JÉSUS ET LES FABULATIONS SPÉCULATIVES

SUR LA TRINITÉ

Par Jean leDuc

Avril 2024

 

Texte d'Ariel sur les fourberies et duplicités du dogme de la Trinité chimérique et subversive des théoriciens des Conciles de Nicée et Constantinople.

 

MISE EN GARDE CONTRE LES SPÉCULATIONS

 

LA TRINITÉ N'EST PAS ENSEIGNÉE PAR JÉSUS ET SES DISCIPLES

 

DÉFINITION DE LA TRINITÉ NICÉENNE DE DOMINATION IMPÉRIALE

 

SCRUTER LES ÉCRITURES POUR TROUVER LA TRINITÉ

 

LES INEPTIES ET DUPLICITÉS PERFIDES DU MOT PERSONNE

 

LE MODALISME BIBLIQUE ET LE SABELLIANISME INTERIMAIRE

 

LE MONARCHISME DIAKONIEN DE LA CHRISTUNITÉ

 

L'IMMANENCE DE CHRIST QUI HABITE LE COEUR DE SES ÉLUS SEULS

 

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MISE EN GARDE CONTRE LES SPÉCULATIONS

Les suppositions, les imaginations, les théories, les présomptions, les probabilités, les subtilités, les apparences, et la chance sont les domaines de la spéculation philosophique charnelle et mondaine. Il ne s'y trouve rien de stable ni de certain, et la vérité n'est pas en aucune spéculation, car tout est conjectures et sophismes pour détourner les regards de la vérité. C’est précisément à ce point que nous donnerons quelques mots de mise en garde contre la spéculation et la curiosité excessives dans le traitement de cette doctrine insensée, subversive et diabolique de trois personnes imaginaires en Dieu. Peut-être ne pouvons-nous pas mieux faire que de vous avertir en disant que: «la discussion sur la prétendue Trinité, un sujet en soi assez complexe, est rendue très perplexe, et donc dangereuse, par la curiosité humaine, qu’aucune barrière ne peut empêcher d’errer dans des labyrinthes interdits. et de s’élever en idolâtre au-delà de sa sphère, comme s’il était déterminé à ne laisser aucun des secrets divins inexplorés avec sa nature humaine déchue et corrompue. Qu’ils se souviennent donc d’abord que lorsqu’ils s’enquièrent de la Trinité, ils pénètrent dans les recoins les plus intimes de la sagesse divine, où l’intrus insouciant et confiant n’obtiendra aucune satisfaction à sa curiosité. Car nous savons que lorsque nous aurons dépassé les limites de la Parole de Dieu pour nous donner à des fabulations hypothétiques de théoriciens astucieux, nous entrerons dans une voie détournée et prétentieuse, dans laquelle les erreurs, les glissements et les chutes seront inévitables et destructives. Rappelons-nous donc, en premier lieu, que désirer plus de connaissance de la Trinité chimérique en dehors de ce qui est dévoilée dans la Parole de Dieu, indique une aussi grande folie que de vouloir marcher sur des charbons brulants, ou de voler dans le ciel comme un oiseau affolé. N’ayons pas honte non plus de ne pas ignorer certaines choses relatives à un sujet où il y a une sorte d’ignorance savante comme nous voyons parmi les théologiens et pasteurs imposteurs du christianisme contrefait, ancien comme moderne.

Nous ne sommes pas obligés d'« expliquer » ces vérités; nous sommes seulement tenus d’énoncer ce que notre Dieu, le Seigneur Jésus, a révélé Lui-même dans sa Parole perpétuellement inspirée, et de justifier ces affirmations autant que possible contre les idées fausses et les objections de la part des églisiens trinitarés et érudits de la chambre ronde, avec leurs délires psychotiques d'une pseudo-orthodoxie à prétentions chrétiennes. Dans la nature du cas, tout ce que nous pouvons savoir sur des vérités aussi profondes, c’est ce que l’Esprit de Christ a jugé bon de révéler à leur sujet, étant confiant que tout ce que sa Sainte Présence qui nous habite, a révélé est indubitablement vrai et doit être cru, bien que nous ne puissions pas en sonder les profondeurs avec la ligne de notre raisonnement limité. Dans notre ignorance de ses desseins, nous ne sommes pas aptes à être ses conseillers. « Tes jugements sont un grand abîme », dit le psalmiste. L’homme pourrait aussi bien tenter de nager pour traverser l’océan que de sonder les jugements de Dieu. L’homme en sait beaucoup trop peu pour justifier sa tentative d’expliquer les mystères du règne de Dieu, mais vrai aussi que plusieurs académiques, qui ont pour père le diable, ont la tète enflée au point d'éclater.

L’importance du sujet discuté doit nous conduire à ne procéder qu’avec la plus profonde révérence et la plus grande prudence, principes ignorés par tous les églisiens trinitarés de la pseudo-orthodoxie. S’il est vrai que les mystères doivent être traités avec soin, et bien qu’il faille éviter les spéculations d'une stupidité illogique injustifiées et présomptueuses sur les choses divines, cependant, si nous voulons proclamer l’Évangile authentique dans sa pureté et sa plénitude, nous devons veiller à ne pas cacher aux disciples véritables ce qui est déclaré dans les Écritures concernant la prétendue Trinité d'une orthodoxie subversive d'une folie inimaginable. Il faut s’attendre à ce que certaines de ces vérités soient perverties et abusées par les impies qui se disent chrétiens. Quelle que soit la clarté avec laquelle cela est enseigné dans l’Écriture par le Seigneur Jésus qui rejette cette fourberie Nicéenne philosophique, l’esprit de ceux qui se disent éclairés persiste dans cette absurdité anti-scripturaire d’un seul Dieu existe en trois personnes distinctes l'une de l'autre, comme trois hommes individuels qui ont perdu la raison. Et bien que nous ne puissions en savoir sur ce sujet que ce que le Seigneur Jésus a jugé bon de révéler, il est important que nous comprenions ses enseignements; sinon, cette vérité n’aurait pas été révélée. Là où les Écritures nous mènent, nous pouvons les suivre en toute sécurité sous la direction de la Sainte Présence de Christ qui nous habite, se gardant des doctrines ecclésiastiques d'un christianisme contrefait qui déforment la vérité.

 

Il importe de savoir que la notion de trois personnes en Dieu n'est pas une doctrine biblique, mais une doctrine philosophique adaptée du néo-platonisme, et donnée une apparence chrétienne et biblique par des faux chrétiens assoiffés de pouvoir et de richesse. Dans le domaine philosophique, on nomme spéculation le fait de s'interroger sur les conséquences d'une hypothèse comme si elle était vraie, sans nécessairement la considérer au départ comme telle. Il est clair ici que nous sommes en plein dans le domaine de la duplicité et d'une supercherie inouïe qui séduit les gens prétendument chrétiens, ignorants et éduqués, depuis de nombreux siècles. Il s'agit de la plus grande arnaque jamais conçue par l'homme, et plus spécifiquement par l'Antichrist qui siège à Rome sur le trône de Mithra.

À l'origine, dans la tradition grecque où philosophie et science étaient intimement liées, ces deux disciplines ne pouvaient se concevoir sans la spéculation philosophique.

C'est la controverse ptoléméo-copernicienne (première moitié du XVIIe siècle), avec le rejet par René Descartes de la philosophie scolastique jugée «trop spéculative», qui a entraîné progressivement une séparation entre les domaines de la foi et de la raison, mise en évidence dans l'encyclique Fides et ratio. Alors que la philosophie a continué d'argumenter par des raisonnements spéculatifs sinueux, tout en s'éloignant des vérités révélées et en rejetant souvent la métaphysique, les autres sciences ont de leur côté refusé la méthode spéculative, pour lui préférer soit le raisonnement déductif, soit la méthode expérimentale.

Le mot même de spéculation, qui avait à l'origine un sens philosophique, a progressivement pris, le plus souvent, le sens de spéculation financière.

À la fin du XXe siècle, le pape Jean-Paul II, exposé comme étant l'Antichrist par Ian Paisley ministre de l'Irlande du Nord, montre, dans l'encyclique Fides et ratio (1998), que la réflexion spéculative est nécessaire à la réconciliation entre la foi et la raison, et nous en sommes pas surpris puisque le Vatican est l'État le plus riche dans le monde entier.

La philosophie et la théologie ont un terrain d’entente. L’un et l’autre prétendent enseigner ce qui est vrai au sujet de Dieu, de l’homme, du monde et de la relation dans laquelle Dieu se trouve avec ses créatures.

Bien que leurs objets soient jusqu’à présent identiques, tous deux s’efforçant d’atteindre la connaissance des mêmes vérités, leurs méthodes sont essentiellement différentes. La philosophie cherche à atteindre la connaissance par la spéculation et l’induction, ou par l’exercice de nos propres facultés intellectuelles trompeuses. La théologie s’appuie astucieusement sur l’autorité, recevant supposément comme vérité tout ce que Dieu a révélé dans sa Parole, mais tout en prenant en considération les principes de la philosophie qu'elle applique à diverses doctrines. Tout le système est entaché d'hypocrisie et de lâcheté abjecte, et il est grand temps de lever le voile sur ces abominations d'une fausse orthodoxie.

 

 

LA TRINITÉ N'EST PAS ENSEIGNÉE PAR JÉSUS ET SES DISCIPLES

Si la doctrine de la Trinité serait réellement chrétienne et biblique, elle se trouverait clairement dans la Bible, et Jésus et ses disciples l'auraient enseigné avec précision, puisqu'elle est considérée nécessaire au salut par tous les églisiens trinitarés psychopathes de la chambre ronde. Mais les Saintes-Écritures ne la mentionne nul part, ni le nom ni le principe s'y trouvent. Il est plus qu'évident qu'elle n'était pas connue ni enseignée dans le christianisme primitif, ni par Jésus ni par ses disciples. Comment donc ce poison subtil a-​t-​il vu le jour? Et pourquoi est-​ce important de savoir la vérité sur cette doctrine loufoque de cornichons saugrenus? Il faut attendre jusqu'au début du 4ie siècle pour voir ce principe de domination impériale surgir du gouffre infernal au Concile de Nicée en l'an 325, convoqué par l'empereur Constantin pour prendre le contrôle sur la foi dite chrétienne afin de l'intégrer au Mithraïsme et dominer sur cette nouvelle religion universelle (Apoc. 13: 1-10). La Trinité était le pivot de cette religion monstrueuse et l'est encore de nos jours. La notion, habilement conçue par Constantin, reconnu comme un génie militaire grandement astucieux, avait des rapports étroits avec la Trinité Druidique en Grande-Bretagne où Constantin fut né et élevé dans une forme de Christianisme Celtique qui maintenait des notions de l'ancienne religion des Druides (voir: Saint Paul en Grande-Bretagne). Comme dans la majorité des anciennes religions à mystères babyloniens, la trinité druidique consistait en un père, un fils, et une mère souvent représentée sous le symbole d'une colombe. Le principe fut adapté à la Trinité Nicéenne et la troisième personne devint un oiseau, et la déesse oiseau fut regardée par le grand réprouvé Athanase, qui en rédigea le principe dans les délires de sa psychose, comme étant Marie mère de Jésus sous les aspects de Sémiramis, la prostituée babylonienne considérée comme la Madonne et Reine du ciel par les anciens chaldéens. Or la déesse oiseau est décrite comme la plus belle des femmes, étant de haute-taille et n'ayant aucun cheveux ni aucun poil sur sa peau blanche comme le lait de la lune. Sa tête est couverte d'un beau plumage blanc qui descend entre ses deux ailes jusqu'à ses fesses. Mais contrairement à une femme normale elle a trois seins gros comme des melons au miel, un pour amuser le Père, l'autre pour nourrir le Fils, et le dernier pour attirer et séduire les curieux. Ses yeux en or brillent comme la lumière du soleil, sa langue est fourchue comme le trident de Neptune, et son sexe est couvert de plumes blanches qui cachent l'entrée du paradis. Son nectar est le sang des églisiens trinitarés. Son amant est le Phénix, et après leurs ébats amoureux incendiaires, elle monte sur une branche de l'arbre interdit, renfermant ses deux ailes sur elle pour couvrir sa nudité, et garder la chaleur de son corps jusqu'au matin. Au lever du soleil elle déploie ses ailes et se lance dans les airs en faisant des pirouettes de joie, puis elle suis un cours d'eau limpide comme du cristal et plonge dans une chute pour se laver et remonte dans le ciel pour faire sécher son plumage par les rayons du soleil, puis se rend à la rencontre du Père et du Fils, l'enfant illégitime de son amant, pour planifier leur voyage vers Saturne et Titan.

Ainsi pour les grands érudits qui supportent les absurdités de Nicée-Constantinople, une des personnes de leur trinité abominable, n'est pas une personne mais un oiseau affolé qui voltige sans cesse entre le Père et le Fils, ne sachant plus où poser les pieds. Puis on veut nous faire croire que cette doctrine est complètement logique et la pure vérité. Cette notion est tellement ridicule qu'elle peut tuer les gens de rire en se roulant sur le plancher des vaches sacrées du labyrinthe de leur folie.

 

Presque toutes les soi-disant Églises de la prétendue chrétienté enseignent faussement que Dieu est une trinité de personnes distinctes, comme trois crapauds qui sautent à tour de rôle l'un par dessus l'autre, ne sachant jamais qui est le premier jusqu'à la sorcière vienne pour en décapiter un dans ses rituels de magie. L’Encyclopédie catholique (angl.) dit de la Trinité qu’elle est “la doctrine fondamentale de la religion chrétienne”, et elle la définit ainsi:

“Dans l’unité de la Divinité, il y a trois personnes: le Père, le Fils et le Saint-Esprit; ces trois personnes étant réellement distinctes. Ainsi, selon le symbole du Pseudo-Athanase, ‘le Père est Dieu, le Fils est Dieu, et le Saint-Esprit est Dieu, et cependant il n’y a pas trois Dieux mais un seul Dieu’. (...) Les personnes sont coéternelles et coégales: elles sont, au même titre, incréées et omnipotentes.”

Mais contrairement à cette mystification perfide imaginaire de la chambre ronde, la logique rationnelle d'un esprit sain mentalement bien équilibré, nous dit que les trois personnes distinctes seraient donc chacune Dieu, ce qui fait trois Dieux et non un seul. Assurément les pères de Nicée-Constantinople tournaient en rond dans leur cellule de fous braques, trainant avec eux tous les théoriciens et les théologiens enchainés et séquestrés dans leurs délires, cherchant la sortie du labyrinthe de leur stupidité académique, mais ne pouvant la trouver, se résignant ainsi à leur folie de réprouvés.

L’Encyclopédie Baptiste (angl.) donne une définition semblable. On y lit:

“[Jésus] est (...) le Jéhovah éternel. (...) Le Saint-Esprit est Jéhovah. (...) Le Fils et l’Esprit sont sur un plan de stricte égalité avec le Père. S’il est Jéhovah, ils le sont aussi⁠.” On se retrouve maintenant avec trois Jéhovah ou Souverain Suprême, rien de surprenant avec la vermine Baptiste, les pires abominations idolâtres proviennent de ce milieu malsain.

Après Nicée on ne tarde pas à voir les opposants frappés d’anathème. En 325, le concile de Nicée, en Asie Mineure, a formulé un Credo affirmant que le Fils de Dieu est “véritablement Dieu”, de même que le Père est “véritablement Dieu”. Dans ce Credo, on déclarait notamment:

“Quant à ceux qui disent qu’il y a eu [un temps] où [le Fils] n’était pas, qu’avant de naître il n’était pas, et qu’il est né du néant; ou qui affirment que le Fils de Dieu est d’une autre hypostase ou substance, ou qu’il a été créé et qu’il est soumis au changement; ceux-là, l’Église catholique les anathématise⁠.”

Par conséquent, quiconque croyait que le Fils et le Père ne sont pas coéternels ou que le Fils a été créé était livré à la damnation éternelle, et avec raison car une telle notion est anti-scripturaire et n'est pas tolérable puisqu'elle s'attaque à la divinité de Christ qui est Lui-même le Père Éternel manifesté dans la chair comme Fils unique, contrairement à ce que dit les Symboles philosophiques de Nicée-Constantinople. On imagine l’influence que cette mesure a pu exercer sur la masse des croyants. Il en est de même avec le Modalisme Patripassiens et aussi avec le Sabellianisme Intérimaire, qui furent condamnés et remplacés par l'hérésie infernale de la Trinité chimérique de la pseudo-orthodoxie de Nicée-Constantinople supportée par le pouvoir, la puissance, et la richesse de l'Empereur Constantin, et s'y opposer assurait la mort la plus atroce, comme les Donatistes du Nord de l'Afrique l'apprirent lorsqu'ils furent persécutés et massacrés par les troupes de Constantin. Les évêques du Concile de Nicée, tous des lâches, des traitres, et des imposteurs, étaient forcé d'y assister, ils craignaient pour leur vie et plièrent le genou à Constantin, souverain pontife des mystères chaldéens et adorateur de Mithra dit aussi Apollon, fils du dieu Soleil.

En 381, un autre concile s’est réuni à Constantinople et a déclaré que l’on devait adorer et glorifier l’Esprit Saint, au même titre que le Père et le Fils. Un an après, en 382, s’est tenu à Constantinople un synode au cours duquel on a affirmé l’entière divinité de l’Esprit Saint. Cette même année, devant un concile qui se tenait à Rome, le pape Damase a présenté un recueil d’enseignements devant être condamnés par la Pseudo-Église. Ce document, appelé le Tome de Damase, contenait les déclarations suivantes:

“Quiconque nie que le Père est éternel, que le Fils est éternel et que le Saint-Esprit est éternel, celui-là est un hérétique.”

“Quiconque nie que le Fils de Dieu est véritablement Dieu, de même que le Père est véritablement Dieu, ayant tout pouvoir, sachant tout et l’égal du Père, celui-là est un hérétique.”

“Quiconque nie que le Saint-Esprit (...) est véritablement Dieu, (...) a tout pouvoir et sait tout, (...) celui-là est un hérétique.”

“Quiconque nie que les trois personnes: le Père, le Fils et le Saint-Esprit sont véritablement des personnes, qu’elles sont égales, éternelles, contenant toutes choses visibles et invisibles, et qu’elles sont toutes-puissantes, (...) celui-là est un hérétique.”

“Quiconque dit que [le Fils qui a été] fait chair n’était pas au ciel avec le Père lorsqu’il était sur la terre, celui-là est un hérétique.”

“Quiconque, reconnaissant que le Père est Dieu, que le Fils est Dieu et que le Saint-Esprit est Dieu, (...) ne dit pas qu’ils sont un seul Dieu, (...) celui-là est un hérétique⁠.”

Les jésuites mariolâtres, espions et assassins du Vatican, qui ont traduit ces passages du latin ont fait cette réflexion: “Le pape saint Célestin Ier (422-432) semblait tenir ces canons pour loi; ils peuvent être considérés comme des définitions de la foi⁠.” Le bibliste Edmund Fortman affirme, quant à lui, que le Tome constitue une “solide doctrine trinitaire”. Mais il s'agit plutôt d'une fabulation philosophique qui tord le sens de la vérité scripturaire, d'une façon habilement conçue pour séduire les ignorants, les cancres, et les crédules.

 

DÉFINITION DE LA TRINITÉ NICÉENNE DE DOMINATION IMPÉRIALE

La conception que l’on pouvait se faire de la Trinité de domination impériale après le concile de Constantinople (381), le Tome de Damase (382), le pseudo symbole d’Athanase qui est venu quelque temps plus tard, et d’autres documents encore sont autant d’éléments qui nous permettent de déterminer avec précision ce qu’est cette fausse doctrine pour le christianisme contrefait ancien comme moderne. En plus de notions du néo-platonisme, elle détient des éléments qui proviennent des anciennes religions à mystères babyloniens (voir: Les deux babylones et Aberrations trinitaires du dieu à trois faces).

Notre foi est portée par la conviction que la croix et la résurrection de Jésus Christ, et son ascension ou exaltation, sont les événements principaux de l'histoire du salut, et non la doctrine d'une Trinité spéculative qui se développa quelques centaines d'années par après. Ce point central est non seulement décisif pour notre vie et notre mort mais aussi pour la compréhension de la révélation sur le Dieu unique. Les premiers chrétiens ont hérité du judaïsme leurs idées sur Dieu, cela est évident car au départ ils étaient tous des Juifs, c'est à dire des Judéens. L'importance capitale de la foi juive relative à Dieu était l'unicité de Celui-ci. Le premier commandement a mis en relief la place unique de Dieu: «JE SUIS le Seigneur ton Dieu; tu n'auras aucun autre dieu devant moi» (Ex 20, 2-3). Les chrétiens croient que la vie, la mort et la résurrection de Jésus de Nazareth révèlent quelque chose de définitif sur Dieu, et il ne peut en être autrement puisque le Seigneur Jésus est Dieu Lui-même manifesté dans la chair. Jésus a souvent parlé de son «Père» qui habitait en Lui comme nature divine, il a aussi proclamé la venue de l'Esprit de Dieu qui est Jésus Lui-même dans son ministère d'exaltation comme notre Consolateur qui habite en nous, faisant de chacun de nous des temples de sa Sainte Présence. Après sa mort et sa résurrection, les disciples de Jésus savaient pleinement qu'il était Dieu, car l'Esprit leur enseignait toutes choses et témoigna surtout de la divinité de Christ. Ils n'avaient aucun besoin d'un concile théologique et philosophique pour reconnaître que le Seigneur Jésus est le Dieu Tout-Puissant, le même qui avait apparu à Moïse et qui avait marché avec eux, guérissant des malades, ressuscitant des morts, et redressant des mauvais esprits. D'une part, cela fit un problème pour les Juifs chrétiens monothéistes: Jésus est-il Dieu?  Comment est-il Dieu?  Qu'est-ce que cela signifie pour Dieu le Père? Et qu'en est-il du Saint-Esprit nommé aussi Sainte Présence ?  Comment sauvegarder le monothéisme, si Jésus est Dieu? D'autre part, cela donnait aux disciples de Jésus l'occasion de réfléchir sur Dieu d'une manière nouvelle. Leur expérience de Dieu en Jésus et par Jésus et leur expérience de l'Esprit de Dieu au milieu d'eux et en eux les menèrent à une perception plus profonde de Dieu et des deux natures en Christ. Cette perception nouvelle sur Dieu, celle du Nouvel Homme, s'est exprimée dans leur prière. La prière était adressée à Dieu par Jésus dans l'Esprit et les gens étaient baptisés au NOM unique de Jésus (Ac. 8:16; 19:5), c'est-à-dire «au NOM du Père et du Fils et de l'Esprit Saint» (Mt 28, 19) qui dévoile l'unité du ministère de Christ et non la fourberie de trois personnes distinctes, en d'autres mots, au NOM qui est au-dessus de tout nom (Phil. 2:9-11) et dont la révélation sous la grâce de la Nouvelle Alliance est qu'il y a un seul NOM pour le Père, le Fils, et le Saint-Esprit, à savoir: JÉSUS, le Dieu Sauveur, le Messie si longtemps attendu depuis la promesse en Éden (Gen. 3:15). En d'autres mots, la pleine réalisation que Jésus est Lui-même le Père, le Fils, et le Saint-Esprit, non trois personnes mais une seule dans l'unité des trois aspects de son ministère, règle tous les problèmes du monothéisme et soutient fortement la révélation biblique.
 
Il faudra trois siècles pour que la formulation du dogme trinitaire spéculatif de la philosophie du néo-platonisme, se voie précisée et définie par un Concile de réprouvés dont plusieurs avaient trahis Christ à cause des persécutions, et d'autres avaient prostitués leur foi aux principes philosophiques du temps. Cela nécessitera l'utilisation d'un nouveau vocabulaire emprunté à la philosophie triadique platonicienne comme à celle des religions à mystères, qui ne pourra laisser la place à des divergences d'interprétation de la part de ceux qui demeuraient fidèles aux Écritures, et afin d'obscurcir les consciences pour dominer sur la foi. Pour être unie, et pour transmettre fidèlement l'enseignement de l'empereur Constantin, l'Église impériale, dite Catholique, ne pouvait pas se permettre la moindre ambiguïté dans la formulation de ce qui est au cœur de son enseignement: la subversion du christianisme authentique par une contrefaçon tellement subtile et raffinée qu'elle pourrait séduire les élus même, si cela serait possible.
 
Tertullien, au IIIe siècle, l'hérétique qui avait dit qu'on ne nait pas chrétien mais qu'on le devient par un choix personnel de croire, fut le premier à utiliser le mot latin Trinitas pour décrire le Dieu des philosophes comme Père, Fils et Esprit Saint, sous prétentions qu'il s'agissait du Dieu de la Bible. Spécifions que Tertullien se joignit à un groupe extatique du nom de Montaniste, précurseur du pentecôtisme et du charismatisme, dans lequel toutes sortes d'exagérations doctrinales se trouvaient. Il fonda ensuite la secte des Tertullianistes. L'idée de Trinité a connu de nombreux avatars, non seulement en tant qu'elle apparaît dans des contextes différents (la Trimurti en Inde par exemple) mais aussi, dans la mouvance chrétienne paganisée: aux environs de l'an 160, un groupe gnostique baptise "au nom du Père inconnu de l'Univers, de la Vérité, mère de tous les êtres, et de Celui qui est descendu en Jésus" (St Irénée). Pour Tertullien, ces personnes sont distinctes, mais non divisées, une aberration infernale grossière comme si trois corps différents formeraient un seul corps, et trois têtes différentes formeraient une seule tête. Il faut vraiment être mentalement détraqué de la réalité pour s'imaginer de telles absurdités; peut-être fumaient-t-il de l'herbe du diable en mangeant des champignons magiques, comme ce fut la coutume dans plusieurs religions à mystères où on adorait les hallucinations d'un dieu mystique. La précision sur ce que cela signifiait, quand on disait que le Dieu unique était «Père, Fils et Esprit Saint», s'est développée sous l'astuce que des professeurs et prédicateurs se mirent à essayer d'expliquer cette notion de Dieu face à des questions spécifiques. Une de ces questions fut soulevée par Arius. Celui-ci, prêtre d'Antioche, était intéressé à préserver l'unicité de Dieu héritée du judaïsme. Son raisonnement serpentin était que, comme il n'existe qu'un seul Dieu, Jésus doit être quelque chose de moins que Dieu. Il dit aussi que Jésus a été créé -- qu'il n'a pas existé de toute éternité. De plus, les Écritures ont attesté le fait que Jésus a souffert: on pensait communément que Dieu ne pouvait souffrir, et donc, Jésus n'était évidemment pas identique à Dieu. En opposition à Arius, l'hérésiarque Athanase, évêque d'Alexandrie, posa le raisonnement suivant: Si Jésus nous a réellement rachetés de notre péché, alors il n'est rien de moins que Dieu, mais le Dieu de la philosophie Platonicienne. Le débat fut à ce point violent sur cette question que l'empereur Constantin convoqua un concile œcuménique (le concile de Nicée, en 325), afin que les prétendus Pères de l'Église prostituée au pouvoir impérial, en viennent à un consensus sur la question. À la fin, la position considérée comme orthodoxe, c'est-à-dire, la croyance correcte et droite, fut celle d'Athanase. Autrement dit, selon ces réprouvés, Jésus est vraiment Dieu, mais un Dieu de seconde place dans une triade spéculative qui n'a aucun support biblique sauf en apparence. Cette croyance subversive fut inscrite au credo de Nicée qui est utilisé encore de nos jours dans le sacrilège de la messe catholique et dans les réunions d'églises protestantes, surtout dans l'Église dite Réformée maintenant Église Déformée, et dans la secte des Baptistes Réformés, où il est récité en groupe. Ceux qui disent que les participants du Concile de Nicée/Constantinople défendirent la divinité de Christ et furent donc par ce fait des chrétiens authentiques, et qui maintiennent de l'estime pour les pseudo-Pères de l'Église comme Eusèbe de Césarée et Athanase, se fourvoient et se séduisent eux-mêmes. Il vaudrait mieux pour eux de placer leur estime sur le Jésus de la Bible et sur les Écritures seules, comme ils le prétendent, et non sur le faux Jésus et le faux Esprit des spéculations philosophiques nicéennes (2 Cor. 11:3,4,13-15).

 

On distingue les idées suivantes dans cette aberration trinitaire du Cerbère Nicéen:

1. Il y aurait dans la Divinité trois personnes divines: le Père, le Fils et le saint esprit. - Quoique les mots Père, Fils, et Saint-Esprit sont dans la Bible et particulièrement dans le Nouveau Testament, mais jamais le mot personne est utilisé dans un tel contexte. En plus la Bible, seule autorité et règle de notre foi, ne mentionne jamais qu'il y a trois personnes en Dieu, ni que notre salut en dépendrait. La Trinité est un mensonge philosophique utilisé par des manipulateurs professionnels pour obtenir le monopole de la foi et des consciences, et s'ériger comme des petits dieux afin de dominer sur la masse des ignorants et de s'enrichir à leur dépend. Il faut être mentalement déséquilibré pour croire en une telle doctrine insensée, ou être des ennemis de Christ et des réprouvés idolâtres malicieux.

2. Chacune de ces personnes distinctes serait éternelle, aucune n’étant apparue avant ou après l’autre. - Pourtant ces menteurs, qui sont en contradiction avec eux-mêmes, nous disent que le Père a engendré le Fils dans l'éternité, et que le Saint-Esprit procède du Père et du Fils. Il est évident que ces deux derniers viennent après le Père dans cette doctrine de chambre ronde. De plus, que le Père a engendré le Fils dans l'éternité est une absurdité mensongère abominable, et un blasphème hautain de la pire espèce.

3. Chacune serait toute-puissante, aucune n’étant supérieure ni inférieure à l’autre. - Puisque Dieu est Esprit et non une personne, et qu'il n'y a qu'une seule Personne en Dieu, à savoir Jésus qui est Dieu le Père, le Fils, et le Saint-Esprit Lui-même, la toute-puissance se rapporte uniquement à Lui. Il n'y a aucun doute que Jésus est le Père engendré dans la chair comme Fils, et sa Sainte Présence qui habite en ses élus véritables seuls.

4. Chacune serait omnisciente, sachant tout. - Selon la Bible, qui ne détient aucune importance pour les trinitarés, un seul est omniscient et il sait qu'ils sont des hérétiques et des réprouvés destinés aux peines de l'enfer.

5. Chacune serait véritablement Dieu. - Il y a donc trois Dieux dans la Trinité du Cerbère Nicéen, et cela est incontestable, malgré les argumentations des trinitarés académiques hypocrites.

6. Cependant, il n’y aurait pas trois Dieux, mais un seul Dieu. - Selon cette aberration, si chaque personne est Dieu et qu'il y a trois personnes en Dieu, nous avons ainsi neuf Dieux et à l'infini.

 

À l’évidence, la doctrine de la Trinité est un ensemble complexe d’idées de stupidités aberrantes dont nous venons de citer les plus importantes, car un examen détaillé en révélerait d’autres en grand nombre. Toutefois, il est clair que si on laissait de côté une de ces idées insensées fondamentales, ce qui resterait ne serait plus la Trinité de la crétinté, mais les excréments de Satan. Pour avoir une vue complète de cette doctrine excrémentielle, il nous faut les prendre toutes autant idiotes qu'elles sont, et autant ses adeptes ont sombrés dans la folie de leurs délires. Ces choses nous indiquent que la chiarde du diable est le crane vide des églisiens trinitarés merdiques, généralement des cornichons évangélipaïens qui pataugent dans leurs excréments doctrinaux comme des pourceaux crétiniens.

 

SCRUTER LES ÉCRITURES POUR TROUVER LA TRINITÉ

Comprenant mieux ce que recouvre le mot “Trinité”, demandons-​nous: Cette doctrine était-​elle enseignée par Jésus et ses disciples, comme nous l'avons déjà mentionné plus haut? Si tel est le cas, elle devrait être entièrement formée dès le Ier siècle de notre ère et mentionnée au niveau historique. Mais au contraire c'est le silence total. Et puisque ce que Jésus et ses disciples enseignaient se trouve dans la Bible, ou bien la doctrine de la Trinité est exposée dans la Bible, ou bien elle ne l’est pas. Si elle l’est, cela doit se voir clairement, et pourtant elle ne se voit nulle part.

On ne peut raisonnablement penser que Jésus et ses disciples aient donné un enseignement sur Dieu sans dire qui il est vraiment, surtout sachant que des croyants allaient devoir livrer jusqu’à leur vie pour Dieu. Jésus et ses disciples auraient donc dû accorder la priorité absolue à l’enseignement de cette doctrine dite fondamentale par tous les réprouvés et imposteurs du christianisme contrefait universel, si acharné à son sujet. Malheureusement la majorité des gens supposément chrétiens donnent de l'eau polluée à boire à leurs enfants, puis se plaignent lorsqu'ils tombent malades d'un virus mortel, ou meurent empoisonné. Ces gens ne sont-ils pas responsables de leurs agissements? Oui ils le sont et ils en subiront les conséquences en ce monde et en l'autre. Quoique vous en dites, votre croyance ne vous permet pas de tuer vos enfants avec le poison subtil de spéculations philosophiques trinitaires. Êtes-vous des chrétiens meurtriers et traitres, comme le furent les pères de Nicée et Constantinople, et comme tous les papistes par après qui massacrèrent sans pitié les Albigeois, les Vaudois, et les Huguenots? Vous n'avez aucune tolérance ni aucune compassion pour les anti-trinitaires. Or sachez que maintenant ils n'ont en retour aucune tolérance ni aucune compassion pour vous, et sont parés à vous rendre votre change en une fraction de seconde. Vous désirez la guerre, nous vous la livreront avec joie et hardiesse. Vos jours de domination sur la foi et les consciences sont terminés. L'armée de Christ va vous écraser comme la vermine que vous êtes, et nous donnerons vos carcasses aux oiseaux des cieux et aux bêtes des champs.

 

Examinons les Écritures:

En Actes chapitre 17, verset 11, on dit de certaines personnes qu’elles sont “nobles” parce qu’elles ‘scrutent les Écritures chaque jour pour voir s’il en est bien ainsi’ de ce que l’apôtre Paul leur dit. On encourage ces personnes à vérifier dans les Écritures les enseignements de Paul, pourtant un apôtre. C’est ce que nous devrions faire, surtout envers l'enseignement de prétendus chrétiens.

Souvenons-​nous que les Écritures sont ‘inspirées de Dieu’ et qu’elles doivent être utilisées pour “remettre les choses en ordre, pour discipliner dans la justice, pour que l’homme de Dieu soit tout à fait qualifié, et parfaitement équipé pour toute œuvre bonne”. (2 Timothée 3:16, 17.) Par conséquent, la Bible est parfaite, ou complète, dans son enseignement doctrinal. Si la Trinité existe, elle doit être exposée dans la Bible, si non elle doit être condamnée comme une hérésie diabolique.

Nous vous invitons à scruter la Bible, surtout les 27 livres qui constituent les Écritures grecques chrétiennes, pour voir si Jésus et ses disciples ont enseigné une quelconque trinité. Au cours de votre recherche, posez-​vous les questions suivantes:

1. Existe-​t-​il un seul passage qui contienne le mot “Trinité”?

2. Existe-​t-​il un seul passage qui dise que Dieu est constitué de trois personnes distinctes, Père, Fils et Esprit Saint, et que ces trois personnes sont un seul Dieu?

3. Existe-​t-​il un seul passage qui dise que le Père, le Fils et l’Esprit Saint sont égaux en tout, donc en éternité, en puissance, en position et en sagesse?

Vous pouvez chercher pour des années, vous ne trouverez aucun passage des Écritures qui contienne le mot “Trinité”, ni aucun passage qui dise que le Père, le Fils et l’Esprit Saint sont égaux en tout, donc en éternité, en puissance, en position ou en sagesse. Il n’existe pas un seul passage disant que le Fils est l’égal du Père dans ces domaines, et même si ce passage existait il ne prouverait pas la Trinité, car cette doctrine implique un ensemble, non pas de deux, mais de trois personnes, et nulle part la Bible ne fait de l’Esprit Saint l’égal du Père. Toutefois le problème se résout en considérant la vérité du fait que JÉSUS est Lui-même le Père, le Fils et le Saint-Esprit, ce qui signifie étymologiquement, selon le sens des mots, que JÉSUS est Lui-même la Source, son engendrement, et sa Sainte Présence dans l'unité de son ministère comme il le déclare en Mat. 28: 18-20). Il n'y a pas trois personnes dans ces passages, mais l'unité d'un ministère merveilleux et glorieux envers ses élus qui se trouvent dans toutes les nations de la terre. Les apôtres sont sommés de les consacrer, de les mettre à part du reste des hommes, en leur enseignant la vérité que JÉSUS est le Père, le Fils, et le Saint-Esprit, non trois mais une seule Personne qui est Dieu en deux natures, divine et humaine.

 

Ce que disent de nombreux biblistes:

De nombreux biblistes, y compris des trinitaires, reconnaissent que la Bible ne contient pas de doctrine formelle de la Trinité. Voici, par exemple, ce qu’on lit dans L’Encyclopédie des Religions (angl.):

“Aujourd’hui, exégètes et théologiens s’accordent à reconnaître que la Bible hébraïque ne renferme pas de doctrine de la Trinité. (...) Bien que la Bible hébraïque appelle Dieu le Père d’Israël et qu’elle personnifie Dieu en employant des termes tels que Parole (davar), Esprit (rouah), Sagesse (hokhmah) et Présence (shekhinah), ce serait forcer l’intention et l’Esprit de l’Ancien Testament que de lier ces notions à la doctrine de la Trinité apparue plus tard.

“En outre, exégètes et théologiens admettent que le Nouveau Testament ne contient pas non plus de doctrine explicite de la Trinité. Dieu le Père est Source de tout ce qui est (Pantokrator), ainsi que le Père manifesté dans la chair comme Fils et se révélant à nous comme étant Jésus Christ.

Relativement à l’historique de cette doctrine, voici ce qu’on peut lire dans la Nouvelle Encyclopédie britannique:

“Le mot Trinité ne figure pas dans le Nouveau Testament. La doctrine qu’il désigne n’y est jamais énoncée explicitement. (...)

“Cette doctrine a pris forme progressivement, sur plusieurs siècles et à travers bien des controverses. (...)

“Ce n’est pas avant la fin du IVe siècle que la distinction entre les trois et leur unité ont été rassemblées dans une même doctrine orthodoxe d’une seule essence et de trois personnes imaginaires”

On lit à peu près la même chose dans la Nouvelle Encyclopédie catholique (angl.) sur l’origine de la Trinité:

“Les exégètes et les théologiens, y compris un nombre sans cesse croissant de catholiques, reconnaissent qu’il ne convient pas de parler de la doctrine trinitaire dans le Nouveau Testament sans faire d’importantes réserves. Les spécialistes de l’histoire des dogmes et les théologiens systématiques reconnaissent, chacun de leur côté, que lorsqu’on parle d’une doctrine trinitaire achevée, on passe de la période des origines du christianisme à celle, disons, du dernier quart du IVe siècle. C’est seulement à ce moment que ce que l’on pourrait appeler le dogme définitif de la Trinité, ‘un seul Dieu en trois personnes’, est devenu partie intégrante de la vie et de la pensée chrétienne. (...)

“La formule elle-​même ne reflète pas la conscience immédiate qu’on en avait à l’époque des origines; elle est le produit de 3 siècles de formation doctrinale.”

“Implicitement”?

Des trinitaires diront peut-être que la Bible parle “implicitement” d’une trinité. Seulement, cette déclaration est de loin postérieure à la rédaction de la Bible. Elle n’est qu’une tentative pour faire dire à la Bible ce que les ecclésiastiques ont, au fil du temps, arbitrairement décidé de ce que serait cette doctrine infernale avec laquelle ils nous bourrent le crane depuis notre enfance. Presque tous nous avons été conditionné progressivement à penser que cette notion insidieuse était chrétienne et biblique. Ils réussirent cela en empoisonnant l'esprit des enfants de génération en génération dans les petites écoles.

La raison pour laquelle la Bible n’enseigne pas clairement la doctrine de la Trinité est simple, c’est qu’il ne s’agit pas d’un enseignement biblique. Si Dieu était une Trinité, il l’aurait clairement fait savoir afin que Jésus et ses disciples puissent le révéler à d’autres personnes. Et cette connaissance essentielle aurait été consignée dans la Parole inspirée de Dieu. Dieu n’aurait pas laissé le soin à des hommes imparfaits et menteurs de se débattre avec cette question des siècles plus tard.

Les théologiens, subtils et hypocrites, forcent les Écritures pour essayer de leur faire exprimer les idées préconçues qu’ils ont sur la Trinité. Mais ces idées trinitaires ne se trouvent pas dans les textes de la Bible, seule source de notre foi. À vrai dire, elles sont en contradiction avec le témoignage qui se dégage de la Bible dans son entier.

L'un des textes principaux cités à l’appui de la Trinité se trouve en Matthieu 28:19, 20, que nous avons mentionné plus haut, où l’on parle à la fois du Père, du Fils et de l’Esprit Saint. Certains y voient une allusion à la Trinité. Mais lisez ces versets attentivement. Or est-il mentionné  quelque part que les trois supposément personnes distinctes forment un seul Dieu et qu'ils sont égaux en éternité, en puissance, en position et en sagesse? Non, le mot personne n'est même pas mentionné. Il en est de même des autres textes qui parlent à la fois du Père, du Fils et du Saint-Esprit, c'est à dire de la Sainte Présence de Christ qui vient habiter le cœur des élus seuls depuis la Pentecôte. Il ne s'y trouve aucune trinité dans ces passages de Matthieu, il s'agit plutôt, comme nous avons dit, de la révélation de l'unité du glorieux ministère de Christ envers ses élus en vue de la Nouvelle Création.

 

LES INEPTIES ET DUPLICITÉS PERFIDES DU MOT PERSONNE

Notre civilisation dite moderne est une de grand savoir, d'une intelligence vastement supérieure à nos ancêtres, nous dit-on. On nous parle d'altérations du code génétique, de nanotechnologie, d'informatique, de voyage interplanétaire, et même d'Intelligence Artificielle. Mais demandez à des experts, des savants, et à des grands érudits c'est quoi la morale, l'homme, la femme, un enfant dans le sein de sa mère, le mariage, ou une personne et ils sont complètement bafoués et n'ont aucune réponse valide, ou ne veulent rien dire de crainte de ne pas être politiquement correcte et offenser quelques groupes de réprouvés ou de dépravés. Il est interdit d'offenser ces groupes, mais il n'est pas interdit d'offenser Dieu. Telle est la condition déplorable de notre société moderne démon-cratique (voir: Démon-Cratie et Le poison subtil de la Tolérance).

 

Or le sens primaire du mot personne, d'après le Dictionnaire Crisco est: Individu de l'espèce humaine, sans distinction de sexe. - Le mot personne vient, selon Claudel, de per-sonare: résonner à travers; cette étymologie a été interprétée souvent dans un sens trop littéral par ceux qui y voient l'image du personnage théâtral, dont la voix se fait entendre sous le masque. - Être humain considéré comme un être conscient de son existence, possédant la continuité de la vie psychique et capable de distinguer le bien du mal.

 

Toutes les analyses étymologiques du mot personne indiquent clairement qu'il se rapporte uniquement à l'homme comme être humain, et jamais à Dieu comme Être divin incorporel. En d'autres mots, une personne est une créature visible et temporelle, tandis que Dieu est un Esprit invisible et éternel. Il n'est donc pas légitime que le mot personne soit utilisé pour décrire Dieu dans une trinité hypothétique complètement insensée, lorsque nous savons que ce terme se rapporte uniquement à l'homme comme être humain. Donc dire de nos jours qu'il y a trois personnes en Dieu, est de dire qu'il y a trois êtres humains en Dieu et une telle abomination absurde n'est absolument pas acceptable, surtout lorsque nous savons qu'une des personne est un oiseau comme nous avons vu plus haut. Or en substance, leur trinité consiste en le Père qui est Esprit, en le Fils qui est une personne, et en le Saint-Esprit qui est un oiseau, et on nous dit que cette doctrine insensée de chambre ronde est rationnelle et véridique. Peut-être l'est-elle sur la planète des singes et sur la planète Tataouine des tarés, mais pas ici sur la terre des vivants sains d'esprit.

 

Depuis le 17e siècle, nous comprenons le mot personne comme signifiant un individu distinct. Mais que comprenait-on dans l’antiquité et dans l’antiquité tardive par le mot “Personna” (latin) ou “hupostasis” (grec) qui décrivent les éléments de cette trinité chimérique et diabolique des Conciles de Nicée-Constantinople (Jean 8: 44) ?
A cette époque le mot personna est utilisé pour indiquer la personne de l'acteur qui, dans un rôle joué sur scène, porte un masque de théâtre pour représenter un héro ou un dieu, au travers (“per”) sonne (“sonna”) la voix de l’acteur: et son équivalent en Grec ou   Hupostasis c’est le masque de théâtre que l’acteur porte (“stasis”) au bout d’un manche devant (“hypo”) son visage. Or le Dictionnaire Crisco nous dit que le terme persona signifie proprement un rôle et désigne le personnage représenté par le masque. Il est utilisé pour décrire la fonction, l'action, le mode, le caractère ou caractéristiques d'un individuel ou d'un animal. - Le masque n'est pas une personne, mais représente les traits ou caractéristiques qui expriment l'existence d'une personne, d'un animal, ou d'un dieu ou héro du peuple. La signification précise de persona est donc caractéristique et non personne. (Dictionnaire Latin-Francais DE M. PEIGNÉ)- On pourrait donc dire légitimement qu'il y a trois caractéristiques en Dieu, mais jamais trois personnes distinctes, trois reptiliens, trois gorilles ou trois oiseaux de proies.

Dans ses usages savants, le terme persona revêt quatre acceptions principales: rhétorique, grammaticale, juridique et théologique. L’évolution sémantique qui a conduit à l'introduction de persona dans les débats trinitaires et christologiques à partir de la fin du IIe siècle: L’expression est sans doute empruntée au droit romain. Il pouvait arriver qu'un individu joue plusieurs rôles légaux. Aussi dans un sens familial dans lequel un homme est le père de son fils, le fils de son père, et le conseillé de sa famille, tout en étant un seul homme. Aussi dans un contexte biblique, le mot persona peut porter un triple sens tout en signifiant une même chose, comme avec les mots « ministère, service, sacerdoce », indiquant trois différent rôles ou modes d'actions se rapportant au Seigneur Jésus qui est Lui-même l'Agneau, le Sacrifice, et le Sacrificateur; étant aussi Prophète, Roi, et Rédempteur mais un seul Messie.

 

Le terme persona correspond au Grec hupostasis, « hypostase », c'est-à-dire « base », « fondement », d'où « matière », « substance, nature », a été employé au concile de Nicée concurremment avec ousia, et attribué faussement le sens de personne distinctes, c'est à dire un individu. À la suite de Basile de Césarée s'imposera la formule : « une seule ousia en trois hypostases ». Or il y a un sérieux problème ici car hypostase est donné la signification de personne, et le même mot est utilisé par le Concile de Nicée pour décrire les deux natures en Christ. Donc selon cette logique insensée, il y aurait ainsi deux personnes en Christ. Ils font ainsi du Seigneur Jésus un malade mental qui souffrait d'un trouble dissociatif de l'identité, autrefois appelé trouble de personnalité multiple, deux ou plusieurs identités prennent tour à tour le contrôle d'une même personne. Ces identités peuvent avoir des schémas de langage, de tempérament et de comportement différents de ceux normalement associés à la personne. Quel bel exemple de duplicités satanique, et on nous demande de croire à cette fourberie maudite de démons infernaux psychopathiques.

Le Dictionnaire Crisco nous apporte de l'information très intéressante sur ce sujet. - Emprunté du grec hupostasis, « action de se placer en dessous; substance ». ☆1. PHIL. Chez les néoplatoniciens, chacun des principes divins, éternels, nécessaires et immuables, dont procèdent toutes choses. Plotin distingue trois hypostases hiérarchiquement ordonnées: l'Un, ou premier principe; l'Intelligence, qui en émane; l'Âme du monde, engendrée par l'Intelligence. Par ext. Péj. Entité abstraite que l'on considère à tort comme une réalité. ☆2. THÉOL. Nom employé, à l'origine par les Pères grecs, pour désigner chacune des personnes de la Trinité. Il y a en Dieu une seule nature et trois hypostases, le Père, le Fils et le Saint-Esprit... - Nous avons ainsi la preuve officielle et irréfutable que la doctrine de la Trinité n'est ni biblique ni chrétienne, mais provient de la philosophie païenne du néo-platonisme, et tous les théologiens et pasteurs s'obstinent pour nous dire que cette doctrine infernale est la pure vérité, et qu'il faut absolument y croire pour être chrétien et obtenir le salut. Mais la réalité est qu'elle fait des gens non des chrétiens, mais des crétins malicieux et malfaisants qui sont meurtriers par association avec la papauté. Le Dictionnaire Crisco indique clairement que le terme hupostasis désigne des personnes qui ne sont pas réelles et donc imaginaires. La trinité est ainsi une doctrine de fictions philosophiques qui est donnée l'apparence d'une réalité concrète, et devient ainsi une doctrine de duplicités pour séduire les idiots et les débiles.

 

Le terme hupostasis est même utilisé dans la Bible. Nous le retrouvons dans Hébreux 1: 3 de la Bible Machaira du Prince-Roi:

- Et qui, étant la splendeur de sa gloire et l'Expression unique de son essence*, et soutenant toutes choses par la puissance de sa Réflexion Vivifiante, ayant opéré par lui-même la purification de nos péchés, s'est assis comme autorité de la Majesté Divine dans les lieux de la suprématie exaltée; 2 Co. 4. 4; Ph. 2. 6; Col. 1. 15; *Hupostasis: sa réalité, sa personne, sa nature. Preuve conclusive qu'il n'y a qu'une seule Personne en Dieu à savoir le Seigneur Jésus-Christ;

 

On entend souvent dire que la Trinité est le mystère d'un seul Dieu en trois Personnes. Mais le seul mystère ici est le manque de matière grise entre les deux oreilles de ceux qui croient en cette fourberie diabolique.

Or on peut comprendre facilement la notion rejetée par les trinitarés du Cerbère Nicéen, à savoir «Dieu sous trois rôles, trois modalités, ou trois caractéristiques», mais non trois personnes ou individuels distincts. Mais cette explication simple (claire) comprise par le peuple commun, est condamnée par l'érudition philosophique du temps, sous le nom de modalisme regrettablement associé faussement à l'hérésie de Sabellius au 3e siècle de l'ère commune. Ainsi les théoriciens trinitarés remplacèrent cette supposée hérésie par une autre qui consolidait leur pouvoir et leur aspiration à la domination universelle. Cette machination machiavélique réussit très bien son but proposé par l'Antichrist qui siège à Rome sur le trône du dieu Mithra.
Donc, il existe véritablement une explication claire et biblique sur la trinité chimérique, mais elle est hérétique pour le diable et ses mignons. Rappelons que pour qu'une accusation d'hérésie soit valable, il faut reconnaître l'autorité qui la prononce ou que la dite autorité dispose de moyens coercitifs en propre ou empruntés au pouvoir d'état. En d'autres mots, de nos jours, les autorités ecclésiastiques n'ont plus aucun pouvoir sur nous, du temps que nous ne  laissons pas cette fripouille prétendument chrétienne nous intimider, puisque nous pouvons aussi très bien leur remettre le change de leur monnaie, car tous ne sont pas des andouilles et des froussards. Mais nous nous reposons sur le fait que le jour de la Vendetta de Christ est proche, et que les trinitarés récolteront au centuple le salaire qui leur revient.

 

LE MODALISME BIBLIQUE ET LE SABELLIANISME INTERIMAIRE

Modalisme et Sabellianisme sont des notions très mal comprises par le christianisme moderne. Selon «K.R. Hagenbach, History of Doctrines, 1862, Vol. I, pg. 60, «Le Modalisme original provenait de Praxéas, de Noët, et de Beryllus qui furent nommé «patripassiens» à cause qu'ils disaient que le Père s'était incarné et souffrit avec Christ dans sa mort sur la croix.» Ils cherchaient à comprendre et expliquer les merveilles et les mystères de la foi chrétienne, et à cause de cela ils furent étiquetés comme hérétiques par des fanatiques intolérants, généralement des trinitarés du Cerbère Nicéen. Contrairement à la notion moderne populaire, il ne s'agissait pas d'un dogme mais d'une simple introspection sur la révélation de Dieu dans les Saintes-Écritures, tout comme firent les gens de Bérée dans Actes 17:11, mais ce droit leur fut refusé par des ineptes réprouvés dépourvus de sens qui voulaient dominer sur leur foi. Leurs observations n'incluaient pas le Saint-Esprit, non point qu'ils ne le reconnaissaient pas, mais l'emphase du sujet se rapportait plutôt sur le Père et le Fils comme étant un seul Être divin et humain. Cela se comprend par le fait que le Père est pur Esprit et qu'il est la nature divine en Christ; tandis que la notion de Fils est l'engendrement du Père dans une nature humaine corporelle et de chair. Les deux natures, chacune ayant sa propre volonté, étaient reliées ensemble dans l'échange des attributs, mais non fusionnées ou assimilées ensemble pour former le Nouvel Homme lors de son ascension ou exaltation.

La notion aberrante de trois personnes distinctes en Dieu n'existait pas encore officiellement à cette période, elle vue jour seulement un siècle plus tard en l'an 325. Toutefois leurs études ouvrirent la voie à la formation du Sabellianisme Intérimaire qui parut plus tard dans la même époque. Sabellius ajouta le Saint-Esprit au résultat de leurs études et composa une nouvelle forme de Modalisme en faisant de Dieu trois aspects apparents et temporaires.

Pour Sabellius Dieu était Père et lorsqu'il devint Fils il cessa d'être Père, de même le Fils cessa d'être Fils lorsqu'il devint le Saint-Esprit. Même si Sabellius affirme que le Seigneur Jésus est Dieu manifesté dans la chair, sa notion que le Père cessa d'être Père lorsqu'il devint Fils est en pleine contradiction avec les Saintes-Écritures car Jésus dit: «Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi?» (Jean 14:10). Évidemment, selon Jésus lui-même, que le Père ne cessa pas d'être Père quand il devint Fils car il est dans le Fils et le Fils est en Lui. Comprenons aussi qu'il ne s'agit pas de deux personnes car le Père qui est Dieu est Esprit tandis que le Fils est chair. Le mot «personne» se rapporte uniquement à un être humain corporel et non à un esprit incorporel. En d'autres mots, le Père qui est Esprit était la nature divine en Christ tandis que la chair du Seigneur était son enveloppe corporelle. De ce fait Jésus était l'enveloppe visible du Dieu invisible, car il est Dieu manifesté dans la chair. Donc, si d'après Sabellius le Père aurait cessé d'exister pour devenir le Fils, le Fils serait donc sans le Père et serait un simple homme et non Dieu. Plus précisément, le Fils serait qu'une apparence phénoménale de Dieu, un masque sans-pareil de sa réalité, un homme bon et vertueux mais non Dieu Lui-même. Cette notion de Sabellius est teintée de gnosticisme et c'est avec raison qu'elle est condamnée comme étant une hérésie extrêmement dangereuse, car elle nie la divinité du Fils et annule par ce fait même la valeur du sacrifice de la croix pour notre salut. Mais tel ne fut pas le cas avec le Modalisme primaire.

Le Sabellianisme est donc un renversement subtil du Modalisme original qui présentait Christ comme étant le Père manifesté dans la chair sans perdre son identité ni son existence. Il fallait qu'il en soit ainsi, car la rançon du sacrifice de la croix devait être payée au Père qui était en Christ comme nature divine, et qui fut apaisée par le sacrifice du Fils comme notre Substitut. D'après le Modalisme original, le Père a souffert à la croix en Christ puisque les deux sont un seul et même Être divin et humain, le Père étant l'Esprit manifesté dans la chair et le Fils étant l'enveloppe corporelle de ce même Esprit. Tandis que le Modalisme de Sabellius est un faux Modalisme, une perversion de la vérité. Il n'y a aucun doute que les trois masques du Sabellianisme nous présentent un faux dieu. Il y a clairement une distinction entre le Père et le Fils, non une distinction de personnes comme l'attestent les trinitaires, mais une distinction de natures, car en Christ il y a deux natures, divine et humaine. Jésus était pleinement Dieu physiquement et spirituellement, il était l'enveloppe visible et corporelle du Dieu invisible et incorporel, son corps de chair était parfait et sans péché, et puisqu'il est Dieu il est conscient éternellement d'être Père, Fils, et Saint-Esprit dans sa révélation de Lui-même qu'il accorde aux hommes, et particulièrement à ses élus. Il s'agit donc de l'unité d'une triple conscience de révélation et non de trois modes d'existence. Avec cette vérité nous quittons les rangs du Modalisme, du Sabellianisme, et de la prétendue orthodoxie nicéenne, pour nous reposer sur la triple révélation biblique du Seigneur Jésus comme étant le seul Dieu unique et Tout-Puissant, Souverain absolu des cieux et de la Terre et de tout ce qu'elle contient. En vérité le Seigneur Jésus Est Amour, Notre Libérateur Et Dieu Unique Certifié. Voila la seule et vraie Trinité, toutes autres ne sont que des contrefaçons.

 

Être antitrinitaire, c'est à dire être contre la notion populaire qu'il y a trois substances ou personnes distinctes en Dieu. Elle est généralement interprétée par le christianisme traditionnel et ceux de la mouvance Évangélique diabolique comme étant du Sabellianisme. Dans l'esprit de ces gens ignorants Modalisme et Sabellianisme sont confondus comme étant un seul et même mode d'interprétation sur l'existence de Dieu. Toutefois une telle allégation n'a aucun support biblique ni historique, et reflète l'ignorance grossière et inexcusable de ceux qui s'opposent à la notion antitrinitaire, car il existe des différences considérables entre les deux. Même que la Trinité Nicéenne est du pur Satanisme sous couverture chrétienne.

 

Les premiers modalistes furent Noët, d’Asie Mineure, et Praxéas qui apporta cette doctrine à Rome. On appelait aussi les modalistes patripassiens parce qu’ils disaient que le Père avait souffert à la croix. Le monarchisme est une tendance théologique du christianisme ancien qui s'est répandue aux IIe et IIIe siècle à travers l'Empire romain, plus particulièrement en Orient. Il représente alors une réaction conservatrice défendant l'essence monarchique de Dieu, habituelle au IIe siècle, contre les nouvelles spéculations théologiques sur le Logos du néo-platonisme, notamment issues de Justin de Naplouse. Les personnalités les plus représentatives de cette mouvance sont Paul de Samosate et Sabellius. Le monarchisme est originaire d'Asie Mineure et, avant qu'apparaisse la théologie du Logos, représente dans un premier temps une réaction contre les courants gnostiques du christianisme vers le milieu du IIe siècle, notamment les valentiniens. Le monarchisme est la conception divine de la plupart des chrétiens de cette époque: le logos éternel sortant de Dieu le Père révélé en Jésus-Christ lors de son baptême. Par la suite, dans le cadre du développement théologique du christianisme, et dans l'idée de maintenir l'unité divine — la monarchie —, le monarchisme sous Sabellius présente Dieu en trois différents modes ou aspects intérimaires. Selon ces conceptions de l'unité divine, les monarchistes seront amenés à s'opposer à l'hérésie orthodoxe de la Trinité au fur et à mesure de la formation de son dogme. Le Sabellianisme, comme nous avons vu, n'a aucun rapport avec la tendance modaliste patripassianisme de Noët et Praxéas pour lesquels, par exemple, c'est le Père qui a souffert en Jésus; ou encore avec l'adoptianisme ou monarchisme dynamique de Paul de Samosate qui affirme que Jésus n'était qu'un homme qui avait été adopté par Dieu lors de son baptême. Le modalisme de Noët et Praxéas était fortement biblique, sa faille était qu'il n'avait pas été élaboré davantage et des crapules comme Sabellius s'en emparèrent pour le déformer et le reconstruire en un nouveau concept abominable. Il faut distinguer entre le Modalisme original ou Patripassiens et le Modalisme de Sabellius connu comme le Sabellianisme. Dans le Sabellianisme il s'agit de modes d'existence temporaire qui s'annule l'un et l'autre dans leurs manifestations progressives, et ce fut avec raison qu'il fut condamné. Mais il fut remplacé par une pire hérésie, celle de l'orthodoxie de Nicée-Constantinople, conçue dans les enculades du diable.

 

LE MONARCHISME DIAKONIEN DE LA CHRISTUNITÉ

Cette notion nouvelle va surement ébranler la cage cérébrale de plusieurs, et nous serons bombardé de flatulences cervicales de toutes sortes. Mais nous avons un déodorant puissant qui se nomme « La Vérité », et nous ne craignons point de l'utiliser à son plein potentiel pour éliminer les odeurs pestilentielles des églisiens trinitarés.

 

Commençons par expliquer notre position. Le Monarchisme est une tendance théologique du christianisme ancien qui s'est répandue aux IIe et IIIe siècle à travers l'Empire romain, et plus particulièrement en Orient. Il représente alors une réaction conservatrice défendant l'essence monarchique de Dieu, contre les nouvelles spéculations théologiques sur le Logos du néo-platonisme, notamment issues de Justin de Naplouse. Il est en opposition à l'hérésie trinitaire avec ses fabulations spéculatives de trois personnes imaginaires en Dieu qui devint la base d'une fausse orthodoxie qui forme l'Église prostituée Constantinienne dite Catholique.

Simplement il s'agit d'un système de pensées favorable à la monarchie ou royauté. Les mots couronne, gouvernement, règne, royaume, royauté, trône, sont un ensemble de termes qui s'y rapportent. Dans notre contexte il se rapporte à la royauté de Christ et son règne interne en ses élus par sa Sainte Présence qui les habite. Théologiquement parlant il s'agit de l'unité du ministère de Christ dans son exaltation, et christologiquement parlant il s'agit de son retour officiel le jour de la Pentecôte qui a érigée le principe d'habitation qui marque le début de son règne ou royaume spirituel comme le Nouvel Homme et Roi des rois (Apoc, 1: 6; 19: 16). Jésus était le premier-né d'une nouvelle race humano-divine, immortelle, céleste, et éternelle qui habitera la Nouvelle Création, selon son intention suprême. Ceci est la base du Monarchisme biblique que nous enseignons, sans mentionner tous les détails que nous retrouvons dans notre document Métamorphose de l'Esprit des vivants.

 

Il nous importe maintenant de regarder le mot Diakonien qui est le principe vital du Monarchisme biblique que nous présentons. Il s'agit d'un terme Grec qui signifie ministère, service, et sacerdoce. Dans notre contexte il désigne l'unité du ministère de Christ comme Source de l'existence, son engendrement dans un corps de chair qu'il s'est formé dans le sein d'une vierge, et sa Sainte Présence parmi nous et en nous; c'est à dire comme Père, Fils, et Saint-Esprit, non trois personnes distinctes, mais trois aspects d'un seul ministère, nous indiquant qu'il y a une seule Personne en Dieu. En d'autres mots, JÉSUS est le nom de Dieu de toute éternité qui fut dévoilé à Marie par l'ange Gabriel (Luc 1: 26-38); et comme la Bible dit, JÉSUS est le nom qui est au-dessus de tous les noms (Phil. 2: 5-11). En d'autres mots, l'expression Monarchisme Diakonien signifie littéralement - le Roi Serviteur (Phil. 2: 3-11).

 

L'un des textes principaux cités à l’appui de la Trinité chimérique hautement spéculative se trouve en Matthieu 28:19, 20, que nous avons mentionné plus haut, où l’on parle à la fois du Père, du Fils et de l’Esprit Saint. Certains qui souffrent des délires d'une psychose avancée, y voient une illusion de la Trinité de trois personnes imaginaires en Dieu, tout en cherchant à se détacher de leur camisole de force qui les retient dans leur folie. Mais lisez ces versets attentivement sans aucun préjugé. Or est-il mentionné  quelque part que les trois supposés personnes distinctes forment un seul Dieu et qu'ils sont égaux en éternité, en puissance, en position et en sagesse? Non, absolument pas, le mot personne n'est même pas mentionné. Il en est de même avec tous les autres textes qui parlent à la fois du Père, du Fils et du Saint-Esprit, c'est à dire de la Sainte Présence de Christ qui vient habiter le cœur des élus seuls depuis la Pentecôte. Il ne s'y trouve aucune trinité dans ces passages de Matthieu 28: 19 ni dans toute la Bible, ni le nom ni le principe s'y trouve., il s'agit plutôt, comme nous avons dit, de la révélation de l'unité du glorieux ministère de Christ envers ses élus en vue de la Nouvelle Création. A remarquer aussi que dans ce passage de Matthieu, que le mot « nom » est au singulier et non au pluriel, indiquant qu'il y a un seul nom pour les trois aspects du ministère de Christ. Les apôtres sont commandé de consacrer les élus parmi les nations en les instruisant dans la vérité que JÉSUS est le Père en tant que Fils, comme sa Sainte Présence en nous.

Nous trouvons aussi un triple sens dans cette union des caractéristiques du ministère de Christ,  tout en signifiant une seule et même chose, comme indiquant trois différent rôles ou modes d'actions se rapportant au Seigneur Jésus qui est Lui-même l'Agneau, le Sacrifice, et le Sacrificateur; étant aussi Prophète, Roi, et Rédempteur mais un seul Messie.

 

Les trois aspects du ministère de Christ sont le Régénérateur, le Sauveur, et le Consolateur:

1 - Comme Régénérateur il est le Créateur et Roi de l'univers qui s'est manifesté dans la chair pour l'accomplissement de son décret d'Élection envers la pleine réalisation du salut de ses élus; et de Réprobation envers la perdition des réprouvés qui sont exclus de la grâce du salut.

2 - Comme Sauveur il a payé sur la croix, comme notre Substitut, le châtiment qui nous était réservé pour nos transgressions de la loi, rencontrant pleinement les exigences de la rançon exigée par l'Esprit des vivants pour notre délivrance de la mort et du péché.

3 - Comme Consolateur il est revenu le jour de la Pentecôte dans son ministère d'exaltation pour habiter en nous par sa Sainte Présence, afin de nous supporter dans nos faiblesses et de nous encourager à persévérer dans la foi qu'il nous a accordé gratuitement dans les mérites de son sacrifice sur la croix, qui nous sont attribués comme étant les nôtres en propre.

Nous sommes donc loin ici de la fausse notion de trois personnes en Dieu. En tout ce que nous disons et déclarons, nous demeurons fidèle au Sola Scriptura et Sola Christos, sans dévier de la vérité révélée accordée aux Christophiliens en ces derniers temps de la grâce, en préparation pour Son Émergence et notre transformation en son image glorieuse.

 

Le sens de diakonia pour désigner le Modalisme Monarchique qui indique la Royauté du ministère de Christ, nous dévoile aussi que JÉSUS est conscient éternellement d'être Père, Fils, et Saint-Esprit dans l'union, assimilation ou fusion de ses deux natures, divine et humaine depuis son ascension dans la suprématie exaltée de sa gloire éternelle. En d'autre mots, sa nature humaine dans son corps ressuscité, fut divinisé ou attribué tous les aspects de la divinité, afin de nous transformer en son image parfaite humano-divine lors de son surgissement des élus au moment de l'Émergence ou apparition finale en ce monde de ténèbres.

 

Nous entrons maintenant dans l'aspect métaphysique de cette révélation, c'est à dire dans l'immanence de Dieu, terme qui provient du mot Hébreu Elohim dont la signification littérale est « Lui-eux qui sont », et qui se traduit par « Esprit des vivants ». Cette traduction est reliée au mot YHWH ou Yahweh, terme qui signifie l'Autosuffisant et l'Éternel, et qui porte dans son essence le nom JÉSUS, et qui se traduit dans l'Ancien Testament par Souverain Suprême et dans le Nouveau Testament par Souverain Prince qui provient de Kurios dans le Grec, généralement traduit par Seigneur.

 

Le Dictionnaire Crisco nous dit sur le mot Immanent: THÉOL. [P. oppos. à transcendant] Qui réside dans. Dieu est immanent dans ses créatures; il est leur principe de vie suprême, la source du mouvement, la base de leur existence, dit saint Paul; mais il est distinct de leur vie, de leur mouvement, de leur âme (Huysmans, Là-bas, t. 2, 1891, p. 194):
1. ... Malebranche semble aussi sous-entendre que Dieu ne peut vouloir aucun événement qui ne soit selon l'ordre des lois générales de la nature, ce qui signifierait que Dieu est immanent à la nature et que les lois naturelles sont l'expression de son essence, comme l'entend Spinoza − postulat incompatible avec l'idée de Dieu créateur, libre et transcendant. Massis, Jugements,1923, p. 79.
− P. ext. :
2. Il propose comme immanent à l'histoire un idéal manifestement trans-historique, un idéal tellement au-dessus de l'homme qu'il ne réclame pas seulement une médiation continue, mais l'intervention abrupte d'un médiateur. Lacroix, Marxisme, existent., personn.,1949, p. 44.
B. − PHILOS. [En parlant d'un principe, d'une cause] Qui est impliqué dans. Immanent à la matière, à la nature, au sujet, aux phénomènes; monde immanent au sujet; force immanente à la vie, à la conscience; durée immanente au tout de l'univers; finalité immanente à la vie. Les individus qui s'en remettent aux juges du soin de trancher un différend y sont obscurément encouragés par l'instinct de discipline immanent à la société close (Bergson, Deux sources,1932, p. 306).
− [P. oppos. à activité transitive] Mouvement, activité immanent(e). Opération de l'esprit dont la caractéristique est de s'achever au sein du principe d'où elle émane. L'action morale est une activité immanente parce qu'elle procède de la libre décision du sujet et vise à l'amélioration de celui-ci (Thinès-Lemp.1975) :
3. La vérité est que ce n'est pas à la science de régler notre vie, mais à la sagesse; et que l'œuvre suprême de la civilisation n'est pas de l'ordre de l'activité transitive, mais de l'activité immanente... Maritain, Human. intégr.,1936, p. 208.
− P. ext. Justice immanente. Justice dont la sanction est impliquée dans l'acte qui encourt la réprobation :
4. Quelle sottise que ce qu'on nomme la justice immanente! et quelle puérilité d'estimer que le monde se charge de récompenser les vertus naturelles, même dans l'étroite enceinte où se meut l'égoïsme empirique... Blondel, Action,1893, p. 282.
Prononc. et Orth. : [im(m)anɑ ̃], fém. [-ɑ ̃:t]. Att. ds Ac. dep. 1762. Étymol. et Hist. Ca 1370 « qui demeure dans la pensée » (Oresme, Ethiques, éd. A. D. Menut, livre VI, chap. 16, p. 356, note 3 : Et teles operacions sont immanentes; c'est a dire que il demeurent en l'ententement et en la pensée), attest. isolée; 1570 immanens et imminens (Gentian Hervet, Cité de Dieu, I, 27 ds Delb. Notes mss); 1. 1690 philos. et théol. « qui demeure dans le sujet agissant et n'a pas d'effet à l'extérieur » actions... immanentes (Fur.); 2. 1800 « permanent, constant » (Boiste). Empr. au lat. scolast.immanens, ca 1300 (ds Latham) part. prés. du lat. immanere « demeurer dans » (de in « dans » et manere « demeurer »), surtout utilisé par les auteurs chrétiens. Fréq. abs. littér. : 271. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 89, b) 31; xxes. : a) 508, b) 753. Bbg. Gohin (Y.). Sur l'emploi des mots immanent et immanence chez Victor Hugo. Paris, 1968, 55 p. - Seebacher (J.).

 

Or, avec le mot immanent nous entrons dans l'essence de Dieu notre Esprit des vivants. Le consensus général est que l'essence de Dieu est amour ou Agape dans le Grec. Mais ce terme est généralement compris comme étant un sentiment humain qui stimule les émotions et les attractions charnelles et mondaines. Mais Dieu n'est pas un être humain, et n'est pas attaché aux vacillations changeantes et instables des émotions humaines. Le problème est que le mot amour ne rend pas justice à sa signification dans le Grec, car Agape est un mot composé qui signifie « subir une pression, une exigence, une influence, une poussée, une tension ». Dans le Dictionnaire Grec-Français de J. Planche, nous voyons que ce terme porte la notion de sacrifice, c'est à dire d'abnégation, de dévouement, d'offrande, de privation, de séparation, de renoncement, de résignation. En d'autres mots, dans sa simplicité, l'essence de Dieu est le renoncement. Dans le sens métaphysique, Dieu renonce à Lui-même éternellement et se retrouve Lui-même dans la satisfaction de son renoncement réciproque à Lui-même, qui sont les émanations perpétuelles de sa gloire comme différentes consciences d'existences que sont les vivants dans l'Esprit des vivants, à savoir les élus. Tel est la notion de multiplication à l'infini par le principe male qu'est l'Époux dans son don de vie à l'Épouse Élue qui le reçoit et le fait fructifier éternellement.

 

Cet aspect de l'essence contient trois facteurs existentiels qui la régissent et qui font de Dieu un Être Vivant sans commencement et sans fin, à savoir: la Volonté, la Pensée, et la Parole, c'est à dire la Volition, l'Illumination, et l'Expression, dans l'unité de la Réflexion Vivifiante qui est le fondement de l'existence. Or les premières lettres de ces trois mots font V.I.E. et cela est grandement significatif.

 

L'IMMANENCE DE CHRIST QUI HABITE LE COEUR DE SES ÉLUS SEULS

Au niveau de la Gracéologie, l'immanence de Christ est ce qui fait d'une personne un chrétien authentique, une nouvelle créature pour une nouvelle Création. Son aspect anticipatoire provient du décret d'Élection déterminé depuis avant la fondation du monde, et se rapporte à la préexistence des élus dans l'éternité antérieure. En d'autres mots, nous ne devenons pas chrétiens, nous le sommes depuis avant le début des temps, et ce que nous sommes réellement n'est pas encore la pleine réalisation de ce que nous serons. En d'autres mots, aucun ne peut choisir de devenir chrétien, car le choix a déjà été pris de toute éternité par l'Esprit des vivants. Or avant l'existence de toutes choses, Christ avait déterminé d'avance de sacrifier sa vie pour le rachat de ses élus seuls, indiquant par cela sa Souveraineté absolue sur toutes choses, et rien n'échappe au bon plaisir de sa volonté Suprême, pas même les églisiens et les évangélipaïens trinitarés du christianisme contrefait ancien comme moderne.

 

L'immanence de Christ est la phase finale de sa résurrection, et est reliée à son ascension dans la suprématie exaltée, en préparation pour notre transcendance. Elle implique son habitation en le cœur de ses élus véritables, et en d'autres mots, il s'agit du fait que Christ est ressuscité en nous pour nous instruire et nous garder dans ses voies, en vue de notre transformation en son image au moment de son Émergence. Si une personne n'a pas l'Esprit ou Réflexion de la Sainte Présence de Christ en elle, elle n'est pas des siens (Rom. 8: 9). L'immanence est la confirmation de l'identité chrétienne, sans elle il n'y a pas de salut possible. Le dieu Trifrons du Cerbère Nicéen ne peut rien pour vous, sauf de vous faire rencontrer le Minotaure de votre destruction dans le labyrinthe de votre folie. Or le dieu à trois têtes est pour les crétins sans têtes qui refusent de reconnaitre la vérité, et à ceci ils ont été désignés pour alimenter le feu de l'enfer.

 

L'immanence de Christ est l'assurance du salut des élus qui possèdent dès maintenant l'héritage d'un royaume éternel, dans l'épanouissement d'une gloire sans fin, de merveilles en merveilles perpétuellement et à l'infini. En d'autres mots, l'immanence confirme le retour officiel de Christ le jour de la Pentecôte et pour tous les temps, pour prendre les siens avec Lui dans l'accomplissement de ses promesses envers nous.

 

La grâce, du SOUVERAIN PRINCE, Jésus-Christ, et le renoncement, L’ESPRIT DES VIVANTS Lui-même, et la communication de sa Sainte Présence soient avec vous tous! Amen! (2 Cor. 13: 14).

 

 

A Christ seul notre Roi Serviteur soit la Gloire