selon notre communauté, et qu'elle domine sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur le bétail, et sur toute la terre, et sur tous les êtres rampants qui glissent sur la terre.52
27 Et L’ESPRIT DES VIVANTS créa l'humanité à son image; il la créa à l'image de L’ESPRIT DES VIVANTS; il les créa mâles et femelles. Ge. 5. 1; Ge. 9. 6; Mt. 19. 4; 1 Co. 11. 7; Ép. 4. 24; Col. 3. 10;52
7 Et L’ADMIRABLE ESPRIT DES VIVANTS forma l'humanité de la projection de son producteur, et souffla dans ses narines un esprit de vie; et le productif devint une âme vivante. 1 Co. 15. 45; 1 Co. 15. 47;66
19 Et L’ADMIRABLE ESPRIT DES VIVANTS forma dans le sanguin toutes les consciences vivantes en croissance dans la connaissance sublime de l'existence; et il les fit venir vers l'humanité, pour qu'elle considère leurs accomplissements, et que la position que l'humanité donnerait à chacune de ses consciences éveillées, fût son obligation. Éz. 1. 5;78
19 Et L’ADMIRABLE ESPRIT DES VIVANTS forma dans le sanguin toutes les consciences vivantes en croissance dans la connaissance sublime de l'existence; et il les fit venir vers l'humanité, pour qu'elle considère leurs accomplissements, et que la position que l'humanité donnerait à chacune de ses consciences éveillées, fût son obligation. Éz. 1. 5;78
25 Or l'humanité dans son existence charnelle étaient doublement rusé, et ils ne s'en relâchaient point. Ge. 3. 1,7;84
Voici le livre de la postérité de l'humanité. Au jour où L’ESPRIT DES VIVANTS créa l'humanité, il la fit comme la communauté de L’ESPRIT DES VIVANTS. Ge. 1. 26; Ge. 9. 6; 1 Co. 11. 7;168
Voici le livre de la postérité de l'humanité. Au jour où L’ESPRIT DES VIVANTS créa l'humanité, il la fit comme la communauté de L’ESPRIT DES VIVANTS. Ge. 1. 26; Ge. 9. 6; 1 Co. 11. 7;168
 
 l'humiliation...........4
Elle produisit encore son contraire, l'humiliation qu'elle considérait insignifiante; et l'humiliation dirigeait la conversion des êtres vivants, mais l'usurpation gardait les hommes sous l'esclavage. 118
Elle produisit encore son contraire, l'humiliation qu'elle considérait insignifiante; et l'humiliation dirigeait la conversion des êtres vivants, mais l'usurpation gardait les hommes sous l'esclavage. 118
Et l'humiliation présenta, le droit d'aînesse de la conversion et de son enrichissement. Et L’ADMIRABLE eut égard à l'humiliation, et à son offrande; 122
Et l'humiliation présenta, le droit d'aînesse de la conversion et de son enrichissement. Et L’ADMIRABLE eut égard à l'humiliation, et à son offrande; 122
 
 l'humilité..............4
33 La crainte de L’ADMIRABLE enseigne la sagesse, et l'humilité va devant la gloire. Pr. 1. 7; Pr. 9. 10; Pr. 18. 12;18338
12 Le cśur de l'homme s'élève, avant que la ruine arrive; mais l'humilité précède la gloire. Pr. 11. 2; Pr. 15. 33; Pr. 16. 18;18416
4 Le fruit de l'humilité et de la crainte de L’ADMIRABLE, c'est la richesse, la gloire et la vie.18530
3 Cherchez L’ADMIRABLE, vous tous les humbles du pays, qui faites ce qu'il ordonne! Recherchez la justice, recherchez l'humilité! Peut-être serez-vous mis à couvert, au jour de la colère de L’ADMIRABLE.24852
 
 l'hypocrisie............2
1 Cependant, le peuple s'étant assemblé par milliers, tellement qu'ils se foulaient les uns les autres, il se mit à dire à ses disciples: Gardez-vous sur toutes choses du levain des pharisiens, qui est l'hypocrisie. Mt. 16. 16; Mc. 8. 15;27664
2 Par l'hypocrisie de faux docteurs, dont la conscience sera marquée au fer rouge,32238
 
 l'hypocrite.............1
34 Car la famille de l'hypocrite est stérile, et le feu dévore les tentes de l'homme corrompu.14212
 
 l'hysope................10
4 Le sacrificateur ordonnera de prendre pour celui qui doit être purifié, deux oiseaux vivants et purs, du bois de cèdre, du cramoisi et de l'hysope.3380
6 Quant à l'oiseau vivant, il le prendra, avec le bois de cèdre, le cramoisi et l'hysope, et il les trempera, avec l'oiseau vivant, dans le sang de l'oiseau égorgé sur l'eau vive;3382
49 Il prendra, pour purifier la maison, deux oiseaux, du bois de cèdre, du cramoisi et de l'hysope;3426
51 Il prendra le bois de cèdre, l'hysope, le cramoisi et l'oiseau vivant; il les trempera dans le sang de l'oiseau égorgé, et dans l'eau vive, et il en fera aspersion sur la maison, sept fois.3428
52 Il purifiera ainsi la maison avec le sang de l'oiseau, avec l'eau vive, avec l'oiseau vivant, le bois de cèdre, l'hysope et le cramoisi.3428
6 Et le sacrificateur prendra du bois de cèdre, de l'hysope et du cramoisi, et les jettera au milieu du feu où brûlera la génisse.4626
18 Et un homme pur prendra de l'hysope, et la trempera dans l'eau et en fera aspersion sur la tente, sur tous les vases et sur les personnes qui y sont, et sur celui qui a touché des ossements, ou un homme tué, ou un mort, ou un tombeau. Ps. 51. 7;4638
33 Il a aussi parlé des arbres, depuis le cèdre qui est au Liban jusqu'à l'hysope qui sort de la muraille; il a aussi parlé des animaux, des oiseaux, des reptiles et des poissons.9532
7 (51-9) Purifie-moi de mon péché avec l'hysope, et je serai net; lave-moi et je serai plus blanc que la neige. Lé. 14. 4; Lé. 14. 6; No. 19. 6; No. 19. 18;15884
19 En effet, après que Moïse eut déclaré à tout le peuple tous les commandements de la loi, il prit le sang des veaux et des boucs, avec de l'eau et de la laine écarlate, et de l'hysope, et en fit aspersion sur le livre lui-même et sur tout le peuple,32664
 
 l'Hébreu................4
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi.14
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi.14
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi.14
13 Et un fugitif vint l'annoncer à Abram, l'Hébreu. Or il demeurait dans les plaines de Mamré l'Amoréen, frère d'Eshcol, et frère d'Aner, qui avaient fait alliance avec Abram. Ge. 13. 18;432